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la perspective come forme symbolique Erwin Panofski

Publié le 03/11/2012

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La perspective comme forme symbolique ERWIN PANOFSKY Persepective : definition issue de traité de Géométrie descriptive « Sciences qui apprends a représenter les objets tridimensionnel sur une surface bidimensionnelle, de façon que l'image perspective coïncide avec celle que fourni la vision directe « Ce que démontre panofsky durant tout l'essai  est que la perspective est le fruit de réflexions qui témoignent de l'émergence d'une vision nouvelle du monde Essai fluide mais très dense, découpé en quatre séquences sans titre. Mise en vidence de 5 points qui m'ont semblé interessant dans la métamorphose de notre regard sur l'espace perspectif, sur la considération de la perspective. -La skénographia -illusion -l'objectivisation du subjectif -La question de la primauté visuelle -la relativité de la perspective La skénographia Les Anciens : se sont servis d'un système de réduction perspective- surtout pour décors de théatre, pour la scaenographia, discipline tout a fait distincte de l'Optique. Le terme de perspective prend à la Renaissance : devient un patrimoine non plus réservé aux philosophes et mathématiciens, mais également aux artistes Selon Vitruve : est «  la représentatoin perspective d'une forme tridimensionnelle sur un plan. A des fins architecturales ou théoriques. « Designe ds un sens plus large l'application des lois optiques aux arts plastiques dans leurs ensemble, peinture, sculpture, architecture. Définit a non seulement les règles de représentation sur une surface, mais aussi les règles de création de formes architecturales et plastiques ds la mesure ou celle ci vise a neutraliser les déformations apparentes déterminées par le processus visuel. Selon Damian, la scenographia est donc la méthode du peintre, qui se propose de représenter des édifices et qui pour ce faire, doit reproduire non pas leurs dimensons reelles mais leurs dimensions apparentes. La méthode des architectes, qui ne doit pas pas utiliser les proportions dont l'abstraction math&eac...

« La méthode de projection géométrique (mathématique) de la perspective classique repose sur l'idée d'un espace rationnel, c'est-à-dire infini, continu et homogène .

Pour que l’image, construite au moyen de la projection perspective ou centrale, coïncide scientifiquement avec celle de a vision directe, il faut que l’observateur se plie aux conditions dictées par la construction elle-même : autrement dit qu’il regarde le tableau à partir du même centre visuel que celui adopté par le peintre, à la même distance, et avec un seul et même œil absolument immobile.

En dehors de ces conditions, l’image qu’il percevra sera arbitrairement déformée par rapport à l’image naturelle.

Nous sommes donc déjà dans une déformation et donc une illusion du reel.

En remplaçant un espace agrégatif (des objets les uns à côté des autres) par un espace systématique (des objets dans un espace unifié), la perspective rationalise l'impression visuelle du sujet.

Elle peut servir de fondement à la construction d'un monde solide et néanmoins infini, le mot étant pris au sens moderne (espace sans limite).

Panofsky note un passage d’une utilisation de la juxtaposition, de la combinaison et de la superposition à une construction et structuration picturale de l’espace ; ET donc d’une illusion caractère symbolique evident, à une illusion du réel d’un point de vu mathématique.

Erwin Panofsky : L'espace homogène (celui de la perspective) n'est donc jamais un espace donné: c'est un espace engendré par une construction.(p 147) Cette illusion sert la nature du propos que veut exprimer l’artiste, , l’espace devient support d’un discours.

La question de la primauté du visuel.

(qui se met en palce à la renaissance) Le support du tableau.

Il y a unChangement des traités de persp à la Renaissance avec Alberti, p della francesca, L de Vinci, Gaurico, Jean Pélérin, Dürer, D Barbaro…Guidobaldo dal monte..

ces théoriciens se refèrent aux lois de la persp naturalis et en fond devenir une sciences autonome.

Tous les procédés de pers sont fondés sur la définition du plan pictural comme intersection de la pyramide visuelle (sommet=œil de l’observateur, base=l’objet à représenter) Passage d’un fond pictural demeurant vide, symbolisant un espace idéal, parmesé « d’indice d’esapace », (’une conscience et d’une affirmation du support du tableau chez les Anciens) à « de véritable intérieure, ou de véritables paysages », nés de la persp centrale albertienne à la renaissance.

Progressivement, La notion de support materiel du tableau a été remplacé sans équivoque possible a la notion de d’un plan du tableau immatériel.

On en revient a la etymologie première du mot perspective en temps vision traversante.

Cf les saints gérome) L’œil immobile. La renaissance inaugure avec la naissance de la troisième dimension le regne de l’œil.

La perspective produit un double effet .

En mathématisant l'espace psychologique, elle objective la subjectivité , elle contraint le sujet à prendre un certain angle de vue.

Apparemment le réel triomphe, mais c'est la sphère du moi qui s'élargit .

En se soumettant à un ordre rationnel/mathématique, le sujet s'appuie sur un espace dont les règles diffèrent de sa perception subjective.

Il se réconcilie avec l'infini, mais se réduit à un point abstrait , comme s'il ne possédait qu'un seul oeil immobile . La perspective est un triomphe du sens du réel.

Elle produit la distance, l'objectivité, la systématisation et la stabilisation du monde extérieur.

Mais elle introduit dans la représentation la sphère du moi, qui est liée à un désir de puissance, à la négation de toute distance.

Les choses dépendent de l'homme, de l'individu même et de sa position arbitraire, ce qui pose un problème. »

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