1073 résultats pour "êtres"
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Les êtres vivants dans leur milieu
LES ÊTRES VIVANTS DANS LEUR MILIEU
I.
Les êtres vivants dans leur milieu Tout finit avec les décomposeurs ou plutôt tout recommence A la mort de tous ces producteurs, la matière organ ique est décomposée par des micro-organismes qui utilisent à leur profit les restes de tous les êtres vivants. Rejetant du CO 2, ils minéralisent à leur tour le carbone et ne laissent, quand le carbone or ganique est complètement utilisé, que des sels minéraux que les végétaux pourront puiser d...
- Etre comblé est-ce etre heureux?
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L'ETRE EN LUI-MÊME
ART. III. L'ESSENCE ET L'EXISTENCE. - Le problème de la distinc tion. - Les notions d'essence et d'existence. -Nature de la distinction. - La distinction réelle. - La distinc tion adéquate des concepts. -L'existence reçue. - Difficultés r~la.içes à la distinction réelle. - Les con0epts d'essence et d'existence. -L'essence, puissance subjec tive. - L'esse, comme acte proprement dit. - Conclu sion. - Les objections existentialistes. ART. IV. LE POSSIB...
- Etre juste est-ce etre dans son droit ?
- Etre juste, est-ce etre dans son droit ?
- Faut-il etre seul pour etre heureux ?
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Etre adulte est-ce etre seul ?
"La paresse et la lâcheté sont les causes qui expliquent qu'un si grandnombre d'hommes, après que la nature les a affranchis depuislongtemps d'une direction étrangère, restent cependant volontiers leurvie durant, mineurs et qu'il soit si facile à d'autres de se poser entuteurs des premiers. Il est si aisé d'être mineur ! Si j'ai un livre qui metient lieu d'entendement, un directeur qui me tient lieu de conscience,un médecin qui décide pour moi de mon régime, etc., je n'ai vraimentpas bes...
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Le cycle de développement des êtres vivants
LE CYCLE DE DÉVELOPPEMENT DES ÊTRES VIVANTS
I.
Le cycle de développement des êtres vivants Etapes du développement chez quelques invertébrés et vertébrés : Invertébrés insecte type criquet : métamorphoses progressives, croissance discontinue uf .. .. « larve » adulte (Fécondation interne) (Eclosion) (Croissance par mues) Invertébrés insecte type coccinelle : métamorphos es complètes, croissance discontinue uf ...larve .nymphe ...
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- Etre un homme libre, est-ce etre un homme heureux ?
- Peut-On Etre Homme Sans Etre Citoyen ?
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Etre ou ne pas etre IDIOT
totalement centré sur mes interet personnel je t'en pris , qu'en cet acte prémédité promet moi la verité...Adieu monde cruel de ta malhonnetteté tu nous envayi et du bonheur tu nous trompe , que je voi en toi une illusion factise qui m'empeche de voir le vrai visage des chose qui m'entoure , de ma vison reculé immature et totalement centré sur mes interet personnel je t'en pris , qu'en cet acte prémédité promet moi la verité...
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« Qu'est-ce que le roman, en effet, sinon cet univers où l'action trouve sa forme, où les mots de la fin sont prononcés, les êtres livrés aux êtres, où toute vie prend le visage du destin.» Albert Camus, L'Homme révolté
prévisible et cohérente. Le lecteur est ainsi souvent en mesure de deviner la fin du roman à l'aune du début. Exemple : Dans La Princesse de Clèves l'échec du mariage est annoncé avant même sa réalisation lorsque l'auteurprécise que la mère de l'héroïne lui donna « un mari qu'elle ne pût aimer ». De même la Princesse de Clèves etNemours se reconnaissent sans même avoir été présentés : Citation : « Le Roi et les Reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent quelque chose de...
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Aristote: La plus importante question à poser, ce serait de demander quel concours apportent les Idées aux êtres sensibles
de l'existence. Là, il s'agit de se rapporter aux Idées en tant que principe d'intelligibilité des êtres sensibles (leuressence immuable permettant justement d'appréhender quelque chose de stable et de fixe dans la nature mouvanteet changeante des êtres générables et corruptibles, de tout ce qui naît et périt). Ici, il s'agit de se référer aux Idéesen tant qu'origine, source génératrice de ces mêmes êtres sensibles (ce qui implique qu'elles aient la capacité de lesengendrer). Ici et là, il s'agi...
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Dans la vie, suffit-il de multiplier les expériences pour mieux comprendre les êtres humains ?
les Méditations métaphysiques . Dans ce texte en effet, Descartes met en exergue la primauté du « je pense » du cogito qui est cette certitude première qui résiste au doute. L'identité est donc première, source de toute métaphysique et donc source de toute autre connaissance. Je suis, j'existe, c'est ceque je sais immédiatement. Dès lors, le je en tant que je seul et en tant que certitude premièresemble revêtir une importance toute particulière, et ce notamment vis-à-vis de toute forme d'...
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Les hommes sont-ils des êtres de la nature ?
adapte ce monde à ses besoins. Il y a donc une différence radicale entre le monde naturel et le monde culturelhumain. Mais cette négation ne porte pas simplement sur le monde extérieur, elle porte également sur l'homme lui-même puisque tout individu quitte cette naturalité première qui fait de lui simplement un être de besoins. L'hommen'est pas qu'un être de besoins, en quoi son éducation fait qu'il ne vit pas seulement selon ses pulsions ; parexemple, l'éducation consiste à apprendre à vi...
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Les machines sont-elles assimilées à des êtres vivants ?
les pièces(organes) ajustées les unes aux autres, transmettent,tour à tour, le mouvement qu'elles reçoivent. Enassimilant l'organisme à une machine, Descartes pose les principes d'un programme scientifique du vivant enéliminant totalement la notion d'âme comme principe d'organisation finalisé de la matière. Par rapport aux autresêtres naturels, le vivant n'a plus rien d'original et s'explique selon les mêmes lois que les lois qui régissent la matière. b) En effet, on peut comparé la...
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Etre Tolérant est-ce laisser tout dire ?
2/ La liberté d’opinion est un droit, fondé sur le respect de la personne humaine Etre tolérant, c’est l’inverse d’être dogmatique, catégorique ou sectaire. C’est donc respecter la diversité des opinions. C’est reconnaître que la réalité est complexe et que les individus sont différents, et qu’il faut donc accepter les différentes perspectives et points de vue. C’est ne pas prétendre a priori détenir la vérité absolue et laisser s’exprimer les autres,...
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Etre ou ne pas etre soi-même
conscience d'être. Cette conscience pose donc cette contradiction, qui nous empêche à l'évidence d'être en même temps nous mêmes et différent de nous mêmes. De plus celle-ci nous rend responsable de nos propres actes : elle est la cause de nos actions, nous pouss0e à choisir ce que nous allons considérer juste ou injuste, ce qu'il faut faire et ne pas faire, dire et ne pas dire. En somme, elle nous permet de choisir notre morale de sorte que nous devrons toujours assumer nos propres actes. Pour...
- Etre ou ne pas etre
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LES ÊTRES VIVANTS DANS LEUR MILIEU
Les êtres vivants dans leur milieu Tout finit avec les décomposeurs ou plutôt tout recommence A la mort de tous ces producteurs, la matière organ ique est décomposée par des micro-organismes qui utilisent à leur profit les restes de tous les êtres vivants. Rejetant du CO 2, ils minéralisent à leur tour le carbone et ne laissent, quand le carbone or ganique est complètement utilisé, que des sels minéraux que les végétaux pourront puiser d...
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La conscience fait-elle de nous des êtres à part dans la nature ?
PRÉS UPPOSÉS � Les hom mes sont des êtres qui font partie de la na ture, mais ils joui ra ien t d'un statut excepti onnel dans la nature. � On peut considérer les hom mes dans leur totalité comme constituant un genr e à part dans la nature: ils ont des qualités commu nes, grâce auxquel les ils ne sont pas simpl ement des animaux. DÉFIN ITION La nature s'oppose à l'ar tifice : c'es t ce qui exis te en dehor s de la culture et de la civi lisati on, c...
- Si, selon Rey : « Etre homme, c'est se sentir comme un réservoir de possibilités, comme une multiplicité d'êtres virtuels ; être artiste, c'est amener ce possible et ce virtuel à l'existence », même si d'après Thibaudet : « C'est toujours un dur métier d'écrire un livre, (car) on est toujours tenté de se borner à le rêver ».
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Les êtres vivants sont-ils comme des machines ?
du vivant ? Il faut interroger la notion de modèle : on peut considérer qu'il s'agit d'une transposition d'un ordre (levivant) dans un autre (le mécanique) destiné à mieux comprendre l'ordre de départ en formulant sur lui deshypothèses à partir des propriétés de l'ordre d'arrivée. En clair : la machine a des traits communs avec le vivant, etd'autres caractéristiques (on peut soupçonner que ces caractéristiques sont vraies aussi du vivant, mais cela resteà vérifier, si c'est vérifiable)....
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BIOSPHÈRE
La biosphère est la couche superficielle de la Terre où sont présents les êtres
vivants.
2 êtres vivants n’ont pas seulement créé l'atmosphère telle que nous la connaissons aujourd’hui, mais ce sont eux qui la régulent et qui maintiennent à un niveau constant (favorable à leur développement) la concentration des différents gaz. Si nous considérons à présent les différentes communautés de plantes et d’animaux répandues sur la Terre, nous découvrons que, entre les êtres vivants et le milieu où ils vivent, il existe un réseau de liens étroits et d’échanges mutuels. Les Bactéries, les...
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Etre maître de soi, est-ce une visée illusoire ?
II – Illusion et idéal a) Platon lui-même dans l' Alcibiade ne fait-il pas dire à son interlocuteur éponyme par l'intermédiaire de Socrate : « connais-toi toi-même » tel que cela apparaît sur le fronton du temple de Delphes. Or se connaître soi-même est ledépart de l'éducation du naturel philosophe en tant qu'il pourra effectivement maîtriser ses désirs donc agir enécoutant simplement son âme, c'est-à-dire la partie rationnelle de son être. Il pourra alors être éclairé par le savoirqu'il...
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Etre libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
Un monde sans loi serait l'anarchie, et comme expliqué précédemment, l'anarchie ne peut exister puisqu'il existetoujours des hommes plus forts qui instaureront leurs règles, pour au final anéantir le concept même d'anarchie.L'Homme se doit de s'imposer des règles auxquelles il obéira, selon une certaine volonté morale, pour se garantir leplus de liberté possible. Dans cette conception de la liberté, les limites ne sont pas des limites contraignant la libertéde la volonté humaine ; ces limit...
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Etre libre : Est-ce faire ce que l'on veut ?
production d'une action personnelle à un sujet. C'est une liberté absolue qui peut choisir aussi bien le mal du bien. Cependant, cette idée d'allier désir et liberté pour Descartes ne s'arrête pas seulement au libre arbitre, en effet, il évoque aussi la « liberté d'indifférence » qui prouve qu'un individu peut délibérément vouloir le mal « Lorsqu'une raison très évidente nous porte d'un côté, bien que, moralement parlant, nous ne puissions guère choisir le parti contraire, absolument parlant, n...
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Peut-on parler d'un droit des êtres vivants ?
vivants? En effet, en eux-mêmes ils n'ont pas de véritable « personnalité » juridique. Ne disposant ni de libertéconsciente, ni de raison, ni de responsabilité, dépourvus de l'usage du langage, les êtres vivants ne sont pas enmesure de formuler et de faire valoir des droits. Il reviendrait donc à l'homme de le faire pour eux. Mais n'y a-t-il pasdès lors un risque que l'homme projette sur les êtres vivants et la nature ses propres conceptions des choses(anthropomorphisme) sans être en mes...
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Etre cultivé, est-ce etre intelligent ?
de celui-ci. 3) La réelle part de la culture dans l'intelligence. Appuyée le plus souvent sur un fondement marxiste, la critique de la mesure de l'intelligence s'en prend en premierlieu à l'idée qui fait de celle-ci un « don » mystérieux, inné et héréditaire, une essence préexistant à l'individu ; ensecond lieu, elle vise la méthode de mesure par les tests, en avançant des arguments d'ordre politique ; cetteméthode est la « caution rêvée, d'apparence objective, pour le maintien de certain...
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CELLULE
GÉNÉRALITÉS
La cellule constitue l'unité structurelle et fonctionnelle fondamentale des êtres
vivants.
2 cellulaire mais est librement immergé dans le cytoplasme. La deuxième branche, celle des Eucaryotes (du grec eu , vrai, et karion , noyau), comprend tous les autres êtres unicellulaires et pluricellulaires, les végétaux et les animaux, qui ont un noyau bien défini, avec une membrane qui sépare le matériel génétique du cytoplasme. Les cellules eucaryotes possèdent en outre une grande variété de compartiments internes et d'organites chargés d'assurer les fonctions cellulaires. Tous les organis...
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La tentation de Saint Antoine
Penses-tu qu'il soit continuellement a rajuster le monde comme une oeuvre imparfaite, et qu'il surveille tous
les mouvements de tous les etres depuis le vol du papillon jusqu'a la pensee de l'homme?
Est-ce la clarte de l'aube, ou bien un reflet de la lune? Il tache de se soulever, puis retombe; et en claquant des dents: J'eprouve une fatigue ... comme si tous mes os etaient brises! Pourquoi? Ah! c'est le Diable! je me souviens,et meme il me redisait tout ce que j'ai appris chez le vieux Didyme des opinions de Xenophane, d'Heraclite, de Melisse, d'Anaxagore, sur l'infini, la creation, l'impossibilite de rien connaitre! Et j'avais cru pouvoir m'unir a Dieu! Riant amerement: Ah! demence! deme...
- Y a-t-il des êtres inhumains ?
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Etre ou non
Ainsi comme le dit Descartes : « Je pense donc je suis », signifie que nous sommes des sujets doués de conscience. Si nous pensons, alors nous ne doutons plus que nous sommes. Le cogito cartésien est d'ailleurs à la base de toutes ses réflexions métaphysiques, le sujet est dès lors différencié de l'objet. Pascal dit également : « l'homme est un roseau pensant », selon lui, le mot 'conscience' est un mot si primitif, que ce serait l'obscurcir que de vouloir le définir. Existons-nous encore quand...
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Etre libre, est-ce faire ce qui nous plait ?
réponse semble évidente : ce sera l'enfant lui-même. Pourtant il faut reposer la question : qu'est-ce qui décide enlui lorsqu'il décide ? Il est clair en effet, que la volonté doit être motivée par quelque chose : puisque ce ne sontplus ses parents qui décident sa volonté, qu'est-ce qui la décidera ?2/ La liberté comme vie de désir : Kant dit de la volonté qu'elle est comme à la croisée de deux routes, et c'estaussi ce qu'exprime Platon en disant, dans le mythe de l'attelage ailé, que le bon che...
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Doit on considérer que, dans la nature, les êtres vivants ne sont que des moyens pour l'homme ?
les civilisations traditionnelles, le rapport de l'homme à la nature est fortement marqué par la dimension du sacré quisoustrait à son usage tout ce qui est «tabou » et limite fortement, d'une manière générale, l'action autorisée. Laconnaissance de la nature est alors conçue davantage sur le mode de la proximité intime que sur le mode del'opposition tel que la définit la science moderne. L'exemple des « sauvages » qui accomplissent un rite de demandede pardon avant de tuer un animal ou d...
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Le Ventre de Paris
avait laissees le matin, lui parurent un vaste ossuaire, un lieu de mort ou ne trainait que le cadavre des etres,
un charnier de puanteur et de decomposition.
Pour sur, dit-il, Cain etait un Gras et Abel un Maigre. Depuis le premier meurtre, ce sont toujours les grosses faims qui ont suce le sang des petits mangeurs... C'est une continuelle ripaille, du plus faible au plus fort, chacun avalant son voisin et se trouvant avale a son tour... Voyez-vous, mon brave, defiez-vous des Gras. Il se tut un instant, suivant toujours des yeux leurs deux ombres que le soleil couchant allongeait davantage. Et il murmura: Nous sommes des Maigres, nous autres, vous...
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Etre un sujet, est-ce être autonome ?
1 - Non, je ne suis pas mon corps, puisque celui-ci change et que je reste moi-même.2 - Aimer l'âme n'est pas moins illusoire, puisqu'on aime là encore seulement des qualités de celle-ci, commel'intelligence ou la mémoire, qualités qui peuvent lui être retirées sans que son identité en soit changée.3 - Le moi serait ce qui, en une personne, ne change jamais ; ce qui subsiste malgré les modifications que le tempsapporte au corps comme à l'âme. 3. Descartes et la philosophie du sujet : «Je...
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Heidegger : distinction ontologique etre / etant
I) Etre / étant / Dasein a) La différence ontologique : Heidegger dans son ouvrage « Sein und Zeit » (Être et Temps) publié en Allemagne en 1927, commence par poser la question de l’être : « Que toujours déjà nous vivions dans une compréhension de l’être et qu’en même temps le sens de l’être soit enveloppé dans l’obscurité, voilà la nécessité fondamentale de répéter la question du sens de l ‘’être’’ » 2 Mais que signifie ce mot « être » ? Heidegger...
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La Terre
de vous etre refuse un fin morceau?
qu'un rideau. Sans doute, la Trouille n'avait pas tous les soirs a cuisiner des haricots rouges et du veau aux oignons. Cela n'arrivait que lorsqu'on avait tire du pere une piece blanche, et Jesus-Christ, sans y mettre de la discretion, ne le violentait pas, le prenait par la gourmandise et les sentiments pour le depouiller. On nocait les premiers jours du mois, des qu'il avait touche les seize francs de sa pension, chez les Delhomme; puis, c'etaient des fetes a tout casser, chaque trimestre, qu...
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Les hommes sont-ils des êtres à part dans la nature?
- Pourtant, l'homme est un être particulier dans la nature. Comparée àl'espèce animal, l'homme paraît inachevée, tant du point de vue anatomique(à la naissance les deux côtés du cœur ne sont pas séparés) que relativementaux comportements qui lui sont possibles. L'animal naît avec des instincts quiprogramment ses réponses vitales. Il n'existe rien de tel chez l'homme : pasmême par exemple l'instinct maternel qui varie selon les sociétés. C'est pourcela que l'homme doit tout acquérir, par la...
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- La conscience de soi nous élève-t-elle au dessus des autres êtres ?
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Les hommes sont-ils des êtres à part dans la nature ?
lui-même, il est d'une certaine façon «condamné» à s'autodéfinir. C'est ce qu'avait compris Rousseau ; c'est ce que redisent à leur manière, en soulignant que les problèmes constants querencontrent les êtres humains aboutissent à des solutions très variables, lesethnologues, aussi bien que l'existentialisme sartrien. Quel que soit l'aspect deleur culture que l'on privilégie (prohibition de l'inceste ou pratique del'échange, soins apportés au cadavre ou travail sous sa forme élémentaire...
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Etre heureux, est-ce satisfaire tous ses désirs?
un désir est remplacé par un autre, qui demande à son tour à être satisfait. Seuls peuvent échapper à ce cycledésespérant les êtres d'exception dont l'intelligence pure l'emporte sur la volonté. » Entre les désirs et leurréalisations s'écoule toute la vie humaine. Le désir est souffrance : sa satisfaction engendre bien vite la satiété.Son but est illusoire ; la possession lui enlève son attrait. Le désir renaît sous une forme nouvelle, et avec lui lebesoin ; sinon c'est le dégoût, le vide...
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Les êtres vivants imposent-ils de repenser la finalité ?
considérées réciproquement comme moyen et fin (cf. un organisme) ; la finalité immanente qui résulte de la natureet du développement de l'être même (adaptation du vivant à son milieu) ; la finalité transcendante qui est réaliséedans un être par l'action qu'exerce sur lui un autre être. b) Principe de finalité : la nature ne fait rien en vain, c.-à-d. tout être a une fin ; d'où, à l'inverse, l'idée d'une preuve de l'existence de Dieu à partir de l'existence de la finalitédans la nature ; cf. télé...
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Les êtres vivants imposent-ils DE REPENSER LA FINALITÉ ?
d'une théorie transformiste au début du x1x• siècle, il s'agissait d'une adaptation à l'environnement : ce caractère acquis, en réponse à la nécessité d'aller chercher la nourriture en hauteur, était censé se .J transmettre à la descendance et l'espèce posséder alors un cou plus .~ long. Pour Darwin, c'est la lutte pour la vie qui finit par favoriser les D:: girafes au long cou plutôt que les autres, une variabilité individuelle 1...
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Etre un sujet condamne-t-il l'homme à n'avoir en toute chose qu'un point de vue subjectif ?
Introduction Etre un sujet c'est à dire une personne humaine ne va pas sans prérogatives : " penser par soi-même " en est une et non des moindres comme l'a montréDescartes par son doute hyperbolique qui mène à la vérité du " je pense donc je suis". La question toutefois peut se poser : " être un sujet condamne-t-ill'homme à n'avoir en toute chose qu'un point de vue subjectif ? En d'autres termes, suis-je enfermé dans ma subjectivité ou puis-je aussi accéder à desformes de pensées plus objectives...
- L’Etre et le néant
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L'ANALOGIE DE L'ETRE
182 2. L'être, concept transcendantal. a) UniPersel et transcendanti'Ll. On appelle uniCJersel le con cept qui èonstitue un genre, par abstraction des différences spécifiques, ou une espèce, par abstraction des différences individuelles. Ces uniCJersels logiques peuCJent faire abstraction des différences, spécifiques ou indiCJiduelles, puisqu'ils ne les contiennent pas. Aussi les attribue-t-on à leurs inférieurs (espèces ou individus) uniquement q...
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- Etre ou ne pas être
- Etre un homme conscient, est-ce etre un homme libre ?