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Sous-marins et bathyscaphes (histoire de la marine)

Publié le 10/10/2018

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histoire

Les types de propulsion

Avant l'invention des moteurs électrique et à combustion, le mode de propulsion des premiers appareils submersibles était mécanique.

C'est à partir de la fin du xixe siècle que sont réunis tous les éléments essentiels au fonctionnement des sous-marins modernes : un moteur à combustion assurant la propulsion en surface couplé à un moteur électrique, alimenté par des batteries d'accumulateurs pour le déplacement en plongée. Après son invention en 1897, le moteur Diesel équipa progressivement les sous-marins.

 

Le premier à en être pourvu fut le sous-marin français l'Aigrette en 1904. Ce dernier servit de modèle pour les premiers « U-Boote » allemands. L'invention du schnorchel par les Allemands, au milieu de la SecondeGuerre mondiale, puis la mise au point de la propulsion nucléaire, transformèrent les submersibles en véritables navires sous-marins évoluant sous l'eau de façon quasi permanente.

 

En fournissant de l'air au moteur et en évacuant les gaz d'échappement le schnorchel (qui émerge du kiosque au côté du périscope) permit aux

sous-marins à propulsion Diesel d'évoluer en plongée en augmentant considérablement leur autonomie.

Il fut par la suite doté d'une courte antenne radio réceptrice, puis, quelquefois, d'une antenne émettrice. Depuis le milieu des années 1950, les bâtiments les plus perfectionnés sont dotés de moteurs à propulsion nucléaire qui leur permettent de rester en immersion totale pendant deux ou trois mois. Leur mouvement est alors assuré grâce à un réacteur nucléaire à uranium enrichi qui dégage l'énergie nécessaire à la vaporisation de grandes quantités d'eau tandis que la vapeur actionne des turbines. Celles-ci entraînent l'hélice propulsive et des alternateurs qui produisent l'électricité. Les sous-marins à propulsion nucléaire bénéficient ainsi d'une très grande autonomie, due à leur faible consommation de matière nucléaire, et sont très silencieux, même si les bâtiments les plus performants ne sont jamais indétectables.

LA NAVIGATION

Le périscope est inventé au tout début du XXe siècle, par Simon Lake (et Howard Grubb pour son perfectionnement et sa généralisation

dans la marine). Naviguer à près de 300 mètres de profondeur pendant une période relativement longue nécessite des moyens d'orientation adéquats. Comme les ondes hertziennes ne se propagent pas dans l'eau (à l'exception de celles de très basse fréquence) le sous-marin doit soit remonter régulièrement à la surface afin de réceptionner et enregistrer les données qui lui sont fournies par un système GPS, soit s'orienter avant tout grâce au gyrocompas (de guros, «cercle», apparu en 1911). L'effet gyroscopique permet de maintenir l'orientation initiale de l'axe quelles que soient les évolutions de l'engin porteur. Le sous-marin dispose également d'une antenne filaire, tirée par un câble flottant qui remonte à la surface et capte les messages. Depuis les années 1960, les sous-marins sont équipés d'appareils de navigation inertielle et sont donc guidés grâce à un système gyroscopique autonome. La détection en immersion durable dépend avant tout de l'émission et de la réception des ultrasons : c'est le rôle du sonar et de l'hydrophone. Grâce au sonar, il est possible de mesurer le temps mis par une impulsion ultrasonore pour faire l'aller-retour entre l'émetteur et la cible, d'où l'on déduit la distance de cette cible. Situé à la proue d'un sous-marin, le système sonar est normalement utilisé de façon « passive », en le limitant à la réception des signaux pour éviter toute détection.

Par ailleurs, pour contrecarrer sa vulnérabilité à l'arrière, le sous-marin dispose d'un ensemble d'hydrophones passifs remorqués sur un câble dont la longueur peut atteindre plusieurs kilomètres.

L’amplitude de la plongée était bien sûr réduite par la longueur du câble et l’évolution de l’appareil limitée par la position de la barge à laquelle le câble était attaché. C’est le Suisse Auguste Piccard qui parviendra, en 1937, à libérer l’appareil de ces contraintes en appliquant à l’exploration sous-marine les principes testés avec succès dans les airs avec son ballon.

Dépourvu de câble et relié à l’extérieur par un fil téléphonique, puis par un système de communication à ultrasons, le bathyscaphe était une sorte de bathysphère fixée au dessous d’un flotteur rempli d’essence et lesté par de la grenaille de fer ; les sas remplis d’eau permettaient la descente, pendant laquelle l’eau remontait dans les réservoirs pour équilibrer la pression en entrant en contact avec l’essence.

 

Le bathyscaphe ralentissait et remontait à la surface en jetant du lest. En janvier 1960, le bathyscaphe Trieste, dans le cadre du projet Nekton de la marine américaine, atteignit la profondeur de 10 800 m dans l’abîme Challenger de la fosse des Mariannes.

Le dernier bathyscaphe construit fut l’Archimède qui s’est posé en 1962 à 9 525 m de profondeur dans la fosse des Kouriles au Japon. Ce type d’engins a été utilisé dans plusieurs missions océanographiques jusque dans les années 1980 tandis que d’autres appareils (telles les soucoupes plongeantes) ont été mis au point.

 

LES DERNIERS ENGINS D'EXPLORATION

 

Les missions de ces engins sont diverses : reconnaissance de zones, bathymétrie, prélèvement d’échantillons dans les fonds océaniques, assistance à la réalisation de plateformes offshore, études de tracés sous-marins et contrôle des câbles et pipelines, assistance aux submersibles en difficulté, recherche scientifique (dans la plupart des domaines de l’océanographie) localisation d’objets ou de bateaux engloutis, intervention sur des épaves polluantes, ou plus récemment récupération de « boites noires » d’avions qui se sont abîmés en mer et qui gisent par plusieurs centaines de mètres de profondeur. Parmi les successeurs des bathyscaphes, on peut citer pour la France, le Nautile, joyau de l’IFREMER, pour la Russie,

Mir I et Mir II, pour les États-Unis, l’Alvin (de la marine américaine et de l’Institut d’océanographie WHOI) qui a succédé au Trieste au milieu des années 1960. Avec le Cyana et l’Archimède, ce sous-marin américain participa notamment en 1974 à l’étude de la ride médio-atlantique et à la seconde expédition sur l’épave du Titanic en 1986.

 

Le Nautile est doté de deux systèmes de propulsion, de deux bras télémanipulés, de deux sondeurs, d’un sonar panoramique, de plusieurs

histoire

« de torpillages par les sous-marins allemands s'accrût.

la guerre sous­ marine à outrance fut décidée en février 1917 par la « Reichsmarine », provoquant J'entrée en guerre des États-Unis en avril 1917.

Finalement, l'Allemagne, qui disposait au début de la guerre de 28 sous-marins, avait une flotte de près de 400 sous-marins en 1918.

Elle réussit à couler environ 5 000 navires et perdit 178 « U Boole ».

Cet effort de guerre sans précédent contrasta avec Je relatif échec de l'Allemagne sur les mers au cours des deux conflits.

LA DtFENSE ANTI·SOUS·MARINE Malgré ses premiers succès-et l'entrée en lice de sous-marins d'un type nouveau, équipés en plus de torpilles, d'une artillerie Jourde et capable de traverser l'Atlantique en restant en mer plusieurs mois -la marine allemande ne résista pas au blocus imposé par les Britanniques et aux moyens de défense déployés par les Alliés.

Au début des attaques allemandes, les moyens de détection (hydrophone) et de lutte anti-sous-marins (grenades anti-sous-marines) étaient encore à J'état plus ou moins expérimental et les principales armes restaient les mines et les « bateaux-leurres » (Q Ships).

Ce piège consistait à attaquer un sous­ marin ennemi en émersion à partir d'un batiment puissamment armé maquillé en navire marchand inoffensif et neutre.

Il fonctionna pour la première fois en juillet 1915 lorsque Je Q Ship « Prince Charles » coula Je sous-marin I'U Boat SM U 36.

la barrière de mines déployée par les Britanniques dans la Manche infligea également de lourdes pertes à la flotte allemande des Aandres.

Mais la guerre sous-marine avait montré ses potentialités militaires à grande échelle et les recherches se poursuivant, de nouveaux moyens défensifs et offensifs furent mis à la disposition des armées pendant la Seconde Guerre mondiale.

le schnorchel.

introduit en 1943, dota ainsi les sous-marins allemands d'une plus grande autonomie tandis que furent mis au point des torpilles acoustiques, des grenades sous-marines plus puissantes et un nouvel obusier, baptisé " hérisson » (hedgehog) fonctionnant de pair avec le son11r et lançant des projectiles plus précis.

les armes les plus prometteuses, bien que présentant certains défauts, furent surtout le sonar ou son ancêtre I'ASDIC (A/lied Submarine Detection Investigation Committee, appareil de détection par ultrasons dont les débuts remontent à la fin de la Première Guerre mondiale), les radars, en particulier britanniques de type ASV (Airborne Surface Vesse/) équipant l'aviation, les appareils directionnels de détection magnétique -plus performants que les hydrophones -et de radiogoniométrie à haute fréquence HF/OF (High Frequency/Direction Finder).

Il faut ajouter aussi Je décryptage des communications radio entre les sous­ marins allemands et leur quartier général (encodées au moyen du système Enigma) qui permit de prévoir les mouvements des bâtiments.

C'est notamment grâce à J'amélioration de ces différentes techniques offensives et défensives que les armées alliées parviendront à s'imposer à partir de 1943 dans la bataille de l'Atlantique.

l'ÈRE DES SOUS -MARINS NUCLÉAIRES Si les sous-marins dassiques à propulsion diesel continuent d'équiper de nombreuses marines du monde, les bâtiments les plus perfectionnés et les flottes américaine, russe, française et britannique sont avant tout constituées de sous-marins nucléaires.

la Seconde Guerre mondiale fut également une étape cruciale pour la création des grandes flottes modernes.

Conscients de J'avance technique des Allemands vers la fin du conflit (avec la construction des U Boole de type 21, premier sous-marin de combat à être spécialement conçu pour rester Je plus longtemps possible en immersion) et de l'intérêt que cela pouvait représenter pour les Soviétiques, les Américains développèrent très tôt leur programme de construction de sous-marins à propulsion nucléaire, dont le premier exemplaire fut Je N11utilus (SSN 511), lancé le 21 janvier 1954.

De son côté, l'URSS mit en chantier Je sien avec le leninsky Komsomol le 9 août 1957.

Dès lors, c'est dans le contexte de la Guerre froide et donc de la course aux armements, que les deux pays se doteront des plus puissantes flottes de sous-marins de J'histoire.

Quant à la France, elle initia son programme dans le cadre de sa stratégie de dissuasion nucléaire au début des a n nées 1960 et le Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d'engi n français fut lancé le 29 mars 1967.

LES SNLE, SSBN ET SSGN En France, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins sont une des pièces maîtresses de la force de dissuasion nucléaire.

Ils doivent être disponibles pour exécuter une frappe en second.

lis sont actuellement au nombre de quatre, t:Jndomptable, t:lnRexible, le Triomphant et le T éméraire et sont armés de missiles tactiques M4 ou M45 d'une portée intermédiaire de 4 500 à 6 000 km.

le Vigilant, bien plus silencieux que ses prédécesseurs, doit entrer en service courant 2004 et le Terrible nouvelle génération est prévu pour 2010.

la marine américaine dispose de 18 SN lE (SSBN), sous-marins américains à missile balistique(nucléaire) de type Ohio, équipés de 24 missiles stratégiques Trident d'une portée de 1 360 km.

Quatre d'entre eux doivent être convertis en SSGN, sous-marins d'attaque lance-missiles, équipés de missiles de croisière Tomahawk pour un théâtre de guerre conventionnelle.

la situation de la flotte russe est particulière depuis J'écroulement de l'URSS.

Une partie a été démantelée ou est inactive.

Actuellement, la flotte russe de SN lE (porteurs de missiles de type SS 18, 20 et 23 ) en service comprend 20 SSBN et 10 SSGN.

LEs SNA ou SSN Destinés à J'action, à la dissuasion et à l'appui des SN lE, les sous-marins d'attaque (SNA et SSN) constituent l'essentiel des flottes sous-marines.

la France possède six sous-marins d'attaque (Je Rubis étant Je premier exemplaire de la série qui comprend en outre Je Saphir, Je Casabianca, l'Émeraude, l'Améthyste et le Perle), les États-Unis 54 (dont 51 de type Los Angeles et 2 de type Seawolf) et la Russie 26 (SSN).

Ces bâtiments portent des torpilles de lutte anti-navires et anti-sous-marines et des missiles à changement de milieu : SM 39 dans Je cas des SNA français, Tomahawk pour les SSN américains.

LES SOUS-MARINS A USAGE CIVIL Les sous-marins ont eu avant tout une vocation militaire mais J'attrait exercé par les fonds sous-marins et les progrès de la recherche géologique aiguisèrent l'Intérêt pour des appareils capables de sonder les océans.

Grace au sonar, on obtint tout d'abord une image assez réaliste du relief des fonds océaniques.

C'est ainsi par exemple que Harry Hess, professeur de géologie et commandant d'un vaisseau durant la Seconde Guerre mondiale, releva, parallèlement à ses missions militaires, la carte bathymétrique des zones atlantiques qu'il traversa.

Ses observations l'amenèrent à se questionner sur la signification des reliefs telles les dorsales, les fosses et les pics sous-marins, contribuant ainsi aux recherches géologiques sur la tectonique des plaques initiées dans les années 1950.

Après la guerre, de nouveaux instruments spécifiques d'exploration furent mis au point.

LES BATHYSCAPHES !:ancêtre du bathyscaphe est Je bathysphère conçu par deux Américains, William Beebe et Otis Barton, qui parviendront, à bord de leur sphère d'acier suspendue à un câble, à descendre jusqu'à 910 mètres de profondeur dans les eaux des Bermudes en 1934.

!:amplitude de la plongée était bien sOr réduite par la longueur du câble et l'évolution de l'appareil limitée par la position de la barge à laquelle Je table était attaché.

C'est Je Suisse Auguste Piccard qui parviendra, en 1937, à libérer J'appareil de ces contraintes en appliquant à l'exploration sous-marine les principes testés avec succès dans les airs avec son ballon.

Dépourvu de câble et relié à l'extérieur par un fil téléphonique, puis par un système de communication à ultrasons, Je bathyscaphe était une sorte de bathysphère fixée au dessous d'un flotteur rempli d'essence et lesté par de la grenaille de fer ; les sas remplis d'eau permettaient la descente, pendant laquelle l'eau remontait dans les réservoirs pour équilibrer la pression en entrant en contact avec l'essence.

le bathyscaphe ralentissait et remontait à la surface en jetant du lest.

En janvier 1960, Je bothysc11phe Trieste, dans le cadre du projet Nekton de la marine américaine, atteignit la profondeur de 10 800 rn dans J'abîme Challenger de la fosse des Mariannes.

le dernier bathyscaphe construit fut l'Archimède qui s'est posé en 1962 à 9 525 rn de profondeur dans la fosse des Kouriles au Japon.

Ce type d'engins a été utilisé dans plusieurs missions océanographiques jusque dans les années 1980 tandis que d'autres appareils (telles les soucoupes plongeantes) ont été mis au point.

LEs DERNIERS ENGINS D'EXPLORATION les missions de ces engins sont diverses : reconnaissance de zones, bathymétrie, prélèvement d'échantillons dans les fonds océaniques, assistance à la réalisation de plateformes offshore, études de tracés sous-marins et contrôle des câbles et pipelines, assistance aux submersibles en difficulté, recherche scientifique (dans la plupart des domaines de l'océanographie) localisation d'objets ou de bateaux engloutis, intervention sur des épaves polluantes, ou plus récemmen� récupération de « boites noires » d'avions qui se sont abîmés en mer et qui gisent par plusieurs centaines de mètres de profondeur.

Parmi les successeurs des bathyscaphes, on peut citer pour la France, Je Nautile, joyau de I'IFREMER, pour la Russie, Mir 1 et Mir Il, pour les États-Unis, l'Alvin (de la marine américaine et de l'Institut d'océanographie WHOI) qui a succédé au Trieste au milieu des années 1960.

Avec le Cyana et l'Archimède, ce sous­ marin américain participa notamment en 1974 à l'étude de la ride média­ atlantique et à la seconde expédition sur l'épave du Titanic en 1986.

le Nautile est doté de deux systèmes de propulsion, de deux bras télé­ manipulès, de deux sondeurs, d'un sonar panoramique, de plusieurs projecteurs, d'une centrale d'acquisition des données et de navigation (logiciel Adélie), il peut intervenir à 6 000 mètres de profondeur pendant cinq heures.

Depuis sa mise en service en 1984, Je Nautile a effectué plus de 1 500 plongées parmi lesquelles une série d'expéditions sur le Titanic dans les années 1990 e� en mai-juin 2003, il a été utilisé dans le cadre de la mission de contrôle de l'épave du Prestige.

Outre ces sous-marins de grands fonds, des robots télé opérés appelés ROV (Remotely Operated Vehic/e) tels Je Victor de l'lfremer, ou le Jason du WHOI complètent cette panoplie.

Si les flottes sous-marines sont actuellement toujours modernisées et redéployées (sous-marins français Nouvelle génération de type le Triomphant, plus furtifs et mieux armés, SSGN américains), dans Je cadre de l'après Guerre froide, les conséquences d'une telle accumulation de matière radioactive sur nos mers inquiètent de nombreux observateurs.

C'est notamment l'état de la flotte russe du nord, la plus grande des flottes de ce pays qui est difficilement mais attentivement surveillée depuis que l'on connaît l'état de certains de ses bâtiments.

Mais même en Russie, alors que la priorité devrait être Je démantèlement d'une partie des sous-marins, de nouveaux SN lE sont en chantier.

À LA RECHERCHE DU nTANIC Terre-Neuve, et la première localisation précise de l'épave.

Avec les nouveaux engins d'exploration sous-marine, mis au point à partir des années 1960, la prem ière expédition peut être lancée en 1985.

Elle est franco-américaine et réunit notamment Robert D.

Ballard de l'Institut océanographique WHOI et des chercheurs de I'IFREMER.

!:année suivante, le bathyscaphe Alvin et Je robot Jason Junior sont utilisés pour explorer l'épave plus en détail.

Suivront sept expéditions dont cinq avec la partic ipation de I'IFREMER et de son Nautile.

Des milliers d'objets seront récupérés pour être exposés.

En 1998, un morceau de la coque peut être remonté.

Au cours de cette expédition, les techniciens de I'IFREMER utilisent Je robot télécommandé Robin pour pénétrer dans l'épave.

En 2000 , une équipe russo-américaine met à contribution les sous-marins Mir et Je ROV Magellan.

Relié au navire de surface par l'intermédiaire d'un câble à fibre optique, ce robot dispose de caméras pour effectuer les repérages à l'extérieur et à l'intérieur de l'épave et de deux bras manipulateurs pour récupére r les objets.

les bathyscaphes habités ont pour fonction de guider le robot et de remonter les objets ; ils peuvent plonger à 6 000 rn de profondeur et sont équipés de projecteurs et de bras hydrauliques.. »

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