Le savoir et le doute
Publié le 15/11/2014
Extrait du document
En adoptant un point de vue historique, Bachelard a de son côté montré
· que l'esprit scientifique ne peut se constituer qu'en se méfiant de l'opinion et de ce que semble indiquer spontanément la perception (cf. la notion d'obstacle épistémologique),
· qu'il doit demeurer indéfiniment capable de remettre en chantier le savoir acquis, même apparemment le mieux constitué. Le doute investit alors la communauté scientifique elle-même, en tant qu'il prépare la refonte permanente des théories et admet qu'une vérité scientifique est par définition provisoire.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Le problème de l'action juste ou bonne se pose en philosophie depuis Socrate : qu'est-ce que bien agir ? Comment savoir si mon choix est le bon? Comment l'accompagner de la certitude — sans doute rassurante — que j'agis bien?
- Le doute n'est-il au-dessus ou au-dessous du savoir ?
- Le doute empêche-t-il de savoir ?
- Le doute est-il une première étape du savoir ?
- un naïf et qu'il est sans doute tombé sur un charlatan, imitateur assez habile à faire illusion pour lui faire croire qu'il est omniscient en profitant de son incapacité à distinguer savoir, non-savoir et imitation.