Aimons-nous vraiment la liberté ?
Publié le 23/01/2013
Extrait du document
3) Problème
Il semble évident que nous aimons la liberté, puisqu’elle consiste à agir sans entrave, ce qui semble être
la condition de bonheur, mais la liberté none suppose-t-elle pas aussi des efforts et des responsabilités
que nous sommes bien moins enclins d’assumer ?
4) Introduction on peut se demandais si nous aimons vraiment la liberté. Si par la liberté on entend la
possibilité d’agir sans entraves et sans contraintes, il est difficile d’imaginer quelqu’un qui n’aimerait pas
la liberté. Qui souhaiterait être sans cesse frustré dans la réalisation des ses désirs, empêché de mener a
bien ses projets ? Les contraintes et les limites provoquent la frustration
et semblent donc tout aussi détestables que la liberté est aimable.
«
liberté.
o La liberté va de paire avec la responsabilité juridique et pénale.
Etre libre consiste aussi à assumer ses
choix, éventuellement à payer en les prix, or nous préférons souvent nous défausser de nos
responsabilités, nous trouver des excuses de mauvaise foi.
3) Problème
Il semble évident que nous aimons la liberté, puisqu’elle consiste à agir sans entrave, ce qui semble être
la condition de bonheur, mais la liberté none suppose-t-elle pas aussi des efforts et des responsabilités
que nous sommes bien moins enclins d’assumer ?
4) Introduction on peut se demandais si nous aimons vraiment la liberté.
Si par la liberté on entend la
possibilité d’agir sans entraves et sans contraintes, il est difficile d’imaginer quelqu’un qui n’aimerait pas
la liberté.
Qui souhaiterait être sans cesse frustré dans la réalisation des ses désirs, empêché de mener a
bien ses projets ? Les contraintes et les limites provoquent la frustration
et semblent donc tout aussi détestables que la liberté est aimable.
Cependant cette capacité d’agir sans
entraves nous mets en concurrence avec les autres et sans lois pour limiter et réguler cette liberté, la vie
en société serait impossible, ne faut-il pas alors en conclure que les hommes préfèrent le confort de la vie
en société aux risque de la liberté ? Il serait pourtant faux de conclure que les lois suppriment toute
liberté, on pourrait même soutenir au contraire qu’elles la garantissent bien mieux qu’un hypothétique état
de nature ou nous serions sans cesse menacé d’asservissement par autrui ? Mais pour apprécier la vie
en société, ne faut-il se conformer, en plus des lois, aux us et coutumes et prend regarde au jugement
des autres si l’on veut être accepté ? Ce désir de reconnaissance ne nous conduit-il pas à renoncer à
notre liberté, à nous laisser gouverner par les autres au lieu de n’obéir qu’à nous ? D’autant plus que la
liberté va de pair avec la responsabilité, si nous choisissons librement, il faut ensuite assumer ses choix,
or nous préférons souvent nous trouver d’excuses qui nous en dispensent.
Ainsi, il semble évident que
nous aimons la liberté puisqu’elle consiste à pouvoir réaliser nos désirs et nos projets, ce qui semble être
la condition du bonheur, mais la liberté ne suppose-t-elle pas aussi des efforts et des responsabilités que
nous comme moins enclins à assume.
»
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