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Le renoncement à la liberté

Publié le 19/09/2015

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Orientations bibliographiques :

Emmanuel Kant, Qu’est-ce que les Lumières, Hatier, coll. « Classiques » ; Réflexions sur l’éducation, Vrin, coll. « Bibliothèque des textes philosophiques ».

 

Étienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire, Flammarion, coll. « GF ».

 

Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social (livre 1), Hatier, coll. « Classiques ».

 

Jean-Paul Sartre, La Mauvaise Foi, Hatier, coll. « Classiques » ; L’existentialisme est un humanisme, Gallimard, coll. « Folio ».

Nous sommes partis d’une réflexion sur le sens du renoncement qui nous a conduit à discerner l’importance de l’acte volontaire. Les réflexions sartriennes ont attiré notre attention sur le fait qu’un homme, quel qu’il soit, ne pouvait jamais abandonner sa liberté mais ceci aboutit à supprimer l’idée de volonté libre et rend obscure celle de renoncement elle-même. Dès lors, nous dirons que renoncer est toujours une option possible mais jamais légitime et qu’il est nécessaire de la prévenir par une éducation. Cette nécessité n’est pas celle de l’inéluctable mais de l’indispensable, elle reste un devoir que la liberté s’adresse à elle-même à travers le souci de sa propre formation.

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