12 résultats pour "lutin"
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TRILBY OU LE LUTIN D’ARGAIL de Charles Nodier : Fiche de lecture
réalité inconnue: le conteur installe donc ses personnages comme son lecteur dans un état de soupçon. Trilby est moins une Idylle qu'une tragédie, un combat entre la tentation de l'inconscient et sa répression. Semblable à Nerval, l'auteur des Filles du feu et d'Aurélia*, Charles Nodier s'oppose à son siècle. se réfère à une littérature populaire et tradition nelle. jouant des lntemùuenœs entre songe et lucidité. tomONS• Nodier. Trilb)l. dans Contes...
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TRILBY ou le Lutin d'Argail de Charles Nodier (résumé et analyse de l'oeuvre)
certains et le drame intérieur chez d' autres ; d'où aussi la représentation du côté sombre de l'ho mme : de même que le proscrit témoigne d'un âge où tout était harmonie, de même le rêve pe ut faire du démon un ange . Il faut donc remonter au-delà de la déchirure, rechercher >. L'Hist oire est cyclique, et il est possible, par les rêves et par la no stalgie du proscr it, de se faire une idée de l'orig ine. Nodier jette ainsi les fond ements de...
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« La rêverie est le dimanche de la pensée. La flânerie n'est pas seulement délicieuse, elle est utile. C'est un bain de santé qui rend la vigueur et la souplesse à tout l'être, à l'esprit comme au corps, c'est le signe et la fête de la liberté, c'est un banquet joyeux et salutaire, le banquet du papillon qui lutine et butine sur les côteaux et dans les prés. Or, l'âme est aussi papillon. » (Amiel, Fragments d'un journal intime.) En faisant appel à vos souvenirs littéraires et à votre e
affaires. Aussi leurs heures libres et leurs vacances sont, elles remplies de distractions organisées comme uneentreprise : ils ne se promènent pas, mais font des excursions ou même prospectent méthodiquement un massifmontagneux; ils ne courent pas à l'aventure des rencontres, mais suivent un programme établi d'avances deréceptions et de visites. Qu'il y ait un trou dans ce programme et qu'ils en soient réduits à flâner durant quelquesheures, les voilà de mauvaise humeur pour le re...
- Trilby ou le Lutin dArgail
- Lutin: Deux générations en plaine, une en montagne.
- PUCK, LUTIN DE LA COLLINE de Rudyard Kipling
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Emmanuel Chabrier
1841-1894
L'apparition lumineuse et fantasque d'un lutin, en quelque songe
Chabrier allait aborder la profession de musicien sans sortir d'aucune École, sans s'autoriser d'aucune discipline qui fît de lui un “ régulier ”. En homme neuf, en self made man. C'est pourquoi les “ réguliers ” affectèrent longtemps — et même après sa mort — de ne voir en lui qu'un amateur bien doué. A la Faculté de droit, Emmanuel, pour se plier aux volontés paternelles, poussa jusqu'à la licence, bien que la musique fût toujours sa principale étude. Un marchand de pianos bien connu a conté c...
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Vocabulaire:
CHAUME, substantif masculin.
BAZIN, Le Bl? qui l?ve, 1907, page 267) : ? 3. Vous savez ce que c'est qu'un chaume. Dans les anciennes grandes manoeuvres, n'est-ce pas, un chaume c'?tait une esp?ce de grande brosse ? l'envers sur laquelle on marchait, une brosse immense, ? perte de vue. Couch?e sur le dos,... CHARLES P?GUY, Victor-Marie, Comte Hugo, 1910, page 685. C.? Sp?cialement. Paille couvrant le toit de maisons rurales (confer chaumi?re). Toit de chaume. Dix maisons (...) celles-ci coiff?es de chaume et celles-l?...
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Les Index Noires
d'où vous ne pouviez plus sortir !
Souvent aussi, on entendait les sons de la cornemuse retentir sur les bords du lac Malcolm. Les Écossais accouraient à l'appel de leur instrument national. On dansait, et ce jour-là, Jack Ryan, revêtu de son costume de Highlander, était le roi de la fête. Enfin, de tout cela il résultait, au dire de Simon Ford, que Coal-city pouvait déjà se poser en rivale de la capitale de l'Écosse, de cette cité soumise aux froids de l'hiver, aux chaleurs de l'été, aux intempéries d'un climat détestable, et qu...
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Les Index Noires
du Ben Lomond, se voit encore le gué que franchit le héros pour échapper aux soldats du duc de Montrose.
Là, un Highlander en costume national préludait, sur son « bag-pipe » à trois bourdons, dont le plus gros sonnait le sol, le second le si, et le plus petit l'octave du gros. Quant au chalumeau, percé de huit trous, il donnait une gamme de sol majeur dont le fa était naturel. Le refrain du Highlander était un chant simple, doux et naïf. On peut croire, véritablement, que ces mélodies nationales n'ont été composées par personne, qu'elles sont un mélange naturel du souffle de la brise, du murmure d...