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A quelles fins travaillons-nous ?

Publié le 18/08/2012

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L’ennui qui entraîne découragement et tristesse ; le travail permet de se sentir bien.  Enfin, l’homme travaille car il sait qu’il y a parfois une possibilité de travailler de façon libre et saine. Du point de vue de Marx, il y a des conditions de travail ‘libre’, tout du moins toujours plus libre que certains autres tels que celui du salarié. Il est possible de ne pas être aliéné dans son travail lorsque certaines ‘règles’ sont respectées. D’après Marx, il faut que le travail soit choisi. Il faut avoir voulu ce sur quoi nous travaillons afin de pouvoir s’affranchir. Il faut aussi qu’il exprime au mieux les talents du travailleur, c’est en cela que Marx fait des artistes des travailleurs libres. Il faut qu’il puisse avec ce travail satisfaire au maximum ses désirs. Il doit aussi être le moins répétitif possible, au contraire de l’homme qui travaille à la chaine à l’usine et qui ne change jamais de machine. Enfin et surtout, le travail, s’il veut se rapprocher au plus possible de la liberté, doit faire entrer en jeu toutes les capacités propres aux humains, soit les capacités intellectuelles : la créativité, l’inventivité telles que l’utilisent beaucoup les artistes dans leur métier ; les capacités morales : les responsabilités telles qu’être à la tête d’un groupe de personnes ; et enfin les capacités physiques : l’habilité manuelle telle qu’en on besoin les grands chirurgiens, ou les peintres.

« progresser humainement et intellectuellement afin de satisfaire nos buts.

Prenons l'exemple de l'étudiant passant des heures à travailler en médecine, autant à la facque chez lui, qui se surpasse, qui apprend de nouvelles choses, qui s'ouvre au monde et se cultive afin d'accéder à son rêve : devenir médecin.

Il réussit ses études ets'épanouit totalement dans son travail.

Travailler c'est aussi ne pas rester statique, ne pas s'ennuyer.

L'ennui qui entraîne découragement et tristesse ; le travail permetde se sentir bien.Enfin, l'homme travaille car il sait qu'il y a parfois une possibilité de travailler de façon libre et saine.

Du point de vue de Marx, il y a des conditions de travail ‘libre',tout du moins toujours plus libre que certains autres tels que celui du salarié.

Il est possible de ne pas être aliéné dans son travail lorsque certaines ‘règles' sontrespectées.

D'après Marx, il faut que le travail soit choisi.

Il faut avoir voulu ce sur quoi nous travaillons afin de pouvoir s'affranchir.

Il faut aussi qu'il exprime aumieux les talents du travailleur, c'est en cela que Marx fait des artistes des travailleurs libres.

Il faut qu'il puisse avec ce travail satisfaire au maximum ses désirs.

Ildoit aussi être le moins répétitif possible, au contraire de l'homme qui travaille à la chaine à l'usine et qui ne change jamais de machine.

Enfin et surtout, le travail, s'ilveut se rapprocher au plus possible de la liberté, doit faire entrer en jeu toutes les capacités propres aux humains, soit les capacités intellectuelles : la créativité,l'inventivité telles que l'utilisent beaucoup les artistes dans leur métier ; les capacités morales : les responsabilités telles qu'être à la tête d'un groupe de personnes ; etenfin les capacités physiques : l'habilité manuelle telle qu'en on besoin les grands chirurgiens, ou les peintres. (Conclusion:)En conclusion, le travail a beau être synonyme de souffrance, a beau être des plus aliénants en certains cas, a beau nous coller à la peau car propre à l'homme sansque nous puissions réellement nous en débarrasser, a beau atteindre notre liberté et en jouer, il n'en reste pas moins que nous pouvons en certaines circonstances ledépoussiérer, lui enlever ce qu'il a de mauvais pour découvrir que sans lui nous ne serions rien, nous n'existerions peut être pas.

Car sans lui nous n'aurions passurvécu, nous serions peut être tous repliés sur nous-mêmes et nous ne pourrions pas satisfaire nos besoins, nos talents… Nous travaillons pour ce que le travailprocure, et peut importe à quel prix car sans lui nous serions tristes car seuls, déprimés car plongés dans l'ennui, frustrés de n'avoir pu exprimer nos désirs et den'avoir pu utiliser nos talents.. »

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