Devoir de Philosophie

Choisir la violence

Publié le 19/12/2023

Extrait du document

« Choisir la violence Au niveau de la pertinence, ouvrir le champ sémantique de la notion invitée « choisir », il faut le tenir et ne pas le lâche. Il faut revenir dessus au cours du raisonnement, il faut soigner la notion invitée. Il faut s’adapter à la situation et ne pas reciter le cours. Choisir = liberté / volonté : cette force d’auto détermination à l’action ≠ du désir où je suis poussé par autre chose que moi. Qui dit choix dit possibilité ( faire face et s’engager en l’une d’entre elles ) et à un moment faire un paragraphe dessus, mais on parle aussi de préférences que l’on oppose à la nécessité ( 1 seule voix alors que dans le choix il yen a plusieurs ) Quand on choisit on prend le temps de réfléchir au choix que l’on va faire ≠ la spontanéité et l’habitude ou l’on ne réfléchit plus et uniquement par réflexe. La pulsion ou la passion nous dirige et nous entraine et c’est une action que l’on subit sans que l’on puisse rien faire. Le choix implique donc un renoncement à toutes les possibilités pour n’en garder qu’une seule De façon générale l’action choisie est réfléchie et donc que l’on peut opposer à une action irréfléchie et habituelle.

Choisir = action mentale. On peut parler de choisir pour une preference lors d’un élan du coeur car il presuppose une intention. Dans tout les cas ces choix se font dans le sens du libre arbitre. Choisir la violence : partir du principe que l’expression n’a que peu de sens, ce n’est pas l’objet d’une decision.

C’est absurde de façon ontologique et sur le plan des valeurs.

Ce qui signifie que c’est renoncer à l’amour et donc moralement c’est intenable. Dans une premier partie : dire que c’est absurde Car la violence en tant qu’elle est excès de force en tant qu’elle contraint celui qui l’utilise c’est la fureur destructrice c’est une passion incontrôlée, ou encore le mal.

C’est la reflexion et l’activité mentale de l’homme qui rentre en contradiction avec l’impulsivité de violence. La violence semble souvent relever du fait de la nécessité du fait qui s’impose à nous, malgré nous, il peut être un événement historique qui nous contraint et puis l’Histoire humaine est parsemée de violence comme si elle était marqué du sceau de la nécessité.

Faire choix de la violence serait donc de se plier à un fat cela serait une apparence de choix. Sur un plan axiologique ( science des valeurs ) on voit mal comment justifier, légitimer le choix de la violence et lorsque l’on choisit la violence, on dévalorise tout ce qu’il ya autour comme l’amour, la fraternité, la bienveillance… Selon cette comprehension immediate, la violence serait donc un objet impossible de choix et a priori cette expression choisir la violence n’aurait pas grand sens Peut-on faire le pari d’une intelligibilité de la violence ? On a des raisons de douter de ce que l’on vient de dire la violence est placée sous le signe de l’impulsivité, mais ce n’est qu’une surface.

Cette violence renvoie a un spectre large d’actions : destructrice, instinctive… Un meurtre ou un attentat nécessite une reflexion murement analysé et même accompagnée d’un processus rationnel. La violence est plus large et peut mobiliser la raison On peut contester qu’elle nest qu’un événement que l’on subit, un trait de nos sociétés qu’elle est nécessaire qu’on aurait un gène de la violence.

Cela serait se dédouaner et passer sous silence que la violence est toujours liée à des comportements humains.

Elle est correlative avec le comportements des hommes Quand on dit que la violence ne peut être préférée, certaines violence peuvent être préférables, par exemple a d’autres violences, la contre-violence de l’opprimé peut être preferable a celle de l’oppresseur.

Dans le cas de la légitime défense.

Dans le cas de la punition severe d’un crime.

Et peutêtre même parfois, la violence est le seul moyen ( Walter Benjamin = l’auteur est nécessairement violente et que pour pour sortir il faut une contre violence, il n’est pas toujours évident qu’il faut balayer la violence ) La violence nous laisse-t-elle sans choix ou est elle une possibilité radicale ? Premiere Partie : Pourquoi ou pour quelles raisons la violence semble pas pouvoir faire l’objet d’un choix ? A ) Lettre de Simone Veil dans l’iliade ou le poème de la force : force qui nous emporte qui vient de plus loin que nous et que l’on relais, que l’on répercute, on ne serait que les relais d’une violence qui nous dépasse.

Et cette violence divine se transmet aux Homes, la colère homérique traduit un déferlement de violence et vient de plus loin que lui, il est comme possédé par le divin dans cette fureur et ne l’appartient pas, la violence est une sorte d’évènement, une force inhumaine qui nous emporte.

On aurait pas le choix. B ) Lorenz ( mieux ) ou Freud ( moins bien car il invite à sublimer et peutêtre mieux en troisième partie ).

L’Homme ne peut échapper a la violence qui est en lui, et dans la nature humaine et donc la violence n’est pas une possibilité parmi d’autres mais est inscrite en nous, elle est de l’ordre de la nécessité.

Il existe différentes formes d’agressivité.

Elle releve de la nécessité et non pas de la contingence. C ) La violence ne se choisit pas elle vient de l’habitude : Bourdieu, la domination, masculine. On doit définir l’habitude et le définir par rapport au choix Deuxième Partie : Critiquer la première partie.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles