La culture rend-elle meilleur ?

« société et qui nous permet d’être plus éthique et plus juste à travers nos actes et de faire preuve d’une grande sagesse puisque nous passons de l’état sauvage à l’état humain dit civilisé.

Donc nous nous distinguons des autres animaux à vouloir le bien grâce à la part de culture qui est en nous.

Cependant n’y a -t- il pas eu des actes de hautes barbaries au cours de ce dernier siècle ? C’est pour cela qu’à travers cette deuxième partie nous allons voir que la culture est sans doute un processus de dégradation.

La culture est cette part acquis e qui nous différencie des animaux par des raisonnements plus éthiques, parce que nous sommes des êtres qui voulons le bien.

Cependant avec touts les actes d e barbaries dont nous sommes capable s à travers ce monde envers des personnes qui souffrent comme nous, qui pleurent comme nous, qui on la même part innée de nature , nous laisse à réfléchir.

En effet, la culture nous a rendu perfectible mais aussi de fa çon dégradante car nous sommes les seul s êtres qui pouvons nous autodétruire.

Nous sommes capables du bien comme du mal.

La culture s’établit à partir de normes et de règles sous lesquelles on vit.

Il existe des règles universelles propre s à toutes les cul tures existantes comme la prohibition de l’inceste , respectée par tous mais il ex iste aussi des règles propre à une culture en particulier c’est pourquoi cela peut nous amener à des conflits , c’est le phénomène de l’ethnocentrisme.

Nous appartenons tous à une culture qui est encrée dans notre raison, notre morale, que nous sommes prêt à défendre car il nous est impos sible de remettre en question notre propre culture d’appartenance.

Pour la plupart d’entre nous, nous connaissons et obéissons qu’à une seule c ulture depuis notre naissance c’est pourquoi même si elle nous sort de cette état sauvage pour devenir meilleur, plus humain, elle nous renferme sur nous même en ne voyant et tolérant que notre propre culture.

A travers cette deuxième partie nous avons pu nous rendre compte que la culture est aussi un processus de dégradation du fait que nous vivons tous sous des règles et des normes différentes à chaque culture et cela nous amène à être les seuls êtres pouvant nous autodétruire pour une appartenance ou une façon de vivre.

Mais dans la dernière partie nous verrons que la responsabilité du mal ne repose pas entièrement sur la culture et qu’au contraire elle à tendance à y nuire.

Ce dernier siècle à effectivement été marqué par deux guerres mondiales qui étaient de véritables boucheries humaines.

Malgré la culture acquise, nous sommes capable s, de véritables actes de barbaries alors que celle- ci est ce processus qui nous fait devenir homme c'est -à -dire un animal ayant évolué au cours du temps et qui est devenu perfectible grâce à l’apprentissage de la liberté.

Cependant les animaux n’ayant pas de culture proprement parlé n’ont -ils pas des conflits, des accrochages, des combats entre eux ? Sachant que nous les hommes, nous sommes tous semblables car nous devons subvenir aux mêmes besoins vitaux, il est normal, naturel qu’il y ait des conflits au sein des hommes car c’est sa propre existence qui est en jeu .

Nous pouvons dire que la vie est un vé ritable jeu de survie.

Les conflits sont liés aux besoins humains donc la rivalité et la guerre sont dès lors natu relles.

Dans tout cela, la cult ure a un rôle arbitraire car si elle-même est source de conflits, elle nous permet d’agi r de façon éthique et de partager au lieu de se battre pour satisfaire un besoin naturel c ar l’homme se distingue des animaux à vouloir le bien.

Durant cette dernière partie nous avons vu que la responsabilité du mal ne reposait pas entièrement sur la culture mais en grande partie sur la part innée de la nature.

A présent, nous pouvons affirm er que la culture est bien un phénomène qui rend meilleur.

En effet, la culture est la part acquis e de l’homme c'est -à -dire un savoir, un apprentissage qui. »