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Introduction à la pensée politique

Publié le 02/10/2011

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Introduction

 

Ce n’est pas la force (militaire), mais le discours qui est l’arme la plus forte.

 

« La polis grecque continuera d’être présente tant que nous aurons à la bouche le mot politique « (Hannah Arendt)

 

Grecques, romains et catholiques : 3 piliers de la pensée occidentale

 

Préambule

 

Si les grecques avaient à visiter notre monde 

 

Trois (3) insultes

 

Esclaves : nos techniques ne nous permettent pas de choisir/diriger notre destin. Nous ne sommes pas libre. La liberté chez les grecques signifie la liberté de participer à la vie politique (forcé à être libre).

 

Barbares : Nous sommes installés à des endroits privés de la vie politiques. Aux yeux des grecques, un barbare est celui qui ne vie pas dans une cité.

 

Animaux : Nous sommes incapables de nous séparer du travail malgré la technologie : nous sommes prisonnier de la nature, des besoins essentiels.

« Tragédie (Antigone de Sophocle) Deux questions (deux thèses) s’affrontent : le roi Créon et sa nièce AntigoneLimite aux sacrifices par rapport à la loi Antigone Créon Lois divines/Non écrites (bon sens, dieux) Lois écrites Légitimité (ni légal, ni répréhensible) Légalité Politique (citoyens se donnent leurs lois)Morale Droit Pouvoir instituant (la nation est le pouvoir) Pouvoir institué (pouvoir réel : l’état)Le pouvoir institué, avec tout son arsenalde répression, ne vaut rien sans sescitoyens : l’état s’écroulerait Désobéissance civile (désobéir pouratteindre le juste)Ex : refuser de servir dans l’armée car laguerre est injuste Philosophie Explication physique, rationnelle et scientifique du morale.Début de l’éducation rhétorique (argumentation), sophiste, technique de persuasion.Théorie : ne peut pas tout dire.

Le démos au pouvoir (et le pouvoir du démos) Isonomie : autonomieDémos : peuple Krathein : gouverné/domination/pouvoirLa démocratie à Athènes (et dans le monde) est/fut grecque Réforme et l’isonomie Lieux communs d’Athènes – climats démocratiques 1- Convaincu de la supériorité exclusive et innée d’Athènes 2- Grecs athéniens convaincu que l’égalité politique peut être atteinte en maintenant des inégalitéssociales/économiques 3- Consensus et liberté de parole sont désirables en démocratie 4- Il y a une sagesse supérieure dans les décisions faites collectivement 5- Élites sont un danger mais sont nécessaire pour la prise de décision politique Réforme fondatrice Futurs institutions démocratiques se préparent : 1ière réforme : Solon (Législateur athénien, 640-588) -Conflit entre aristocrate et paysans -Solon reçoit le mandat de trouver une solution dans cette guerre entre classe sociale-595 Solution : fonder un conseil municipal de 400 membres, donc il y aura une présence populaire (passeulement des élite) Crée l’existence du peuple Clisthène : 508 « leader » de la démocratie d’une demande populaire-Révolte contre la tyrannie (d’Isagoras) pour mettre une nouvelle autorité; celle du peuple -Qui fait la politique? Pas le roi, mais le peuple -Élargie le pouvoir (de quatre dîmes à dix) des citoyens -Élargir le corps politique et la liste de citoyens admissibles -À chaque élargissement de la citoyenneté Isonomie : pouvoir des égaux 1- Égalité des citoyens devant la loi 2- La loi c’est l’expression du démos tout entier (qui légifère sur lui-même) 3- Ce n’est pas la linier (descendance) qui donne citoyenneté, mais l’adresse Tous égaux au combat (devant la tâche défendre Athène). »

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