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PHILOSOPHIE LES SENS

Publié le 03/04/2014

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L'idée principale est que les sens ne sont pas suffisants nous donner toutes les connaissances bien qu'ils soient nécessaires pour avoir nos connaissances actuelles et objectives.   Tout d'abord Leibniz nous présente sa thèse sur les sens et la connaissance, les sens sont nécessaires aux connaissances actuelles mais ne suffisent pas en eux même à fournir toutes les connaissances du monde car les connaissances apportés sont limités à ce qui nous entourent. Ce que nous observons ici n'est peut être pas vrai ailleurs, nous de pouvons pas le savoir simplement avec nos sens. Tout comme ce qui paraît n'est pas forcément comme les illusions d'optiques qui peuvent nous laisser croire que la chose est quelque chose mais elle n'est pas réellement ce que l'on voit par exemple : une fausse blonde est blonde, mais n'est pas réellement blonde sans artifice et nous ne pouvons le savoir qu'avec nos sens. Ensuite l'auteur nous démontre que malgré que nécessaires et bien utiles les sens ne sont pas suffisants pour acquérir les connaissances scientifiques telles que les mathématiques et leurs principes qui sont une suite de déductions crée par un raisonnement logique. Cette logique transforme la vérité matérielle en vérité formelle. Cette connaissance est basée sur le formalisme dont la démonstration doit être infaillible et ne peut être démontrer par les sens, c'est un langage symbolique, une création d'une vérité formelle qui vient de la déduction qui ne peut venir des sens.       Je peux affirmer des vérités telle que « Cette personne aux cheveux roux a des tâches de rousseurs. »  C'est une connaissance sensible, une personne, un objet que l'on perçoit et dont l'on a conscience grâce à nos sens qui nous guident à dire que nous pouvons affirmer que cette personne devant nous...
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«   Je peux affirmer des vérités telle que « Cette personne aux cheveux roux a des tâches de rousseurs. »  C'est une connaissance sensible, une personne, un objet que l'on perçoit et dont l'on a conscience grâce à nos sens qui nous guident à dire que nous pouvons affirmer que cette personne devant nous a des tâches de rousseurs, c'est une vérité particulière.

Elle ne concerne que la personne qui est en face de moi.

Il existe aussi la vérité générale qui consiste à affirmer quelque chose qui concerne tout le monde mais qui ne peut être vérifier par exemple «  Toutes les personnes aillant des cheveux roux ont des tâches de rousseurs. ». Comment je peux vérifier que tous les roux du monde ont des tâches de rousseurs ? Je ne peux évidemment pas vérifier cela serait bien trop long, c'est impossible.

Quelque soit le nombre d'exemple que je peux donner pour affirmer que tous les roux sont concernés, je n'aurai jamais la preuve ni la certitude qu'ils soient tous concernés par ma vérité générale et donc pas universelle.

La vérité générale est une vérité qui concerne la majeur partie, ce qui est généralement mais qui n'est pas une vérité qui ne peut être réfuter contrairement à la vérité universelle qui doit s'appliquer à tout le monde.

Cette phrase veut donc dire que malgré tous les exemples donnés il n'y aura jamais possibilité d'avoir vérifié tous les objets concernés donc ce n'est pas une vérité universelle.         Leibniz précise cette phrase en rapport avec la première phrase de son texte « Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c'est-à-dire des vérités particulières ou. »

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