18 résultats pour "béraud"
- Jean BÉRAUD: LES PATINEUSES.
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BERAUD Jean : Parisienne, place de la Concorde
BERAUD Jean Parisienne, place de la Concorde Né à Saint-Pétersbourg, 1849 Mort à Saint-Pétersbourg, 1935 Jean Beraud fait partie de ces peintres du début du siècle qui, après un long oubli, connaissent à nouveau la faveur des amateurs. Fils d' un sculp teur français installé à Saint-Pétersbourg , Beraud , orphelin très jeune , retourne à Paris avec sa mère pour y suivre sa scolarité. Ce n'es t qu 'après ses études qu'il commence à pe...
- Jean BÉRAUD : LA PÂTISSERIE CLOPPE
- Jean BÉRAUD: L'ATTENTE
- Jean BÉRAUD : L'ATTENTE
- Jean BÉRAUD: LA SORTIE DES OUVRIÈRES DE LA MAISON PAQUIN (ANALYSE DU TABLEAU).
- Jean BÉRAUD: LES BERGES DE LA SEINE.
- Jean BÉRAUD : LA RUE DE LA PAIX
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- Jean BÉRAUD : BOULEVARD DES CAPUCINES
- BÉRAUD Henri : sa vie et son oeuvre
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Gringoire et l'Affaire Salengro
aussi, on observe à cette époque une montée de l’antisémitisme en France. C) Un contexte plus général de radicalisation de la droite en France Comment expliquer ce changement de ligne politique de la part du journal qui glisse petit à petit vers la xénophobie et l’antisémitisme radical.Ces changements qui ont lieu dans le paysage politique français et qui sont illustrés ici par le journal Gringoire sont dus à différents évènements.Tout d’abord l’affaire Stavisky révéler en 1933. Stavisky est un...
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La Marseillaise Jean Béraud
Commentaire de document La Marseillaise Jean Béraud, 1880 La fin du 19eme siècle correspond aux débuts de la République opportuniste (qui désigne un courant politique initialement de gauche, on les surnomme les républicain modéré) . Un vaste politique d’acculturation républicaine vois le jour et est mise en place notamment via le décret du ministère de la Guerre le 14 février 1879, faisant de La Marseillaise l’hymne national du pays. Cette toile du peintre français Jean Béraud illust...
- Henri BÉRAUD: La faillite, nous voici !
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La Curée
Par grâce, dit-il, finissons-en avec cette désagréable question d'argent.
Il s'oubliait. Il parla longtemps ainsi avec un cynisme railleur qui perçait par instants sous son air bonhomme. Il mit en avant son frère le député, son père le receveur particulier de Plassans. Il finit par faire la conquête de la tante Elisabeth, qui voyait avec une joie involontaire, sous les doigts de cet habile homme, le drame dont elle souffrait depuis un mois, se terminer en une comédie presque gaie. Il fut convenu qu'on irait chez le notaire le lendemain. Dès que Mme Aubertot se...
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La Curée
de ses amis qui allait être exproprié, rue de la Pépinière; il eut bien soin de dire à chacun des deux compères
qu'il ne parlerait de cette affaire à aucun autre membre de la commission, que c'était une chose en l'air, mais
qu'il comptait sur toute sa bienveillance.
trouva plus. Il courut chez Larsonneau, qui lui avoua carrément qu'il les avait, en effet, et qu'il les gardait. L'autre ne se fâcha pas; il sembla dire qu'il n'avait eu de l'inquiétude que pour ce cher ami, beaucoup plus compromis que lui par ces écritures presque entièrement de sa main, mais qu'il était rassuré, du moment où elles se trouvaient en sa possession. Au fond, il eût volontiers étranglé le « cher ami »; il se souvenait d'une pièce fort compromettante, d'un inventaire faux, qu'...
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
- la curee, zola