ethique
Publié le 11/12/2012
Extrait du document
«
seulement par le vouloir »(p.24) 1
.
Selon le déontologisme, il faut toujours tenir compte du devoir,
l’obligation d’agir ou pas.
Il y a aussi l’impératif catégorique qui fait partie du devoir et qui est
déterminé par la raison seule.
Il faut faire la différence entre les devoirs strictes et les devoirs
larges, ces-derniers sont réalisés à partir de plusieurs actions tandis que les devoirs strictes sont
fait d’une seule action, ils sont donc plus importants que les devoisr larges.
Cependant, tenant compte du déontologisme, il ne faut pas oublier le principe de l’universalité
qui est la principale façon de déterminer si un acte est moral.
Il suffit de s’assurer que l’action ne
provoquera pas la destrcution de l’humanité ni le destruction du comportement ni la diminution
de la dignité de l’homme.
Kant l’exprime clairement : « l’homme n’est pas une chose, et ne peut
par conséquent être utilisé seulement comme moyen, mais doit toujours être considéré dans toutes
ses actions comme une fin en soi.
»(p.76).
2
Pour ce faire, il faut utiliser les conséquences
logiques, c’est-à-dire, prédire ce qu’il se produirait si tout le monde adoptait le même
comportement qu’énoncé dans le dilemme.
Dans ce cas-ci, il faut imaginer qu’est-ce qui
arriverait si tout le monde dénonçait à la place d’une autre personne.
Pour Maryse, il s’agit d’une
diminution de la dignité de celle-ci puisqu’elle servirait de moyen aux nageuses et du fait même,
elle ne serait plus considérée comme une fin en soi.
Donc ce serait immoral puisque tout être
humain doit être traité comme une fin en soi et pas comme un moyen, c’est contre la dignité.
Par contre, dans cette situation on peut parlé de l’accord libre et éclairé ce qui signifie qu’une
personne accepte de servir de moyen pour quelqu’un d’autre en étant en toute connaissance de
cause et sans pression.
Les critères sont précis : la personne doit être jugée apte à comprendre
tous les aspects de la situation, elle doit connaître les conséquences possibles de sa décision, son
11 EMMANUEL KANT.
Fondement pour la métaphysique des mœurs (1785) (1 re
section, p.
16-17).
Paris,
2000 © Hatier.
22 EMMANUEL KANT.
Fondement opur la métaphysique des mœurs (1785) (2 e
section, p.
68-72).
Paris,
2000 © Hatier.
2.
»
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