12 résultats pour "jugeons"
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PEUT-ON APPRENDRE A JUGER LA BEAUTÉ ?
l'expression d'une approbation personnelle, alors le critique d'art ne sert à rien. Celui qui écoute sa critique pourratrès bien ne pas donner son approbation en affirmant à l'inverse que l'oeuvre est ratée ou laide. Or ce n'est pas cequi se passe. Au contraire, le critique va susciter une discussion en faisant référence à un ensemble de critèresobjectifs de l'oeuvre qui lui permettrons de fonder son jugement. Il dira par exemple que telle peinture est belleparce que les proportions des corps y...
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Peut-on apprendre à juger du beau ?
très bien ne pas donner son approbation en affirmant à l'inverse que l'oeuvre est ratée ou laide. Or ce n'est pas cequi se passe. Au contraire, le critique va susciter une discussion en faisant référence à un ensemble de critèresobjectifs de l'oeuvre qui lui permettrons de fonder son jugement. Il dira par exemple que telle peinture est belleparce que les proportions des corps y sont respectées à la perfection, parce que la palette de couleur participe àmerveille de l'ambiance générale de la scè...
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Quand nous percevons, ne faisons-nous qu'enregistrer des données sensibles ou bien jugeons-nous en même temps ?
§ 3. La perception et la psychologie de la Forme. Sous sa forme classique, il semble que l'empirisme n'ait guère de défenseurs, car il ne paraît pas rendre compte de lacomplexité de cette fonction essentielle de la connaissance. Ce sont même ses notions de base que la psychologiede la Forme met en question. Hume considère la suite de nos perceptions comme autant d'états de conscience séparés. Or la perception n'est pas un ensemble de sensations, touteperception est d'emblée la perception...
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Peut-on apprendre à juger la beauté ?
très bien ne pas donner son approbation en affirmant à l'inverse que l'oeuvre est ratée ou laide. Or ce n'est pas cequi se passe. Au contraire, le critique va susciter une discussion en faisant référence à un ensemble de critèresobjectifs de l'oeuvre qui lui permettrons de fonder son jugement. Il dira par exemple que telle peinture est belleparce que les proportions des corps y sont respectées à la perfection, parce que la palette de couleur participe àmerveille de l'ambiance générale de la scè...
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Peut-on apprendre à juger de la beauté ?
très bien ne pas donner son approbation en affirmant à l'inverse que l'oeuvre est ratée ou laide. Or ce n'est pas cequi se passe. Au contraire, le critique va susciter une discussion en faisant référence à un ensemble de critèresobjectifs de l'oeuvre qui lui permettrons de fonder son jugement. Il dira par exemple que telle peinture est belleparce que les proportions des corps y sont respectées à la perfection, parce que la palette de couleur participe àmerveille de l'ambiance générale de la scè...
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Le manque est-il la condition nécessaire et suffisante au désir ?
Si nous supposons un monde dans lequel aucun être conscient et désirant ne serait présent, pourrions-nousaccorder un sens à cet univers ? Pourrions-nous lui accorder une valeur quelconque ?Nous aurions affaire à un univers dans lequel tout se situerait sur le même plan, à un monde qui n'existerait pourpersonne et qui pour cette raison ne serait l'objet d'aucune sélection, d'aucun choix.C'est donc pourquoi sens et valeur ne peuvent être considérés comme des êtres en soi, des Idées, exist...
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Être raisonnable, est-ce renoncer à ses désirs ?
de l'objet désiré dont il serait l'expression du manque. Pour Spinoza, le désir est l'essence même de l'homme (ceci est d'ailleurs en désaccord avec Descartes qui pense que l'essence del'homme est la raison). C'est-ce qui permet à l'homme d'exprimer son degré depuissance, d'exprimer sa propre nature, d'être ce qu'il est, dans une volontéde développement et d'épanouissement de soi. Ainsi, le rapport objetdésiré/désir est tout autre. D'après Spinoza, « Ce n\'est parce que nousjug...
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Peut-on soutenir que le désir est l'essence de l'homme ?
rapporté à la fois à l'esprit et au corps, comme il convient dans le cas de l'homme, il doit être déterminé commeappétit. Pour autant qu'on se refuse à réduire l'homme à son âme seule, c'est donc bien l'appétit qui se trouve être« l'essence même de l'homme, de la nature de qui suivent nécessairement les actes qui servent à sa conservation »(Éthique, IIle partie, IX, scolie). LE « CONATUS » OU EFFORT DE L'ÊTRE. Rien ne va au néant. Le nihilisme est absurde : « Nulle chose ne peutêtre détruite,...
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pourquoi condamner les actes des autres ?
Nietzsche ou la morale des esclaves II. Si la société d'hyperconsommation encourage un individualisme de masse , qui nous entraîne à dissimuler derrière une pseudo-tolérance, un égocentrisme,une tendance à ne se préoccuper que de ces propres problèmes, la tendanceinverse qui consiste à condamner les autres peut aussi être une bonnemanière de ne pas affronter ses travers. En jugeant l'autre, je me dispense de me juger, je ne m'occupe plus de moi et m'évite ainsi d'être remis en question. Mais...
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Texte de Spinoza: Proposition VI
persévérer dans son être. Persévérer dans son être, ce n'est pas se maintenir dans le même état, mais c'est tendreà réaliser tout ce qui est en notre pouvoir pour persévérer dans notre être.Un être est ce qu'il peut être. Essence et puissance sont une seule et même chose. L'effort a des degrés d'intensitédifférents. L'homme est comme toutes les choses de la nature un être qui s'efforce. Il nefait pas exception dans le règne naturel. Il n'est pas « un empire dans un empire ». Seule la conscience...
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Texte de Spinoza
Proposition VII : L'effort par lequel chaque chose s'efforce de persévérer dans son être Spinoza veut nous montrer que tous nos désirs ne sont que des modalités du désir premier de se conserver et depersévérer dans son être. Spinoza appelle le désir « conatus » c .à .d . l'effort pour persévérer dans son être.Persévérer dans son être, ce n'est pas se maintenir dans le même état, mais c'est tendre à réaliser tout ce qui esten notre pouvoir pour persévérer dans notre être. Un être est ce qu'il pe...
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Peut-on dire d'un désir qu'il est anormal ?
devraient ou ne devraient pas être un objet d'amour pour d'autres hommes. C'est parce qu'un homme en désire de fait un autre qu'il juge bon cet amour qu'il a pour lui, et par suite qu'il se juge autorisé ( de droit ) à l'aimer. Le désir est donc ici toujours à lui-même son propre critère de validation, et par conséquent ne peut jamais être jugé anormal par ou en lui-même. [Question] L'évidence qu'il existe des désirs anormaux se heurtent do...