Nature, paysages, décors dans les Confessions de Rousseau
Publié le 29/10/2010
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Rousseau est d'autant plus passionné par la nature qu'elle constitue pour lui le monde des sensations. Mais la forte impression des « objets sensibles « provient de l'effet que produisent sur lui les paysages : « Il me faut des torrents, des rochers, des sapins, des bois noirs, des montagnes, des chemins raboteux à monter et à descendre, des précipices à mes côtés qui me fassent bien peur « (p.209). Comme Saint-Preux dans La Nouvelle Héloïse, Rousseau découvre dans les montagnes une sorte de « volupté tranquille «.
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