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ALAIN - Idées: « Dans la nuit, je suis tout, mais je n'en sais rien »

Publié le 29/11/2011

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alain

C'est-ce qu'appuie Fitche philosophe Allemand. Si il y a une connaissance de soi c'est par une implication immédiate par le Moi. Le Moi se connaît comme posé comme tel et pose ce qu'il connaît Fitche l‘appelle « le poser «. Le Moi inclut donc nécessairement une réflexion intellectuelle qui unifie immédiatement l'intuition de soi et la connaissance de soi. Tout cela permet de dire que la connaissance de soi même est immédiate.    Nous avons tout au long de l'étude expliquer les thèmes et la thèse de Alain qui présente une connaissance de soi et de son existence en dépit du temps, que cette conscience est temporel soit, non immédiate. Puis dans notre débat nous avons pu débattre sur cette thèse pouvant démontrer qu'elle est nuançable que dans beaucoup de cas le conscience de soi pouvait être immédiate grâce à l'intégration des idées d'autres auteurs. La conscience de soi qu'elle soit immédiate ou non permet toujours une connaissance de soi.

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« d'Alain avec le rapport de Soi à Soi-même et de Soi et le monde.

La conscience selon Alain est la capacité quipermet de se relier avec son propre passé et son futur.

La conscience dit ce que nous avons été mais aussi ce quenous allons être.

C'est donc grâce au temps, que nous nous construisons mais aussi grâce à nos perpétuels doutes.Cet esprit de douter voila ce qui caractérise l'homme, Descartes pense ainsi, le pouvoir de douter.

De douter de quion est mais de ne pas pouvoir douter que l'on doute.

Cette vérité permet de savoir qui l'on est grâce à laconscience que l'on doute, autrement que l'on pense et comme dirait Descartes « Cogito ergo sum » « Je pensedonc je suis ».

Il est là, l'esprit de prise de conscience non immédiat, la connaissance propre de son existence.

Kantest aussi fervent défenseur de cet idée selon lui le doute est comme nécessaire au progrès de l'humanité.

Sans elleil n'y aurait pas d'évolution propre.

Le changement de soi également passe par une perception ou un doute.

Ce quidémontre que notre unicité change, pas notre identité ou notre unité.

L'exemple de la cire de Descartes pourexemple métaphorique la cire telle que nous la connaissons, fond elle change d'état sous la chaleur, elle dégage uneodeur, a la vue, au touché, au goût, elle est différente, mais elle demeure la même cire, on ne peut le nier.

Mêmeune fois refroidi elle redevient même.

Alors si on doute, si l'on change constamment, on voit bien que la consciencede soi n‘étant jamais immédiate, la connaissance de soi ne l'est pas non plus.

Mais quelles-sont les limites del'immédiateté ?En effet d'autres philosophes, pensent différemment, et l'on pourrait nuancer les propos d'Alain sur la conscience etla connaissance non-immédiate de soi.

Pour commencer il faut dire que le pouvoir de douter de Descartes ou deKant parait un peu démesuré, effectivement, il est possible de douter de tout d'une façon rationnel, mais douter detout dans ce cas voudrait dire que en rien, la connaissance humaine n'est fondé.

Hors c'est faux.

C'est juste que lemonde est trop jugé, critiqué, se représenter n'est jamais neutre, avec la conscience humaine, il y a toujours unecritique de soi et de ce qui est.

Tout est révélé en fonctions de valeurs morales, intellectuels et parfois superficieltel que l'esthétique.

Quand je suis face a une œuvre d'art je juge si elle est belle ou non.

J'ai conscience de maprésence dans le miroir et je me dis que je suis dans la salle de bains.

J'ai conscience de ce que je dis, et juge c'estcela est vrai ou faux.

Je regarde les décisions prises par un juge, et je juge à mon tour si c'est juste ou injuste.

Pourtout ces exemples, voici en quoi la conscience de soi et la connaissance de soi est parfois immédiate.

Marleau-Ponty enfaite dénonce le raisonnement Cartésien.

Celui qui permet de dire que l'on existe sur la base d'une analogiede soi.

Qu'il y a donc un cheminement, un temps après réflexion pour se savoir être et de se connaître.

Marleau-Ponty lui pense qu'il y a une façon immédiate de connaitre notre existence, c'est l'intersubjectivité.

Le fait de voirautrui, de crée une relation avec d'autres, qui me permet de s'affirmer soi-même.

Il pense que l'individu n'est riensans les autres.

Les regards des autres sur soi, les paroles échangés permettent instantanément, la prise deconscience de son existence et la connaissance de ses sentiments, des ses idées, du monde autour de lui, surtoutde lui-même.

Si on veut aller au plus simple.

Rien que le fait de dire « Moi » c'est déjà une conscience immédiate desoi et de ce que l'on est.

C'est-ce qu'appuie Fitche philosophe Allemand.

Si il y a une connaissance de soi c'est parune implication immédiate par le Moi.

Le Moi se connaît comme posé comme tel et pose ce qu'il connaît Fitchel‘appelle « le poser ».

Le Moi inclut donc nécessairement une réflexion intellectuelle qui unifie immédiatementl'intuition de soi et la connaissance de soi.

Tout cela permet de dire que la connaissance de soi même estimmédiate. Nous avons tout au long de l'étude expliquer les thèmes et la thèse de Alain qui présente une connaissance de soiet de son existence en dépit du temps, que cette conscience est temporel soit, non immédiate.

Puis dans notredébat nous avons pu débattre sur cette thèse pouvant démontrer qu'elle est nuançable que dans beaucoup de casle conscience de soi pouvait être immédiate grâce à l'intégration des idées d'autres auteurs.

La conscience de soiqu'elle soit immédiate ou non permet toujours une connaissance de soi.. »

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