alphabétisation des femmes - DEVOIR COMMUN HGGSP

« DEVOIR COMMUN HGGSP Aujourd’hui avoir de la connaissance et en produire est essentielle.

Au XXème siècle, c'est même devenu un critère de puissance, pour y parvenir ils investissent dans l'éducation ainsi permettre l'alphabétisation de la population.

Cependant, l’accès aux connaissances restent limiter dans certaines régions du monde, et ce, pour de nombreuses personnes notamment les femmes et les enfants.

En effet les femmes et les petites filles surtout dans les populations d’Afrique et du Moyen Orient sont beaucoup plus en clin à être privés d’enseignement ce qui réduit à des populations notamment indiennes, le taux d’alphabétisation des femmes dans le Monde.

L’Alphabétisation c’est le fait d’être incapable pour une personne de lire, écrire, de comprendre un texte, généralement due à un manque d’éducation et de scolarisation.

Ce manque est surement dû à un manque d’accès dû à l’insuffisance d’école ou de professionnel d’éducation ou bien tout simplement car les pays sont trop pauvres pour profiter d’école, devenu un trop gros investissement.

C’est ce dont parle le document 1.

Le document 1 est un extrait de texte issu du livre Un modèle économique, Développement, justice, liberté, publié en 2000 et écrit par Amartya Sen.

Ainsi que le second document, qui est un extrait de compte rendu de la CARE par son directeur le Philippe Lévêque le 27 février 2018.

Dans ces documents, ils nous font un compte rendu de la situation notamment et surtout des femmes dans le monde dû pour beaucoup à un manque certain d’éducation et de scolarisation.

Cette inégalité persiste depuis des décennies même si elle tend à diminuer depuis quelques années. Mais alors, en quoi l’alphabétisation des femmes est une condition nécessaire au développement ? Pour cela, nous allons d’abord nous pencher sur les causes de cette inégalité et enfin sur ses conséquences néfastes pour les populations. En France, l’alphabétisation des femmes a considérablement augmenté à partir du XVIème siècle.

A cette période, Jean Louis Vivès, publie un livre, L’instruction de la femme chrétienne, où il y précise qu’il est important d’instruire les femmes et d’éduquer mieux les enfants de manière morale et chrétienne.

La démocratisation constante de l’enseignement en France, lié notamment aux lois Jules Ferry de 1181, a réduit le taux d’illettrisme de 31% en 1885 à 2,7% en 1914. Cependant, la France, est un pays industrialisé et développé qui a permis cette démocratisation de l’école, ce qui n’a pas été permis et qui n’est pas encore permis pour les pays d’Afrique et du Moyen-Orient ainsi qu’en Inde.

En effet, les pays en développement en général et de personnel d’enseignement, dû à une pauvreté qui tend à persister de manière générale.

D’après le document 2, Phillipe Lévêque dit que « si les parents sont pauvres, les parents n’auront pas les moyens de dépenser pour la scolarisation des filles ».

Cela signifie qu’en plus de la pauvreté, dès que. »