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Les Dispositifs de surveillance

Publié le 28/09/2011

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En opérant de point en point et de mire en mire, l'arpenteur peut ainsi dresser une liste de hauteurs relatives au sein d'un terrain et les reporter sur une carte pour y représenter le relief: plus le nombre de visées est important, plus la carte est précise. D'autres techniques de visée font aujourd'hui intervenir émissions et réflexions d'ondes radio et mesures d'angles pour obtenir les cotes verticales, tout comme les dimensions horizontales du terrain.

« Une autre méthode d'arpentage fait intervenir une mesure de la distance associée à une mesure d'angle entre trois points.

Cette opération de mesure d'angle est conduite avec un instrument spécial appelé théodolite.

Les distances restantes sont calculées par trigonométrie .

La topographie Pour mesurer les distances verticales, c'est-à-dire le relief du terrain en trois dimensions , les opérations d'arpentage se compliquent.

L'instrument de réfé­ rence est à nouveau le théodolite qui consiste en un télescope monté sur trépied, pivotable horizon­ talement et verticalement.

l:arpenteur installe son instrument en un point dont il veut déterminer l'al­ titude par rapport à un point de référence situé à cadran gradué +-1.:-+t- de l'angle vertical LE THÉODOLITE D'ARPENTEUR vis de blocage Géomètre procédant à des levées de terrain.

Ces opérations de mesure sont nécessaires à l'établissement d 'un plan.

Elles sont ensuite communiquées à l'architecte qui pourra intégrer toutes les contraintes topographiques dans son plan de construction.

Vue en coupe d'un théodolite, appareil optique servant à mesurer les angles horizontaux et verticaux entre différents points.

Pour faire un relevé , l ' instrument est d 'abord mis en place à l'aplomb d'un point précis au sol , grâce à un viseur de verticale.

La plate-forme de l'instrument est alors ajustée de façon parfaitement horizontale grâce à un niveau vis de réglage vertical à bulle et à des vis de calage.

L 'arpenteur vise alors une mire par l'oculaire du télescope et, lorsqu 'il a pointé l'instrument dans la bonne direction , lit dans un oculaire annexe les angles horizontal et vertical correspondant à cette direction.

Cet oculaire de lecture des angles reçoit en effet l'image des cadrans gradués , tant horizontal que vertical , par un_jeu de prismes et de miroirs.

A cette fin, les cadrans sont illuminés par une fenêtre laissant viseur de vert icale entrer la lumière du jour.

proximité.

Il cale alors le théodolite de façon par­ faitement horizontale et vise au point de référence une haute barre de mire finement graduée .

La dif­ férence de hauteur entre les deux points est lue directement par le viseur horizontal situé sur l a barre qui lui fait face.

En opérant de point en point et de mire en mire, l'arpenteur peut ainsi dresser une liste de hauteurs relatives au sein d 'un terrain et les repor­ ter sur une carte pour y représenter le relief: p lus le nombre de visées est important , p l us la carte est précise.

D 'autres techniques de visée font aujour­ d'hui intervenir émissions et réflexions d'ondes radio et mesures d'angles pour obtenir les cotes verticales, tout comme les dimensions horizon­ tales du terrain .. »

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