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NIETZSCHE: ''Le brigand et le chef puissant qui promet à une communauté de la protéger de ce brigand, sont vraisemblablement des êtres au fond pareils sauf que le second assure sont avantage autrement que le premier''

Publié le 13/05/2012

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nietzsche

 

Le passage de l'état de nature à l'état social provoque le changement du mode et des conditions de vie des hommes qui sont poussés à vivre dans cette société par leur besoins inombrables. Ainsi dans son texte Nietzsche aborde le principe d'équilibre qui doit se créer en société pour permettre la survie des hommes. La thèse de l'auteur est que le plus important est qu'il existe un chef puissant et des brigands, l'un étant l'ennemis de l'autre et créant donc un rapport de force. Nietzche défend sa thèse en comparant le brigand et le chef puissant, deux être dans le fond identiques, il se penche donc sur leur manière d'agir qui fait ainsi leur distinction. Il ajoute à cela la place de la communauté des hommes, l'association des plus faibles sans laquelle le chef et le brigand n'existeraient pas. Il commence tout d'abord par ce qui différencie le plus le chef puissant et le brigand. Ensuite, il aborde la notion d'équilibre entre ces deux derniers. Enfin, il explique vers qu'elle sorte de “cruauté”, les homme de la communauté préfèrent se tourner et pourquoi. Nous effectueront une étude linéaire de ce texte.

 

 

nietzsche

« qu'une force naturelle supérieure suppose à elles.

Il peut s'agir d'un obstacle naturel insurmontable, ou d'un obstacle que leurs capacités physique et psychologique ne leur permet pas de franchir, une blessure, une maladie ou un autre être vivant qui serait physiquement et psychologiquement supérieur, ici le chef puissant.

Le brigand est puni pour son acte contre un coup de force, la prison, contre le vol, la restitution et l'amende.

On lui fait comprendre qu'il s'est exclu lui même de la socitété en renonçant à ses avantages moraux.

“L'essentiel est que ce chef puissant promet de faire “équilibre” au brigand; les faibles y voient une possibilité de vivre.” En effet, ces deux hommes sont aussi puissant l'un que l'autre sauf que l'un assure la protection d'une communauté d'homme alors que l'autre essaye perpétuellement de mettre en danger cette protection et la vie des gens qui vivent dans cette société.

On peut donc d istinguer ici un rapport de force entre le chef puissant et le brigand, ce qui permet un certain “équilibre”.

Évidemment, le brigand remet en cause, à chaque fois qu'il agit, les lois instaurés par le chef et ce dernier ne fait que remettre en place le dés ordre causé par ce dernier et assure ainsi la protection de tous.

Le brigand a le “pouvoir” de faire du mal à d'autres, de ruiné leur vie dans la société mais n'en a pas le droit, ce qui ne l'empèche pas de le faire pour autant.

Il ne fait que vivre avec ses droits naturels, comme le pouvoir et le droit naturel de penser, d'éprouver des sentiments, de vivre en général.

En nous donnant tous ces pouvoirs la nature nous a donné l'autorisation de vivre, d'exister.

Le brigand vit à l'état de nature, il se donne le droit de tuer s'il se sent menacé ou même sans être menacé tant qu'il n'y a pas de juge (chef puissant), il est le seul à juger des menaces réelles ou imaginaires qui pèse sur lui.

Il devient donc une menace pour tous les autres.

Les hommes savent en effet que s'ils veulent que leur portection soit assurée quelque soit la situation ou bien “il leur faut se coaliser eux- mêmes” afin de créer une puissance capable de faire le poids face au brigand, ce qui est pratiquement impossible car à chaque instant d e notre vie le danger est présent et nous ne somme pas tout le temps en compagnie de quelqu'un pour assurer notre sécurité, ou “se soumettre à quelqu'un qui fait le poids”.

Ici, ce “quelqu'un” est le chef puissant.

Dans l'état social, les hommes préfèrent se soumettre à une personne ayant les capacités physique et psychologique d'assurer ce rôle plutôt qu'assurer leur propre protection eux-même, même si cela implique que les hommes doivent rémunérer cette personne pour le service qu'elle leur rend.

Mais aus si les hommes doivent se soumettre parfois à des lois avec lesquelles ils ne sont pas forcément d'accord car elles ne leur apporte que malêtre, restriction ou pauvreté.

En effet, dans tous les contrats, on s'engage à renoncer à un certain avantage au profi t d'autrui, en contrepartie on obtient des avantages au détriment d'autrui.

Si l'on veut intégrer état social il faut renoncer à faire tout le temps ce que l'on veut, renoncer à exercer un pouvoir ou un droit naturel, renoncer à se défendre par tous les mo yens dans n'importe qu'elle situation et pour n'importe qu'elle motif.

“On donne volontiers la préférence à ce dernier procédé, parce qu'au fond il. »

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