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2010 : une révolution flamande ?

Publié le 05/08/2012

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Actuellement ce sont deux médiateurs royaux qui tentent de trouver une issue à cette crise. Il s'agit d'André Flahaut (PS), président de la chambre des représentants et de Danny Pieters ( N-VA), président du sénat, depuis debut septembre 2010. Ils ont demandés l'aide d'une commission de haut niveau. Ce vendredi, celle ci a rendu son rapport intermédiaire sur la loi de financement[9]. La situation reste toujours bloquée.  Pour trouver une solution,  Imaginons, de manière hypothétique, que la Flandre décide de prendre son indépendance et que les Francophones l’acceptent, il faudrait de nombreuses années avant que cela se concrétise. En effet, la constitution belge ne prévoit pas ce cas de figure. Pour se séparer, les Flamands devraient donc soit nier la Constitution belge soit entrer en négociations et convaincre les francophones de réviser la Constitution afin de leur permettre de se séparer sans enfreindre la loi ( il faut une majorité des deux tiers à la chambre et au sénat).  C'est pourquoi il faut l'accord d'autres partis. Actuellement sept partis négocient.  Le PS, NVA, CD&V[10], CDH[11], Ecolo[12], Groen[13] et SPA[14].

« Ce qui agraverait encore sa situation économique et risquerait de provoquer une crise economique grave.Ensuite, la Flandre risquerait de perdre Bruxelles parce que il y a une majorité de francophones et plusieurs territoires autour de Bruxelles.

Parceque sa populationest majoritairement francophone.

Les frontières linguistiques de 1962 ne pourraient pas être garanties, l'Europe devrait intervenir pour en refixer de nouvelles.De plus, la division de la Belgique aboutirait à la naissance d'un nouvel Etat : la Flandre.

Or, cette dernière devrait se faire reconnaître sur la scène internationale, cequi n'est pas gagné d'avance… Ce nouvel Etat devrait, par exemple, solliciter son adhésion au sein de l'Union européenne et donc reconnaître la Convention sur lesminorités nationales, ce que la Flandre a toujours refusé.

De plus, l'Union européenne risque de ne pas apprécier ce geste qui pourrait donner l'envie à d'autres deprendre leur indépendance (les Corses, les Ecossais, etc.) Par conséquent la séparation de la Belgique, semble négative autant pour la Flandre que pour la Wallonie. Alors, pourquoi pas de solutions lors des négociations ?Comment cela se passe-t-il depuis le 13 juin ?Après la mission d'informateur de Bart De Wever[7] puis de préformateur d' Elio Di Rupo[8], c'est l'échec des négociations.Le PS avec Elio Di Rupo et la NVA avec Bart De Wever sont deux partis dont les programmes sont en totale opposition.

Les leaders eux-même ne se connaissent pasbien et doivent s'afficher sans faiblesse vis-à-vis de l'autre.

Chacun joue un rôle, De Wever utilise la loi du plus fort, refuse toute dramatisation; Di Rupo se montrepatient, poli, courtoi.

Leur duel est médiatisé et donc aucun des deux ne peut modifier sa position.

Il existe aussi un total manque de confiance entre les deux partis,suscitant l'anxiété du non respect des accords et la trahison.

Bart De Wever exige donc des engagements écrits, avant même d'envisager le début d'une formation d'ungouvernement.

La NVA a très peur du manque d'expérience de ses ministres.

Le parti risquerait d'être sanctionné lors des prochaines elections.

Bart De Wever doitdonc incarner l'intransigeance des Flamands. Actuellement ce sont deux médiateurs royaux qui tentent de trouver une issue à cette crise.

Il s'agit d'André Flahaut (PS), président de la chambre des représentants etde Danny Pieters ( N-VA), président du sénat, depuis debut septembre 2010.

Ils ont demandés l'aide d'une commission de haut niveau.

Ce vendredi, celle ci a renduson rapport intermédiaire sur la loi de financement[9].

La situation reste toujours bloquée.Pour trouver une solution,Imaginons, de manière hypothétique, que la Flandre décide de prendre son indépendance et que les Francophones l'acceptent, il faudrait de nombreuses années avantque cela se concrétise.

En effet, la constitution belge ne prévoit pas ce cas de figure.

Pour se séparer, les Flamands devraient donc soit nier la Constitution belge soitentrer en négociations et convaincre les francophones de réviser la Constitution afin de leur permettre de se séparer sans enfreindre la loi ( il faut une majorité desdeux tiers à la chambre et au sénat).C'est pourquoi il faut l'accord d'autres partis.

Actuellement sept partis négocient.Le PS, NVA, CD&V[10], CDH[11], Ecolo[12], Groen[13] et SPA[14]. D'autres questions subsisteraient encore,Que deviendrait Bruxelles si la Belgique était séparée ? Pourrait-elle rester capitale de l'Europe ? Comment répartirait-on la dette qui couvre l'ensemble du territoirebelge ? Les multinationales installées en Belgique ne risqueraient-elles pas de migrer ? Autant de point actuellement "flous" qui demanderaient sans aucun doutebeaucoup de temps aux politiques avant d'être éclairés....

Et qui rendent la question de l'indépendance de la Flandre encore plus improbable. Donc on peut espérer qu'une solution négociable sera trouvée dans les prochaines semaines. Critiques de documents le vif l'express, la Flandre a-t-elle vraiment intérêt à quitter la Blegique ?L'auteur, Laurence van Ruymbeke est fiable car :elle ne prend pas parti et elle retrace les évènements de ce conflit dans différents domaines.

Elle donne le point de vue des francophones et des flamands et donne laparole à des experts flamands et francophones.L'auteur est compétent car elle fait ses études de journaliste à la faculté des sciences economiques, sociales, politiques et de communication.Ce document ne vise pas à influencer ses destinataires.

Les informations concordent avec d'autres sources fiables comme les articles de journaux avec lesquels nousavons travaillé.Ce document est publié dans le vif l'express qui est l'hebdomadaire d'information en Belgique francophone le plus important. Le soir.be/actualite/belgique/elections_2010/2010-09-07/les mediateurs royaux entament leur mission.David coppi et véronique lamquin ce sont deux journalistes pour Le soir. c'est un quotidien généraliste Belge, progresiste car il à la volonté de faire bouger la société et indépendant car il à la volonté de dire ce qu'il pense même si celadérange la société. La libre Blegique.Elle a longtemps eu une tendance catholique puis aujourd'hui elle utilise d'autres points de vue.

C'est le seul quotidien lu en Flandre( 14%).

Donc elle doit etre neutreet donc elle est réputée de bonne qualité. uBibliographie. Le vif l'express le soir.be/actualite/belgique/elections_2010/2010-09-07/les mediateurs royaux entament leur mission.David coppi et véronique lamquin http://www.toupie.org/Dictionnaire/Confederalisme.htm comprendre la belgique, cahiers du petit ligueur. De 1830 à nos jours, une histoire belge, cahiers du petit ligueur philipe dubois, mon référentiel érasme en institutions belge. »

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