10 résultats pour "perfidie"
- « Si l'on justifie la perfidie et le meurtre par la considération du bien public, le bien public devient bientôt le prétexte, et la perfidie et le meurtre, le but véritable. » Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution française, 1790. Commentez cette citation.
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Andromaque
Et je le plains encore !
Et, d'un oeil où brillaient sa joie et son espoir, S'enivrer en marchant du plaisir de la voir. Andromaque, au travers de mille cris de joie, Porte jusqu'aux autels le souvenir de Troie : Incapable toujours d'aimer et de haïr, Sans joie et sans murmure elle semble obéir. HERMIONE. Et l'ingrat ? Jusqu'au bout il a poussé l'outrage ? Mais as-tu bien, Cléone, observé son visage ? Goûte-t-il des plaisirs tranquilles et parfaits ? N'a-t-il point détourné ses yeux vers le palais ? Dis-moi,...
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Esther révèle à Assuérus les perfides desseins d'Aman
1'70 COMPOSITIONS SUR DES SUJETS de son insomnie. Son attention se fixa particulièrement sur les détails d'une conspiration tramée contre sa per sonne et découverte par le juif Mardochée. « Quelle a été la récompense de ce fidèle sujet 1 demanda-t-il. - Il n'en a reçu aucune, lui fut-il répondu. Il a été ou blié. D Le roi fit alors appeler son ministre, qui se vit con traint de rendre lui-même à Mardochée les honneurs qu'il s'était...
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RACINE: Andromaque, le monologue d'Hermione
Les sentiments. — Cependant au début du Ve acte, nous la retrouvons flottante encore entre son amour et sahaine. Ou plutôt deux sentiments également nés de son amour se partagent son coeur : épargner celui qu'elle aime ;le punir de son mépris. Elle veut à tout prix se venger, et pourtant elle frémit d'horreur en songeant aux effets decette vengeance. Jamais Racine, peintre des incertitudes et des contradictions du coeur, n'a mieux rendu lesnuances de cette lutte intérieure entre deux sen...
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Athalie
JOAD continue.
Venger vos princes morts, relever votre loi, Et faire aux deux tribus reconnaître leur roi. L'entreprise, sans doute, est grande et périlleuse. J'attaque sur son trône une reine orgueilleuse, Qui voit sous ses drapeaux marcher un camp nombreux De hardis étrangers, d'infidèles Hébreux. Mais ma force est au Dieu dont l'intérêt me guide. Songez qu'en cet enfant tout Israël réside. Déjà ce Dieu vengeur commence à la troubler ; Déjà, trompant ses soins, j'ai su vous rassembler. Elle vous cr...
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En quoi ce texte est-il un apologue ?
Par exemple, la perfidie de l'homme qui va porter plainte contre son sauveur dans le texte du corpus, le mensonge du cerf dans «les obsèques de la Lionne », et la cruauté de l'homme envers un innocent dans « l'Homme et la Couleuvre » de Jean de LaFontaine. Ces apologues nous permettent donc de voir le monde tel qu'il est, d'instruire les hommes et de délivrer des messages àla société. Dans cette deuxième partie, nous montrerons que les apologues ne peuvent pas toujours montrer le monde tel qu'il...
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Histoire de la Revolution francaise, III
puissance, et ne savait ni jouir de ses triomphes, ni se les faire pardonner.
Je repondis a ce discours pour retablir le calme, pour dissiper ces noires illusions, et ramener la discussion au seul point qui dut occuper l'assemblee. Robespierre et ses partisans entrainaient ainsi la commune dans des demarches inconsiderees, dans les partis extremes. Je ne suspectais pas pour cela les intentions de Robespierre; j'accusais sa tete plus que son coeur; mais les suites de ces noires visions ne m'en causaient pas moins d'alarmes. Chaque jour les tribunes du conseil retentiss...
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COMMENTAIRE TARTUFFE, SCENE 6, ACTE III
divine par laquelle Dieu teste sa foi (v. 1079 et 1080). Ceci permet à Tartuffe de paraître encore plus dévot qu’il nel’est déjà pour Orgon. Par l’usage de trois impératifs à valeur d’ordre (v. 1083 et 1084), Tartuffe se pose en êtreinférieur vis-à-vis d’Orgon, et l’invite à le renier, à le chasser. Là encore, le faux dévot fait preuve d’habileté poursusciter les bons sentiments de son « frère ». En effet, même si Tartuffe invite Orgon à le percevoir comme unimposteur à plusieurs reprises (v. 10...
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royaume vieux de plusieurs siècles.
tout oppose lesdeux hommes. Charlesestlettré etfin, mais aussi impulsif etcolérique, et,comme sonpère, ilest l’homme delasplendeur bourguignonne, portantbeau,menant grandtrain.Faceàlui, notre roideFrance ades airs decousin deprovince. Ilest toujours malvêtu, monte demauvais chevaux, détestelaCour etl’apparat, n’hésite pasàdormir dansdevilaines auberges quandilvisite sonroyaume, suivitoutauplus desdeux outrois compagnons quiforment saseule escorte. Biendeschoses aussilesrapprochent. Nousnesommes...
- phèdre