L’Homme s’accomplit-il dans son travail ?

« Le travail et le loisir ont toujours été deux termes opposés par la société.

Nous allons simplement définir le sens de ces mots. Le mot travail vient du latin tripalium qui désigne un instrument de torture.

Le travail a donc toujours été associé à la souffrance.

D’où le fait que « en travail » désigne une femme qui accouche.

A l’opposé, si nous cherchons le mot « loisir » dans n’importe quel dictionnaire, on trouverait des mots comme « détente » ou « distraction » à chaque fois.

Mais cela n’est pas tout, le loisir représente aussi le temps personnel que nous avons et qui est privé dans son travail. Mais ne pas travailler, donc avoir le temps pour tous les loisirs que l’on souhaite faire, ne représente pas le bonheur.

Le travail est l’activité sociale la plus majorant lorsqu’on est épanoui par notre métier.

De cette passion du travail est née le mot « workaholic » en anglais, ou « accro au travail » en français.

Même si le travail représente souvent un effort physique ou moral, nous trouvons des personnes qui ne peuvent prendre quelques jours de vacances et ne pas penser a leur travail.

De ce point nous pouvons parler du chômage, oublions le fait que le travail facilite le quotidien grâce aux salaires, les chômeurs ne sont pas forcement heureux de ne pas travailler.

Ce manque de travail représente l’exclusion sociale, donc lorsque une personne revendique son droit au travail : ce n’est pas uniquement pour un droit supérieur à la consommation quotidienne.

Ajoutons alors à cette souffrance la passion du travail d’un homme qui ne lui est plus possible d’exercer. Le travail est un acte noble, il désigne toutes les activités humaines : le travail qui a besoin de réflexion ou de talent physique, au travail qui a besoin des années d’études auparavant au travail qu’on peut réaliser sans diplômes, majeurs. Avec cette brève définition qui aurait pu être aussi longue que cet écrit, nous pouvons voir le travail de l’Homme dans la nature.

Le travail n’est pas réduit uniquement à « il faut travailler pour vivre ».

Le travail oblige les efforts et l’acharnement.

Ce n’est qu’une question de volonté : il faut 2. »