Devoir de Philosophie

Dissertation: N'avons nous de devoirs qu'envers autrui?

Publié le 27/04/2015

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-Dissertation pour le 18/12 : N'avons-nous de devoirs qu'envers autrui ?-              Si nous nous en tenons aux faits, on peut douter d'une conscience moral, car on se heurte a la méchanceté humaine. Pour vivre ensemble les hommes ont besoins d'une morale, et donc de devoirs. Mais l'homme ne fait ses devoirs que par intérêts. D'après Kant, il est possible d'accomplir son devoir, pour cela il faut distinguer l'être te le devoir être. Le devoir est un impératif catégorique qui impose à l'homme d'accomplir ce qui est prescrit en vertu d'une obligation (qui peut-être religieuse, éthique, sociale, etc ...). Faire son devoir c'est être libre. N'avons-nous de devoirs qu'envers autrui ?              Nous verrons tout d'abord, les devoirs que nous avons pour nous même, puis les devoirs que nous avons envers autrui et enfin nous verrons les devoirs que nous avons envers la société. I-Devoirs envers nous même              L'homme est libre, il s'appartient donc. Mais il a quand même des devoirs envers lui-même. Ce n'est pas parce que l'homme est libre qu'il a tout pouvoir sur lui. Il ne peut dégrader ni sa liberté ni son intelligence. Soumettre la liberté a la passion au lieu de l'accroitre avec le devoir, c'est compromettre ce qui mérite le respect. L'homme n'est pas une chose, il ne lui est donc pas permis de se traiter comme tel.              Les devoirs envers moi-même ne sont pas des devoirs envers moi en temps qu'individu, mais envers ce qui fait de moi une personne morale : l'intelligence, la liberté. L'individu est designer par toutes ses caractéristiques alors que la personne morale est représentative de l'humanité.              L'homme peut donc laisser cour a ses gouts et a ses fantaisies, tant que le bien et le mal ne sont pas engager. Mais si un acte touche la personne morale, la liberté est alors soumise à la raison. Par exemple, si par caprice, ou par mélancolie, ou par tout autre motif, on se condamne à une abstinence trop prolongée, si on s'impose des insomnies continues, si on renonce absolument à tout pl...

« créer des dangers inutiles.

La prudence est le gouvernement de la liberté par la raison.

Par exemple si on traverse une route sans regarder, on se créer un danger inutile, on met sa vie en danger et on est négligent.

La prudence aurait permis d’éviter ce danger. Nous avons le devoir de dire la vérité.

Le mensonge est indigne, il faut donc être sincère et franc. Le corps est lié à l’esprit.

Il ne faut pas lui refuser tout ce qu’il demande ni assouvir toute ces demandes.

Car c’est affaiblir l’esprit à travers le corps.

Par exemple donner une abondance de nourriture a son corps, peut compromettre la santé.

Et ce n’est donc pas se respecter. Mais il ne suffi pas de maintenir la personne morale, il faut l’améliorer.

L’homme doit développer sa volonté et s’exercé constamment.

C’est par l’éducation de lui- même que l’homme est grand.

L’homme doit donc se préoccuper de son intelligence en priorité.

Car c’est l’intelligence qui nous permet de discerné le bien du mal, et la vérité du mensonge.

On ne peut pas changer l’esprit qu’on a au départ mais on peut le fortifier, en l’exerçant.

La paresse est nuisible a l’esprit il ne faut pas le laisser sans rien faire.

Il faut aussi entrainer ca liberté, en résistant a ses tentations par exemple ou en ne fuyant pas aux luttes.

C’est ce qui permet à notre liberté de grandir. Tant que l’homme conserve son intelligence et ses libertés, l’homme aura toujours la notion de bien et c’elle du devoir avec. L’homme a donc des devoirs envers lui-même, mais ce ne sont pas les seuls devoirs qu’il a. II-Devoirs envers autrui L’homme dépend toujours des autres hommes.

C’est pourquoi le premier devoir est de ne pas faire de mal aux autres.

Plus généralement, les devoirs visent à ce que chaque homme contribue autant qu’il le peut au bonheur d’autrui . Nous devons la vérité aux autres comme je me la dois à moi-même, car la vérité est la loi de la raison.

La vérité est le bien propre de l’intelligence, et c’est donc un devoir de respecter le développement de l’esprit, de ne pas arrêter et même de favoriser sa marche vers la vérité.

Nous devons aussi respecter la liberté d’autrui.

Je n’ai pas le droit d’empêcher l’autre de faire une faute.

La liberté est si sainte que, même lorsqu’elle s’éloigne du bon chemin, elle mérite encore d’être préservée.

Nous devons respecter les affections des autres.

Et de toutes les affections il n’y en a pas de plus saintes que celles de la famille.

L’amour des hommes est quelque chose de bien général.

La famille, c’est presque encore l’individu et ce n’est pas seulement l’individu : elle ne nous demande que d’aimer autant que nous-mêmes ce qui est presque nous-mêmes.

Elle attache les uns aux autres par des liens doux et puissants, le père, la mère, le frère, la sœur.

Elle donne à ceux-ci un secours assuré dans l’amour de ses parents, à ceux-là un espoir, une joie, une vie nouvelle dans leurs enfants.

Attenter au droit conjugal ou paternel, c’est attenter à la personne dans ce qu’elle a de plus précieux.. »

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