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occupy wall street

Publié le 13/12/2012

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SCPO Les organisateurs d'occupy wall street doivent s'entendre sur certaines revendications afin de garder leur mouvement en vie. Tout d'abord, il faudrait dépasser l'anarchisme. Il faut avoir une certaine réflexion sur les enjeux de l'anarchisme car c'est nécessaire à la lecture critique. L'anarchie serait donc absence de commandement, absence de pouvoir, absence de chef, absence d'autorité. Si on regarde dans différents dictionnaires de différentes langues, on remarque que la définition d'anarchie se résume toujours par le mot désordre. On peut donc conclure que l'anarchie est en quelque sorte le produit d'un certain manque. L'anarchie est aussi définie comme un antagoniste d'ordre en soi et une philosophie qui refuse tout dogmatisme afin de mettre au premier plan l'autonomie de la conscience morale. Chaque personne doit être libre de se déterminer par elle-même et de l'exprimer. L'idéale société anarchique est fondée sur des valeurs libertaires, sans domination où les hommes coopèrent tous librement. On peut aussi remarquer que ce qui constituerait la base de l'organisation sociale et des relations économiques et politiques serait les liberté...

« dans le haut, ni trop dans le bas, sinon, elle risque de s’effondrer.

Dans le cas d’Occupy Wall Street, il y a plus de gens de la classe moyenne et pauvre que de gens de la classe riche.

Ce qui ne devrait pas être ainsi.

À bien considérer les choses, on peut en dire autant de l’organisation démocratique de la société.

Cela peut d’abord sembler paradoxal.

Dans la démocratie, si l’on s’en tient à l’esprit et à l’étymologie, le pouvoir de commander (kratein) appartient au peuple (dêmos).

Mais, d’une part, ce qu’on appelle le peuple aux fins de l’exercice de la démocratie n’englobe que rarement l’ensemble réel des personnes qui vivent dans un pays démocratique : en Italie, en France, dans toutes les démocraties avancées, nombreux sont les individus dont certains droits démocratiques fondamentaux sont compromis, sinon strictement empêchés. Une des bonnes solutions pour Occupy Wall Street serait peut-être d’humaniser un peu plus le capitalisme ce qui veut donc dire que le capitalisme financier doit être remplacer.

Selon Antonin-Xavier Fournier, professeur de sciences politiques, les manifestants d’occupy wall street devrait dépasser l’anarchisme en proposant une réflexion qui s’incarne dans l’action.

On peut considérer entre-autres, la taxe sur les transactions financière.

D’après un autre professeur de sciences politiques et aussi chercheur sur les recherches internationales au centre d’études de l’Université de Montréal, Philippe Faucher mentionne que les partis politiques et les syndicats ne savent plus comment surmonter les intérêts corporatistes qui les asservissent.

C’est pourquoi on fait maintenant face à l’indignation.. »

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