La Philosophie de la logique

« pensait avoir résolu les problèmes de la philoso­ phie avec son Tractatus.

Il devint alors professeur à Vienne.

Ses recherches étaient déjà connues et il en discutait , dans la capitale autrichienne, avec un groupe de philososophes comprenant Rudolf Carnap, Moritz Schlick , Friedrich Waismann et Herbert Feigl, qui partageaient les mêmes opi­ nions que lui et faisaient partie du «cercle de Vienne ••.

Tous pensaient que la philosophie dépendait de la science et que la science empi­ rique traditionnelle s'unirait à la nouvelle logique élaborée par Gottlob Frege.

Ils acceptaient l'opi­ nion développée depuis René Descartes et les rationalistes -à travers David Hume , Emmanuel Kant et Auguste Comte -selon laquelle nous ne pouvons rien connaître à partir de la raison pure et que toute notre connaissance du monde pro­ vient de l'expérience sensible, la science servant à formaliser et à généraliser cette expérience.

Le positivisme logique Les membres du cercle de Vienne furent les pre­ miers à affirmer que les problèmes philoso­ phiques sont , de fait , des problèmes d'analyse du langage.

Carnap , en particulier, distingua deux façons de poser les problèmes philosophiques, le mode «matériel> • et le mode. »