La volonté générale : le contrat social rousseauiste
Publié le 14/05/2005
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La volonté générale : le contrat social rousseauiste
La volonté générale : le contrat social rousseauiste. Si l'on suit les philosophies du contrat, la liberté naturelle ne peut être abandonnée que si je trouve un intérêt à ce qu'elle le soit. Ces différents motifs sont liés aux droits que me garantissent l'Etat (sécurité, droit à la propriété...). Il est bien évident qu'en m'assujettissant aux lois de l'Etat, je perds une part de cette liberté initiale, et j'entre dans un domaine complexe de droits et de devoirs. L'ensemble de ces droits déterminent l'espace de ma liberté au sein de l'Etat, liberté qu'on appelle juridique.
Liens utiles
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- Je dis donc que la souveraineté, n'étant que l'exercice de la volonté générale, ne peut jamais s'aliéner, et que le souverain qui n'est qu'un être collectif, ne peut être représenté que par lui même. Rousseau, Du contrat social. Commentez cette citation.
- « Quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps : ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre. » Rousseau, Du contrat social, 1762. Commentez cette citation.