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Doit-on tout faire ou laisser faire au nom de la sécurité ?

Publié le 28/10/2009

Extrait du document

Délinquance, terrorisme, vandalisme, guerres, criminalité, vols et arnaques sont aujourd'hui, plus que jamais, présents dans notre monde. Ainsi, chez lui, dans la rue, devant son ordinateur ou au téléphone, dans le bus ou encore en voiture, le citoyen ne se sent plus en sûreté et vit dans la crainte que de nouveaux événements en viennent à bouleverser son quotidien. Cette peur engendre de la méfiance et c'est pourquoi tant de mesures de sécurité sont mises en place et se multiplient fréquemment. Mais doit-on vraiment tout faire et laisser faire au nom de la sécurité? Nous allons répondre à cette question en abordant trois aspects différents de celle-ci. Nous commenceront par parler de la sécurité qui vise à éliminer toute action terroriste. Ensuite, nous nous préoccuperont de la sécurité contre les actes de délinquance notamment. Et pour finir, nous développeront les mesures de sécurité routière.

« d'insécurité s'installe.

On en vient à se demander pourquoi elles sont là et à imaginer les risques encourus à cetendroit, en ce moment et donc elle ne rassure en rien.

Par ailleurs, les forces de l'ordre se doivent être présentes aumaximum.

Mais cela n'est pas normal de voir au journal parlé des manifestants maltraités par des policiers ou encoreun homme se faire jeté à terre par ceux-ci.

Lorsqu'une manifestation a lieu, il arrive que les policiers abusent de leurpouvoir et ceci est fréquent.

Prenons l'exemple d'une manifestation qui a eu lieu récemment pour dénoncer la mortd'un jeune homme lors justement d'une intervention policière.

Cette manifestation a dégénéré en émeute undimanche soir dans un quartier de Montréal où des protestataires ont finalement mis le feu à plusieurs voitures aprèsavoir blessés deux policier.

Ainsi, on peut voir que la violence n'engendre que la violence.

Et vouloir que règne lasécurité en abusant du pouvoir de la police ne fait qu'aggraver les événements.

Ils ne faut surtout pas se laisserfaire dans ces cas là mais il ne faut pas réagir violemment non plus.

D'autre part, en Italie, un décret-loi légalise les« rondes nocturnes » de citoyens au nom de la sécurité pour la protection des individus et des biens.

Desvolontaires sont chargés de la sécurité et ceux-ci ne portent pas d'armes.

La législation des patrouilles constituedès lors une aide précieuse aux efforts de la police à faire régner la sécurité.

Ceci est une très bonne initiative.

Nous terminerons par parler des accidents de la route qui sont fréquents quotidiennement.

Ainsi, depuis quelquesannées déjà, une campagne de prévention a été mise sur pied pour notre sécurité routière.

Attacher sa ceinture,pas d'alcool au volant, pas de téléphone portable… Des gestes simples qui ne sont pourtant pas toujoursrespectés de tous malgré les nombreuses affiches qui bordent nos routes.

Des affiches souvent choquantes commecelle de l'image d'un enfant qui souffle ses bougie et où il est noté « Thomas 7 ans pour toujours ».

Une étudebritannique à comptabilisé 300.000 accidents routiers dû à un comportement dangereux au volant.

Celui-ci estsouvent lié au le GPS qui nous parle, nous déconcentre.

Avec un guide routier, le conducteur se sent en sécurité etpense pouvoir être tranquille, ne pas avoir à se soucier de la route.

Or, il doit rester au taquet.

Ainsi faudrait-ilégalement supprimé les GPS ? Il faut que les autorités comprennent, qu'il est un moment où ils ne peuvent plus rienfaire.

Tout supprimé n'est pas la meilleure des solutions puisque il y aura toujours des accidents.

Il y a de nombreuxautres facteurs qui entre en jeu et contre lesquels on n'y peut rien.

Les conditions météorologiques, par exemple, ouencore l'état d'esprit du conducteur et des passagers en sont la preuves.

D'après moi, on ne doit pas tout laisser faire car il y a certaines mesures qui sont prises au nom de la sécurité maisqui cachent des intérêts particuliers pour l'état notamment dans le cas des mesures anti-terroristes citées ci-dessus.

Il faut respecter des mesures simples et évidentes mais pas laisser faire des policiers lorsqu'ils abusent deleur pouvoir ou encore laisser des impératifs sécuritaires, comme les caméras, nous étouffer.

Tout en sachant quegrâce à la technologie qui effectue des progrès considérables tous les jours, les malfaiteurs, les bandits et surtoutles terroristes adaptent leurs matériaux aux nouvelles mesures de sécurité.

Il faut que les autorités nous aident àtrouver un juste équilibre entre sécurité, confort, liberté et efficacité. Sujet désiré en échange : La connaissance de la vérité est-elle une condition du bonheur ?. »

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