Mort et sagesse
Publié le 30/03/2014
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Un homme libre, c'est-à-dire qui vit suivant le seul commandement de la Raison, n'est pas dirigé par la crainte de la mort, mais désire ce qui est bon directement, c'est-à-dire vivre, agir, conserver son être suivant le principe de la recherche de l'utilité propre ; par suite, il ne pense à aucune chose moins qu'à la mort, et sa sagesse est une méditation de la vie.
Spinoza, Éthique, IVe partie, prop. LXVII, Garnier-Flammarion, 1965.
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