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Comment punir ?

Publié le 01/05/2014

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PLAN DÉTAILLÉ

 

I. INTRODUCTION

Punir = porter un préjudice subi en consé-quence d'une action mauvaise. Mais la punition a de multiples fonctions.

Elle implique surtout que l'homme est libre, donc responsable de ses actes. Si l'homme n'est pas libre, la punition a-t-elle un sens?

II. DÉVELOPPEMENT

1. L'homme est libre

Les techniques de la punition :

Rousseau dans l'Émile affirme que l'enfant, trop jeune pour comprendre par la raison les impératifs moraux, doit être puni, mais en respectant quelques règles : 

« Pourtant, même dans la perspect ive spino ­ ziste , les autres fonction s de la punition peu ­ vent garder un sens .

Il est enco re utile de d issuader et de fai re des exemples pour conduire dans une voie, conforme à l' inté ­ rêt de tous , un peup le d 'hommes que ne gouverne pas la raison.

Quoi qu' il en soit , on ne peut tr a iter des modalités de la puni ­ tion san s en définir très exactement le sens .

Ill.

CONCLUSION Si l'on ne peut pas fonder moralement la punit ion , puisque punir c 'est ajouter le mal à un ma l, on ne peu t pas non plus s'en pas­ ser.

Les philosophes du Siècle des Lumiè r es croyaien t que le p rogrès technique entraî­ nerait un progrès mora l, que l'éducation d éve loppe rait la r a ison raison nable .

Notre époque semble les contredire .

La punit ion reste alors un hommage rendu à la raison de l' homme , comme le pensait H egel.

DISSERTATION Que si gn ifie " la force des faibles "? PLAN Remarquez le caractère paradoxa l de l 'énoncé .

Comment le fa ib le peut -il faire preuve de force ? 1.

RELATIVITÉ DES NOTIONS DE FORCE ET DE FAIBLESSE -+ « L'homme est un loup pour l'homme », dit Hobbe s.

-+ Le plus fort trouve toujours un plus fort pour le détrôner répond Rousseau .

Un état fondé sur la force est voué à l'instabilité .

-+Survit celui qu i sait s'adapte r (Darw i n).

Le faible, s'il est rusé , n'est pas défavor is é.

Il .

LA REVANCHE DES FAIBLES Nietzsche : les faibles finissent toujours par l 'empor te r car ils épargnent leu r s forces alors que les forts se dépensent sans compter .

Les faibles se vengent des forts : ils érigent en vertus des principes dévitalisants (cha ­ rité, pitié , vér i té ...

) qu i rongent et tirent l'éner ­ gie vitale des forts.

Ill.

CONDAMNATION DE LA FORCE AU NOM DU DROIT -+Cf .

le Gorgias : Socrate contre Calklès .. »

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