la decenie des nankin
Publié le 13/10/2016
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nationale, puisque les chinois on été humiliés pendant des nombreuses années par l'adversaire
étranger ainsi que promouvoir une industrialisation rapide et un développement de l'économie, qui leur
donneront une influence et un certain prestige.
Les chinois vivent principalement des confrontations
gouvernementales, qui à la fois sont des soulèvements et à la fois des agressions extérieures. La
décennie de Nankin est une époque de l'histoire très controversée, puisque nous hésitons encore à
savoir s'il s'agit « d'une décennie «d'or» », ou pour d'autres d'une «révolution avortée»[2].
Plusieurs éléments aident à comprendre mieux cette époque, tels que : les conflits avec les seigneurs
de la guerre, ainsi que l'agression japonaise, la monté de Chiang Kai-chek et le rôle du Guomindang dans
cette révolution.
Tout d'abord, le pouvoir est menacé de toute part, que ce soit de l'intérieur du pays ou
de l'extérieur.
En effet, puisque ce n'est qu'en décembre que va se réaliser l'unification dite
« complète » de tout le pays, alors, le seigneur de la guerre annonce officiellement sa soumission à
l'autorité du gouvernement centrale du pays.
Tout cela ne semblait causer aucun problème, quand les
seigneurs de guerre entrent en jeu.
La Chine est sous le contrôle des potentas militaire qui se font
également appelé « seigneurs de guerre ».
( Il faut tout de même préciser que ces seigneurs de guerre
civile on surtout agit durant la dictature de Yuan Shikai de 1911 à 1916 et cela à cause des gouverneurs
militaires mis en place par ce dernier ).
Durant cette courte période, Chiang Kai-Chek affirme son autorité
face à la population puisqu'il était soucieux de voir les communistes chinois gagner de l'influence.
Il
décide donc de dissoudre l'alliance avec ces seigneurs de guerre civile et d'opérer alors un ménage du
parti.
Les communistes chinois, horrifiés par cela, décident de commanditer un massacre à Shanghai en
avril.
Par cette attaque contre ses alliés communistes, la faction du Kuomintang entend purger le parti de ses
résidus gauchiste et empêcher toute prise du pouvoir par les communistes.
Cet événement est alors
désigné par Tchang-Kaï-Tchek de « purge du parti alors que les communistes chinois tendent à
utiliser l'appellation de « coup de force réactionnaire du 12 avril ».
Tchang avait beaucoup d'ennemis, puisqu'il était pour les tendances autocratiques.
Cependant, pendant.
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