la morale
Publié le 18/09/2016
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La morale désigne toujours les mœurs, et, plus précisément, un ensemble de préceptes préconstitués. On doit d'ailleurs parler de morales, car il y a autant de morales que de sociétés ou même d'époques. Caractère de ce qui fait souffrir ; dureté, rigueur, rudesse Il semble rair que la morale soit le contraire méme de la cruauté, puisque se définit regullierement comme ce que ns devons faire, les regles a suivre et ce qui donc est supposée nous preserver du mal et ns emmeneait vers le bien. Neamnoins la morale est bien plus compliquée que cela, on peut déjà la séparer de l'éthique qui définit alors la science morale. Et don pourquoi on agit de telle maniére. Ainsi la moral ptt plus définis comme des regles mais des regles supposés nous amenait ver le bien Ainsi en quoi la morale se différencie de l'éthique et peut ns almener vers la cruauté a cause d'un manque de reflexion humaine? La morale est peut-être la forme la plus cruelle de la méchanceté.\" Henry Becque À partir de l’adresse

«
situations , je ne dois pas me demander si le mensonge peut parfois être avantageux pour moi ou
pour d’autres.
Je dois plutôt examiner si je puis vouloir un monde dans lequel on pourrait mentir à
son gré.
Si par exemple ma conduite est guidée par un principe qui me permet de mentir toutes les
fois que ça m’arrange, en ce cas mon principe justifie les mensonges de n’importe qui d’autre, mais
alors, une fois que tout le monde est en droit de mentir, on ne croit plus personne et aucun menteur
n’arrive à ses fins.
Par conséquent, le principe se sape lui-même.
Par une recherche étymologique touchant les mots « bon » et « mauvais ».
Nietzsche tente de
montrer que les couples d'évaluation « Bon et méchant » et « bon et mauvais » ont des origines
distinctes, ce qui conduit à affirmer que le mot « bon » possède deux sens radicalement opposés.
Cette opposition exprime la différence entre l'évaluation des forts (le bon est le noble , le puissant,
celui qui est pleinement ; le mauvais est celui qui ne possède pas ces qualités, le malheureux) et
celle des faibles (le méchant est le fort, le bon est celui qui n'est pas méchant).
La distinction « bon et méchant », produit de ce que Nietzsche nomme « morale des esclaves »,
désigne donc par « méchant » le bon de l'autre morale , celle des maîtres.
b) un coté éducatif
Mais la morale sert a éduquer nos jeunes, a les intégrer dans notre société, la morale change alors a
ce moment la et se rattache a nos lois
Ici, nous allons donc réfléchir éthiquement.
Nous allons nous demander, avons-nous dit, ce qui rend
une action "bonne".
Cette question est synonyme de la question suivante : qu'est-ce qui fait qu'une
action est dite "morale" ?
C'est dire que l'éthique a un objet particulier : il s'agit du bien moral.
Tout le monde sait que l'action moralement bonne, c'est l'action qui est conforme aux "règles", aux
"lois".
La loi dit : "il ne faut pas tuer".
Mais est-ce si facile que ça de déterminer si une action est
bonne moralement ? Ce qui fait qu'une action est moralement bonne, est-ce vraiment la conformité
aux règles ?
Cela ne reviendrait-il pas à confondre droit et morale ? Ou encore, légalité et moralité ?
Ainsi, vous pouvez très bien vous rendre dans un pays où sévissent des lois ségrégatives : par
exemple, vous vous rendez au restaurant et découvrez qu'il existe une loi exigeant la ségrégation
raciale au restaurant.
Est-ce une bonne loi ? Est-il moral d'obéir à cette loi ? S'il est illégal (contraire à la loi écrite, au
droit "positif") de ne pas y obéir, il est peut-être moral de ne pas y obéir (car conforme à la
déclaration des droits de l'homme, qui stipule que "tous les hommes sont égaux en droit").
La
morale correspond plus à une idée, à un idéal, qui se trouve dans une "conscience morale".
Elle se
veut également absolue, non relative.
Mais si l'action bonne moralement est donc celle qui n'est pas strictement conforme aux règles/ lois,
alors, qu'est-elle ?
II morale des faibles?
La Généalogie de la morale pose la question des origines et de la valeur des valeurs issues
du judéo-christianisme qui sont au fondement de la morale occidentale contemporaine 4 .
Selon
Nietzsche, ces valeurs sont essentiellement altruistes : la pitié et la négation de soi (le refoulement
des instincts et leur culpabilisation) sont estimées intrinsèquement bonnes et sont donc des critères
pour juger de l'accord des sentiments et des actions humaines au bien .
Ces valeurs reposent
ultimement sur l'idée d'un monde plus élevé, absolu, qui diffère radicalement du monde naturel et.
»
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