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Collectivisme (analyse et critique de la doctrine)

Publié le 12/02/2016

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Le mot collectivisme a souvent une connotation péjorative parce qu'il est historiquement lié à certaines formes de totalitarisme négateurs de l’individu. Pourtant, lorsque le collectivisme est voulu par tous, la mise en commun des moyens de production n'est jamais une restriction des libertés individuelles. C’est lorsque la collectivisation est forcée, et apparaît comme une

contrainte, qu’elle devient insupportable. Comme le fait remarquer Alain, le collectivisme est un régime naturel, c’est celui de la famille où nul n’a rien en propre, où chacun reçoit selon ses besoins, où le pouvoir est indivis. D’où l’idée de transporter dans la société politique ce «régime» qui respecte les libertés de chacun et l’intérêt de tous.

« Bannir l'égoïsme n'est pas rejeter l'individualit é t-- ~~[·]~1 On peut mettre les biens en commun sans, pour autant, perdre son individualité.

Le collectivisme ne nie pas l'individu, il rejette l'égoïsme en redonnant à tous ce qui avait été confisqué par quelques-uns.

Colle ctiviser , négation de l 'individu , me de retrouver le plai- c ' est réconcilier c'est le refus de l'égoïsme sir de faire.

l'individu et l'État qui éloigne les hommes E n tant que citoye n, les uns des autr es .

Le collectivisme n'est pas fait remarquer Marx, Collectiviser , un communisme l'individu participe bien c'est réconcilier intégrdl â l'État, mais en tant que l'homme et son travail D ans un régime co l- -L'homme peut .......

l e ctiviste, ch ac un _.de cœur 6 une œuwe L e travail, qui devrait reste individuellement .....

et, ......

-.: être expressio n de propriétaire des biens ....................

de !101'1 l'individu , est devenu de ronsommation.

«. »

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