Peut-on ignorer ses propres pensées ?
Publié le 27/02/2008
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- « Il Est Des œuvres Qui Vous Obligent À Voir Un Monde Que Nous Préférons Ignorer, Mais Aussi À Voir En Nous, À Découvrir Nos Propres Abîmes, Nos Tentations Et Nos Abus »
- Pascal condamne : « Le sot projet qu'il a de se peindre! et cela non pas en passant et contre ses maximes, comme il arrive à tout le monde de faillir, mais par ses propres maximes, et par un dessein premier et principal. Car, de dire des sottises par hasard et par faiblesse, c'est un mal ordinaire; mais d'en dire par dessein, c'est ce qui n'est pas supportable... » (Pensées, section II, n° 62.)
- « Il est des oeuvres qui vous obligent à voir un monde que nous préférons ignorer, mais aussi à voir en nous, à découvrir nos propres abîmes, nos tentations et nos abus » Yves Bonnefoy
- « Il est des oeuvres qui vous obligent à voir un monde que nous préférons ignorer, mais aussi à voir en nous, à découvrir nos propres abîmes, nos tentations et nos abus » Yves Bonnefoy
- On rapproche souvent le cinéma de la littérature écrite, et les réalisateurs eux-mêmes ont eu bien des fois recours au roman ou au théâtre, leur empruntant soit des œuvres déjà accomplies, soit une forme familière au public. Cependant, un critique, Jean Limousin, écrivait à propos d'un metteur en scène célèbre : « La justesse des notations, leur portée sur le public, tiennent à ce qu'elles sont pensées directement « en cinéma » par un homme intelligent qui découvre aussitôt l'équivalen