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Sujet : Suis-je conscient de moi-même ?

Publié le 12/06/2012

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On a pu voir que la problématique de notre sujet sur la conscience nous a amené a réflexion, contradiction et formulation d’hypothèses. Or il n’en est pas une plus vérace que l’autre. La thèse la plus exacte serait donc qu’un être humain se compose d’un esprit où inconscient et conscience s’entremêle pour nous amener à se représenter tels qu’ils le désirent avec des aspects purement idéalistes et illusoires de notre personnes et d’autres, véritables déterminants de notre identité. Chacun possède donc une conscience de soi, a conscience d’être ce qu’il est mais peut quand même garder une part d’obscurité. Le « soi « de l’être vivant est donc individuel mais ouvert sur autrui et sur l’environnement social qui l’entoure. Un sujet, veut donc comprendre le « moi « qui le compose pour en découvrir sa nature, ses goûts, désirs mais ne peut le faire qu’avec une patience et une ouverture d’esprit suffisante tout en sachant qu’il ne pourra le faire dans son intégralité. Le bien le plus précieux d’un individu reste son identité mais faut-il encore la connaître de l’intérieur pour s’y assimiler et devenir un sujet à part entière. Mais la connaissance de soi, du sujet par le sujet, doit être véritablement recherchée par le conformisme de nos sociétés contemporaines entraîne la formation d’identité culturelle propre à chaque nation voir continents. C’est pourquoi pour se distinguer il faut aujourd’hui non pas s’apparenter à une nationalité ou croyance mais à la conscience de « soi « que nous avons de nous-mêmes.

« désirs de chacun, même si quelques archétypes découlent dans une majorité de cas.

Cette recherche d'analyse du rêve passe par des mécanismes del'inconscient et notamment la condensation et le déplacement qui donne une signification à tout objet, détails, couleurs, mots que le rêve introduit dans un décorparfois étranger mais qui ne sert que d'enveloppe au rêve en lui-même.

On dit donc qu'il transforme nos désirs latents (=inconscient par exemple la peur …) enmanifestes (représentation par les objets, les images…).

Cet inconscient n'est tout de même pas libre de faire ce qu'il désire et d'influer selon son bon vouloirsur nous.

Il est en effet, lui aussi structuré par le monde extérieur et notamment au cours de processus de socialisation de la plus tendre enfance jusqu'à notremort et permet de réguler certains besoins primitifs conformément à notre propre culture.

L'exemple le plus pertinent est celui de la sexualité, et surtout sasustentation évitant certains déboires comme les relations incestueuses ou la pédophilie, désirs primitifs que possède chaque sujet conscient humain.

C'estnotamment pour ces mêmes études que Freud fit scandale à l'époque, avec un reproche principale, celui de tous ramener à la question du sexe.

Or, lephilosophe n'a pas la même conception de l'hormone du désir, puisque pour lui la libido reste une composante de notre inconscient qui permet de s'investirémotionnellement dans tous les aspects de notre existence et nous donne « Notre Capacité à Aimer ».

C'est pourquoi l'on peut en conclure qu'il existe undéterminisme en chacun de nous dont nous ne pouvons avoir conscience de par la présence d'une partie de notre esprit que nous ne pouvons contrôler malgréle refus et l'obstacle qui oppose notre propre conscience.

Je ne puis donc pas savoir totalement ce que j'ai conscience d'être et la conscience, la connaissance desoi par soi n'est donc pas totale, connu ou déterminée de façon définitive. En résumé, il semblerait que je ne puisse pas avoir totalement conscience de moi-même malgré le fonctionnement de ma conscience morale.

Celle-ci étant,notre étude nous a montré que notre conscience de ce que nous somme peut être trompée par un environnement, par elle-même et par autrui et même devenirimpersonnelle.

Cela étant dit, il nous est obligé d'admettre la présence d'un inconscient psychique au sein de notre esprit que nous ne pouvons contrôler et quiinflue de manière intentionnelle sur nos comportements et émotions puisqu'il est normal pour un sujet humain d'avoir des désirs refoulés que nous devonsexprimés de manière explicite à travers notamment nos rêves, nos pensées incontrôlées… Il semblerait, malgré tout qu'il soit possible de reconnaître la méprise de ce que j'ai conscience d'être.

En effet, malgré notre part d'inconscience, certains de sescontenus psychique peuvent comme nous l'avons dit passer les sépare de notre conscience.

C'est pourquoi, en langage moderne on pourrait dire que nousprenons conscience de ne pas être ce dont nous avions conscience d'être à condition d'admettre certaines limites au déterminisme de l'inconscient.

Ainsi, unindividu peut tout au long du cycle de la vie en approfondir sa connaissance de soi, par soi et en soi.

La part d'illusion sur lui-même est alors réduite mais pasdétruite.

En effet, la part « d'inconscient Freudien » est immuable de notre esprit et doit pour le bien-être du sujet, le rester.

En soi, la recherche de laconnaissance de soi est l'aventure de toute une vie, inlassablement continue et notamment au cours de l'adolescence où le sujet est soumis à véritable quêteidentitaire, pour lui permettre d'apprendre qui il est et tenter de faire des choix qui déterminerons son futur, son avenir et sa vie tout entière.

La méprise sur soipeut aussi amener un sujet à découvrir des instincts, des aspects de lui-même qu'il ne pensait pas connaître et lui permettre d'augmenter la conscience de sonêtre.

Chacune de ses expériences vont l'amener à faire des bilans sur ce qu'il est, n'est pas, doit être (ou pas) et ne cesse d'en intérioriser les conséquences.

Lemonde extérieur, bien qu'il puisse rendre notre conscience morale impersonnelle peut avoir des externalités positives sur la conscience de soi d'un individu.

Ilpermet selon l'expression de « prendre conscience » selon René Daumal, soit accepter notre responsabilité, notre engagement (physique ou émotionnel), denotre propre existence en tant qu'être conscient.

La conscience se connaît donc elle-même chaque jour un peu mieux que le précèdent. On a pu voir que la problématique de notre sujet sur la conscience nous a amené a réflexion, contradiction et formulation d'hypothèses.

Or il n'en est pas uneplus vérace que l'autre.

La thèse la plus exacte serait donc qu'un être humain se compose d'un esprit où inconscient et conscience s'entremêle pour nousamener à se représenter tels qu'ils le désirent avec des aspects purement idéalistes et illusoires de notre personnes et d'autres, véritables déterminants de notreidentité.

Chacun possède donc une conscience de soi, a conscience d'être ce qu'il est mais peut quand même garder une part d'obscurité.

Le « soi » de l'êtrevivant est donc individuel mais ouvert sur autrui et sur l'environnement social qui l'entoure.

Un sujet, veut donc comprendre le « moi » qui le compose pour endécouvrir sa nature, ses goûts, désirs mais ne peut le faire qu'avec une patience et une ouverture d'esprit suffisante tout en sachant qu'il ne pourra le faire dansson intégralité.

Le bien le plus précieux d'un individu reste son identité mais faut-il encore la connaître de l'intérieur pour s'y assimiler et devenir un sujet à partentière.

Mais la connaissance de soi, du sujet par le sujet, doit être véritablement recherchée par le conformisme de nos sociétés contemporaines entraîne laformation d'identité culturelle propre à chaque nation voir continents.

C'est pourquoi pour se distinguer il faut aujourd'hui non pas s'apparenter à une nationalitéou croyance mais à la conscience de « soi » que nous avons de nous-mêmes. On peut donc en conclure que la notion de « conscience de soi » est complexe et amène véritablement à débat.

Aujourd'hui, on ne peut tout de même pas serefuser à admettre la présence d'un inconscient car on ne pourrait expliquer grand nombre de comportement individuel sur des sujets pourtant conscient maisaltérer par une méprise sur eux même croyant être ce que leur conscience leur renvoie et devenant étranger à ce qu'ils sont réellement.

Les Sociétéspostindustrielles du XXIème siècle ont malgré le développement de l'individualisme amené d'autres formes de conformismes, certes plus modernes mais toutaussi dangereux pour le sujet humain.

Est-il vraiment responsable de sa méprise ou est-ce une intention particulière et extérieure ? Défaut ?. »

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