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Sociologie des religions

Publié le 31/10/2019

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sociologie
 Problème de la sociologie des religions – Georg Simmel Introduction : Problème de la sociologie des religions est un texte écrit par Georg Simmel, il né en 1858 le 1er mars à Berlin et mort le 28 septembre en 1918 à Strasbourg, c'est un philosophe et sociologue allemand, ce qui l'exclut d'une reconnaissance académique en raison de ce chevauchement entre la sociologie et la philosophie parfois même en passant par l'histoire. Il reçoit une éducation allemande, il est formé à l'université Friedrich-Wilhelm de Berlin. Ses observations concernent l'argent, l'art, la ville, l'étranger, la femme, la sociabilité, l'interaction, les lien sociaux… Or il s'éloigne de cette tradition allemande pour constituer une discipline a part, la sociologie, et apparaît comme le fondateur de la sociologie.vouée non a l'étude de la société mais s'intéresse au forme de l'action réciproque des individus. Les auteurs qui retienne particulièrement sont intention son hegel, Bergson, Marx, Tonnies. Il est d'inspiration kantienne. Ce texte Problème de la sociologie des religions a été traduit par Jean Séguy, son titre original est Die Religion. Ce texte est composé de 5 chapitres, nous avons fait le choix de nous attarder sur les 3 premiers. Parmi les intérêts de l'auteur la religion ne lui échappe pas et c'est ce dont il nous fait part tout au long de cet ouvrage. Or il faut au préalable bien entendre qu'il n'a pas de théorie de la religion mais il la thématise en s'approchant des concepts de subjectivité et d'objectivité qu'il tente de comprendre comme le fil conducteur des relations sociales. Il s'intéresse à ce qui se passe ENTRE, c'est l’interdisciplinarité entre ces deux notions qu'il cherche à comprendre. Il ne différencie pas le holisme ni l’individualisme mais s’intéresse à l'entre deux. Il traite donc de la religion comme le lien pour comprendre cette étrange notion qui forme les relations sociales. Son étude s'attarde donc sur les formes d'actions réciproque socialisantes de l'homme situé dans la modernité qui ne cesse de se promouvoir. Cette notion de modernité est extrêmement importante, c'est une modernité du 19e siècle qui nous paraît ancienne or très utile pour comprendre aujourd'hui comment l'homme s'émancipe dans notre vie actuel. Et c'est ce dont on s'attardera tout au long de cette exposition puis on reviendra sur les interactions modernes de l'homme moderne en conclusion. On peut donc se demander comment ce texte tente de considérer la religion comme une grande catégorie qui forme l'expérience humaine ? Pour répondre à cette problématique en grand I nous nous attarderons sur la fonction subjective de la religion. Dans une 2e partie nous analyserons le dilemme qui apparaît entre foi et religiosité. Enfin en 3e et dernière partie, on tâchera de voir que ce dilemme apparaît à travers les rapports avec autrui. I. établir la fonction subjective de la religion. Comme dit dans l'intro la religion n'est pas une théorie mais un facteur thématique pour appréhender la culture subjective et la culture objective, il envisage la religion sous l'angle des relations humaines et sociales. Il convient donc de comprendre ce que sont ces deux formes de cultures. Pour Simmel la construction des phénomènes sociaux s'empare d'énergie subjectives A) Culture subjective / réalité = monde réel La culture subjective suppose ce qui a été intériorisée par l'homme, ce qui est propre à chacun. Simmel utilise le vocabulaire Réalité pour parler de cette notion. En effet, chaque personne est amené à construire sa réalité, c'est-à-dire son monde réel. Le monde qu'il tient pour vrai / réel est dès lors propre à lui-même donc cette réalité n'est valable que pour un sujet les passions, les désirs, les envies, les croyances, les rencontres qu'il est amené à faire ne peuvent être que différente de celle des autres personnes / des autres sujets). «  il y a donc pour les êtres une réalité différente parce que les conditions de leur vie exigent des actions différentes », c-à-d basée sur des concepts différents. Ainsi les fins recherchaient sont différentes pour tous. « notre monde réel n'est qu'un des nombreux monde possible » Par conséquent dans une réalité se cache un monde. Revient a dire qu'il n'y de monde réel autant qu'il y d'être vivant. Ce monde réel ne prend que des fragment de vie qui forme la vie religieuse B) La vie religieuse et culture objective La vie religieuse n'est que des fragments de vie de ce monde réel. Simmel propose de voir parmi l'ensemble des contenus de l'existence et de l'...
sociologie

« religiosité.

Enfin en 3e et dernière partie, on tâchera de voir que ce dilemme apparaît à travers les rapports avec autrui. I. établir  la fonction  subjective  de  la religion. Comme dit dans l'intro la religion n'est pas une théorie mais un facteur thématique pour appréhender la culture subjective et la culture objective, il envisage la religion sous l'angle des relations humaines et sociales.

Il convient donc de comprendre ce que sont ces deux formes de cultures.

Pour Simmel la construction des phénomènes sociaux s'empare d'énergie subjectives A)  Culture  subjective  / réalité  = monde  réel La culture subjective suppose ce qui a été intériorisée par l'homme, ce qui est propre à chacun.

Simmel utilise le vocabulaire Réalité pour parler de cette notion.

En effet, chaque personne est amené à construire sa réalité, c'est-à-dire son monde réel .

Le monde qu'il tient pour vrai / réel est dès lors propre à lui-même donc cette réalité n'est valable que pour un sujet les passions, les désirs, les envies, les croyances, les rencontres qu'il est amené à faire ne peuvent être que différente de celle des autres personnes / des autres sujets).

« il y a donc pour les êtres une réalité différente parce que les conditions de leur vie exigent des actions différentes », c-à-d basée sur des concepts différents.

Ainsi les fins recherchaient sont différentes pour tous.

« notre monde réel n'est qu'un des nombreux monde possible » Par conséquent dans une réalité se cache un monde.

Revient a dire qu'il n'y de monde réel autant qu'il y d'être vivant. Ce monde réel ne prend que des fragment de vie qui forme la vie religieuse B)  La  vie  religieuse  et culture  objective La vie religieuse n'est que des fragments de vie de ce monde réel.

Simmel propose de voir parmi l'ensemble des contenus de l'existence et de l'expérience humaine lesquels se prêtent à une élaboration religieuse, il les décompose au nombre de 3.

Tout d'abord selon lui il y a la réaction de l'homme vis-à-vis la nature extérieur, devant le sort puis devant le monde des autres hommes.

Ce qui l'intéresse plus particulièrement est la dernière sphère car elle fait référence aux interaction en revanche cette sphère ne peut etre comprise seulement si les deux première le sont. → la réaction de l'homme devant la nature extérieur : c'est donc le rapport a la nature qui est rapport avec une puissance rencontrée et à la beauté ou l'harmonie qui se dégage de la nature.

L'homme rencontre un certain nombre d'impressions.. »

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