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Satisfaction des sens et Bonheur

Publié le 24/07/2010

Extrait du document

 

  • Introduction (rédigée)  
  • Première Partie : Les plaisirs et la satisfaction des sens sont nécessaires au bonheur de l’homme et donc non dispensables.

Sous partie 1 : Les religions quelle qu’elles soient donnent des préceptes à l’homme pour gérer les plaisirs de la vie terrestre pensant donc que qu’ils sont liés à l’épanouissement humain.

Exemple : L’église chrétienne réglemente les plaisirs charnels chez ses adeptes, les autorisant après le mariage, les proscrivant avant l’engagement.

Sous partie 2 : Les plaisirs et la satisfaction des sens participent au bien être d’une personne quand ils sont maîtrisés c'est-à-dire quand ce n’est pas l’objet d’une recherche unique et permanente.

Exemple : Un met raffiné est appréciable seulement occasionnellement  car à toujours manger la même chose, on se lasse.

Sous partie 3 : Les plaisir sont éphémères et donc les désirs insatiables et toujours plus exigeants car toujours, l’envie de faire mieux se fait sentir. « Le plaisir arrivé à son plus haut point, s’évanouit « (Sénèque). Et cela engendre donc une perpétuelle insatisfaction.

Exemple : Le cas de Casanova, le grand séducteur à la recherche sans fin de la perfection.

            Transition : Pourtant la satisfaction des sens et le plaisir n’ont pas de goût quand on n’a rien fait pour les mériter. C’est ainsi qu’intervient la pratique de la vertu et les valeurs morales, qui elles sont méritantes et créent réellement du bonheur.

  • Deuxième Partie (rédigée) : La pratique de la vertu, donc un état moral sain, engendre un épanouissement de l’Homme qui ne peut que le rendre heureux.

Sous partie 1 : La vertu et la justice sont propres à l’Homme, c’est ce qui lui permet de bâtir une société digne de ce nom, régie par d’autres lois que celles du plus fort, les règles animales.

Sous partie 2 : En revanche une vie trop encadrée, sous la dictature de la vertu, est vouée à trop priver et défendre l’Homme, à tel point qu’il passera parfois à côté de son bonheur.

Sous partie 3 : Les actions qui conduisent au bonheur sont celles qui sont conformes à la raison et à la vertu. Ainsi, étant donné que la vertu engendre la vertu (on parle de cercle vertueux), sa pratique ne peut qu’étendre le bonheur des Hommes.

     (Exemple rédigés et inclus au développement)

            Transition : Mon cher Mirza il n’y a donc ni réponse tranchée, ni solution précise à ton problème, vous devez tous entendre raison et considérer ce que l’autre a à dire, pour enfin pouvoir nuancer les faits et tenter d’expliciter ensemble votre conception du bonheur.

  • Conclusion (rédigée)

 

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