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Manichéisme (analyse et critique de la doctrine)

Publié le 12/02/2016

Extrait du document

Le bien et le mal sont des réalités auxquelles nous sommes régulièrement confrontés. Les lois définissent le bien et le mal dans les rapports que les hommes entretiennent entre eux. Mais c'est parce que l'homme possède en lui l'idée du bien et le désir d'être heureux qu'il a créé les lois.

 

Elles servent d'obstacle à l'injustice et au malheur, c'est-à-dire au mal. Elles sont le fruit de l'activité raisonnable de l'homme. L'être hu-

main est capable d'évaluer les risques que lui fait courir l'aspiration généralisée à un bien égoïste. Sa raison lui commande d'inventer les frontières qui existent entre le bien et le mal. Il découvre même l'amour du bien et est capable d'éviter le mal. Comme la justice ou la liberté, le bien et le mal ne peuvent être considérés comme des valeurs absolues que s'ils sont tels pour tous les hommes raisonnables et de bonne volonté.

« Le bien et le mal n 'exis tent pas ·~[·]~· Le bien et le mal n'ont aucune réalité indépendante.

Ils ne sont que des mots qui traduisent des jugements de valeur subjectifs.

Nous avons inventé des lois qui définissent ce qu'est le bien et ce qu'est le mal.

Le bien pé riod e de séc heres- un mal.

Mais du poin t et le mal ne sont se et traitée de cala - de vue féministe ou mé- que des mots mit é en d'autr es cir- dical , ce peut être un co n st ances.

Il y a donc bien.

ce que nous appe- une infinité de points de lons bien ou mal sont seulement 1' ex- vue.

Il n'y a ni bien ni Il n 'y a ni bien pression d' une aversion mal , tou t est une gues- ni mal en soi ou de la satisfaction pro-tion de rapports.

Luniversalit é des va- c urées par un événe- Le bien et le mal l eurs ne préexistent ment ou un e action.

Le ont été inventés pas en l'homme.

Nous bien et le mal n'existent ne naissons pas avec ce qui est bien pour l'idée du bien déjà ins- •Ce s mots de bien , de mal moi peut être mal tallée en nous.

Nous ne ( ...

) s'en tendent toujours pour mon voisin.

Comme pouvons nous référer à par ra pport à la personne N ie t zsc h e l 'a vu , bien aucun bien ou aucun qui les reçoit car il n'axis - te rien qui soit tel.» et mal n e so n t qu e d es mal absolu.

C'es t l'h om - Thomas Hobbes no tion s re lati ves, in - m e qui cr ée ses v a - ve nt ées pa r l es reli - le urs, il a l 'enti ère res- pas en so i.

Ils ne sont gicux po ur déf en dr e pon sab ilit é de ses que l'expression d 'un leurs int é rê ts e t asse oir ac tes.

C'es t lui qu i juge , jugement subjectif et r e- l e ur d o minati o n su r selon sa propre échelle, latif.

U ne plui e pe ut les es prits.

Selon l'Ég li- ce qui est bien e t ce qui être p r ov ide nti e lle e n se, la con trac ep tion est est mal.

- Il y a autant de concept ions du bien et de mal que de situations auxquelles je suis confronté.

Ces notions n'ont aucune réalité objective.

Elles ne sont que l'expression d'un jugement moral subjectif qui tente de s'ériger en absolu.. »

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