Le Moi Universel

« La maladie : d e la première seconde le racisme à la deuxième seconde le crime contre l'humanité Du plus petit au plus grand, tout être vivant arrive dans cet univers pour livrer sa quête personnelle.

Certains parviennent même à laisser une empreinte indélébile dans les mémoires.

C'étaient et ce so nt de véritables univers vivant autour desquels gravitent tout un tas de corps animés ayant la même source d'aspiration.

Ils continuent même à vivre en nous à travers les âges. Pourtant, sous la partie émergée de ce monde, il y a une part d'ombre qui se traduirait par la destruction de l'autre, son conditionnement, sa manipulation pour ainsi dire.

On cherche à tenir en laisse l'autre, l'e mpêcher d'exprimer sa volonté, de l'atteler à la sphère du « mouton ».

Tous ces éléments de corruption reflètent le mal dans sa for me la plus pure ou en tous cas s es premiers prémisses vers quelques choses de plus catastrophiques, à savoir le racisme, la discri mination..Comme dit l'adage « l'arbre qui tombe fait plus d e bruit que la forêt qui pousse » les erreurs de certains - qui sont en réalité le fait d'une minorité - entraînent souvent des retombés sur le reste de la conscience collective, il ne devrait en être rien.

Pourquoi extrapoler systématiquement ? C'est un constat accablant, le racisme com me la discrimination atteint leur paroxysme lors des périodes de crise , les dominants cherchent un bouc émissaire pour jeter sur lui les maux dont souffrent not re société. Cette maladie sociétale est une résurgence notable comme en témoigne tristement l'histoire.

C'es t elle qui est à l'origine des G randes guerres et qui continue à faire la « une » dans l'esprit de certains.

Ces phénomènes ont conduit d'ailleurs les hommes à commettre par de multiple s façons l'irréparable «des crimes contre l'humanité». Cette guerre éternelle qui était jusqu'à là une guerre des amours propres ne s'est pas effacée, elle est toujours là aussi jeune qu'à ses premiers balbutiements, e lle s'est juste convertie en «combat des amours propres».

On a donc tout simplement changé d'échelle.

Aujourd'hui, nous ne pouvons plus nous défiler, nous avons tous une responsabilité à l'égard des souffrances infligé es à nos frères humains.

Nous ne pou vons plus nous réfugier en sectes, idéologies, athéismes, philosophies et religions, nous devrions à présent accepter et embrasser le monde dans toute sa diversité dans toute sa richesse sans préjugés préconçus.

L'humain vient avant toute chose, il doit êt re la pierre angulaire de la foi universelle, la priorité absolue.

Regardons la terre comme un pays et ses habitants comme nos patriotes.. »