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La Raison Peut-Elle Etre Mise Au Service Du Mal?

Publié le 16/08/2012

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Si l’homme peut à la fois désirer faire le bien et faire le mal, alors le bien et le mal peuvent bien se mêler dans son esprit jusqu’à le rendre fou, n’est-ce pas alors que le bien et le mal sont consubstantiels car ils s’expriment de la même manière à travers des décisions, selon nos idéaux pour nous et pour autrui. De plus nous pouvons nous demander si le mal n’est pas relatif à nos préjugés et si ce qui est mal dans une culture par exemple peut apparaitre comme bien dans une autre. Ainsi l’anthropophagisme est mal dans nos cultures judéo-chrétiennes apparait comme mal car un homme ne peut manger son frère, et dans d’autres culture il apparait ainsi que le « frère « manger se voit honoré car il trouve une utilité à sa mort qui réside dans la survie de ses frères. Même le meurtre qui dans toutes les cultures est l’expression ultime du mal pourrait être envisagé comme n’étant pas mal, en effet la mort d’un homme même de la main d’un autre homme ne représente pas forcément quelque chose de mal dans le cadre de la nature, en revanche cela est contre tous nos modèles de sociétés qui reposent sur la vie en commun qui suppose que l’on ne se tue pas les uns les autres. Ainsi le mal et le bien sont bien consubstantiels, ce qui pousse l’individu à se situer au-delà du bien et du mal.

« cette folie pour décider de faire le bien si nous n'avons plus notion du bien et du mal.

Ainsi la repentance ne serait-elle qu'une illusion ? De plus nous pouvons nousdemander sur quoi sont fondés nos principes et si l'homme était naturellement mauvais alors que serait le bien et que serait le mal ?Si l'homme peut à la fois désirer faire le bien et faire le mal, alors le bien et le mal peuvent bien se mêler dans son esprit jusqu'à le rendre fou, n'est-ce pas alors que lebien et le mal sont consubstantiels car ils s'expriment de la même manière à travers des décisions, selon nos idéaux pour nous et pour autrui.

De plus nous pouvonsnous demander si le mal n'est pas relatif à nos préjugés et si ce qui est mal dans une culture par exemple peut apparaitre comme bien dans une autre.

Ainsil'anthropophagisme est mal dans nos cultures judéo-chrétiennes apparait comme mal car un homme ne peut manger son frère, et dans d'autres culture il apparait ainsique le « frère » manger se voit honoré car il trouve une utilité à sa mort qui réside dans la survie de ses frères.

Même le meurtre qui dans toutes les cultures estl'expression ultime du mal pourrait être envisagé comme n'étant pas mal, en effet la mort d'un homme même de la main d'un autre homme ne représente pasforcément quelque chose de mal dans le cadre de la nature, en revanche cela est contre tous nos modèles de sociétés qui reposent sur la vie en commun qui supposeque l'on ne se tue pas les uns les autres.

Ainsi le mal et le bien sont bien consubstantiels, ce qui pousse l'individu à se situer au-delà du bien et du mal. Si l'existence du mal peut s'expliquer par l'ignorance car l'homme désire d'abord le bien pour lui et pour les autres il en arrive parfois à choisir de faire le mal.

En effetil peut désirer quelque chose dont l'obtention nécessite de faire du mal et ainsi opter pour le mal en ayant conscience ou non que c'est mal, mais l'homme peut aussirecevoir des influences l'incitant à opter pour le mal.

Ces influences rendent le mal difficile à cibler et encore plus à juger ou à punir.

En revanche l'individu peutaussi entrer dans une folie du mal en éprouver du plaisir et ainsi perdre tout discernement entre le bien et le mal.

L'homme peut donc confondre les valeurs et désirerà la fois le bien et le mal qui ne sont pas des valeurs absolues mais consubstantielles et relatives.

Cela rend un individu complexe car pétri à partir de ces deuxextrêmes et cela nécessite de placer l'homme au-delà de ces valeurs.. »

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