Le procès de Socrate

« Marie­Ève Charbonneau Gr   :340­101­MQ pourrait les prendre en considération.

Il lui explique que juste adapte quelconques règles qui ne semblait pas juste ils les avaient toujours rétorqué.

Socrate semblait donc juste de respecter son emprisonnement car à ses yeux les accusations porter contre lui son bien des règles qu’il vénère.

Aussi, il lui fait rappeler qu’il est condamné à mort et que s’il aurait voulu renoncer à cela il fallait rétorquer les propos du jury au départ.

Toutefois, il lui fait rappeler que seules les choses justes sont bonnes d’être entendu : «Celui qui s’y connaît en fait de justice et d’injustice lui qui est unique et qui est la vérité elle-même.

S’il en est bien ainsi, tu nous as engagés dans un premier temps, sur une mauvaise voie, en nous invitant à prendre en considération l’opinion des gens sur ce qui est juste, sur ce qui est come il faut, sur ce qui est avantageux et leurs contraires».(p212 l.9à16) Socrate En évidence, Socrate ne pourrait donc, pas s’échappé vu son énorme croyance envers les lois. Evidement, les lois soutiennent la pensée de Socrate et lui rappel que grâce à eux il a pu acquérir naissance et autres réjouissances.

Dans le même ordre d’idées, elles lui font aussi rappeler que son éducation était très bonne donc les lois qui s’y rapportaient l’étais aussi.

Toutefois, les lois lui acclament que quiconque n’étant pas d’accord avec elles, pouvaient quitter la cité comme il le semblait juste.

Donc, en restant un Athéniens de foi, il ne pouvait brimer aucune d’entre elle car, il pourrait affecter la bonne organisation et la justice qui règne sur la cité.

D’ailleurs, les lois dictent à Socrate qu’il ne peut les compromettent une fois sentence reçu car, son seul temps pour les persuader était au tribunal où justice règne.

Dans ce but, en restant près de nous tu as entamé des engagements que tu te dois de respecter et de chérir.

Les lois interviennent en lui disant que la vertu et la justice sont ce qu’il y a de plus estimable pour quiconque et que tôt ou tard elles finiraient par le rattraper.

En fin de compte, toute ta vie tu nous as représenté auprès des Athéniens tu serais donc, aveugle de ne pas le faire jusqu’au bout.

Pour conclure, il serait facile de critiquer Socrate dans sa décision finale mais il s’aberrait raisonnable qu’il suivre jusqu’au bout sa pensée socratique.

Malgré les mécontentements de son ami, Socrate s’avait que la meilleure décision était de rendre justice jusqu’au bout.

Toute sa vie, il a fait honneur aux lois, il est donc, cruciale qu’elles puissent bénéficiées du même respect malgré l’enjeu dans lequel il se trouve.

Quoi qu’on en dise, je ne cesse de me demander cette question : Si Socrate n’aurait pas été un tel justicier, aurait-il prit l’occasion en or qui se présentait à lui ?. »