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LES DEUX-ROUES - Sciences et Techniques

Publié le 02/02/2019

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Les motos modernes

 

Les cadres de moto sont généralement en tubes d’acier ou, pour les machines très performantes, en alliages légers (incorporant du magnésium par exemple). Des amortisseurs sont installés sur les deux roues, procurant un meilleur confort d’utilisation et une bonne tenue de route.

 

La cylindrée des moteurs est généralement comprise entre 50 et 1200 cm3 et comporte généralement de un à quatre cylindres. On a même construit une machine disposant d’un moteur six cylindres, mais le quatre-cylindres est le plus courant pour les grosses motos. La plupart des modèles disposent de moteurs à quatre temps, surtout pour les moyennes et grosses cylindrées.

 

Les moteurs à deux temps équipent plutôt les

Cette moto, une Yamaha FZR 750R a été construite selon le modèle des machines de compétition. Elle comporte un moteur quatre temps refroidi par eau. On peut voir des disques ventilés, un carénage, un double éclairage avant.

Trial de motocross.

 

Monocylindre deux temps robuste, refroidissement par air, pneus crantés, etc., sont typiques de ces motos.

 Le cadre d'une machine de compétition est réalisé en alliage et doté d’un amortisseur arrière de gros diamètre.

petites motos ou, à l’extrême, certaines motos de compétition. Pour les moteurs à quatre temps, le refroidissement est soit par eau, soit par air. Si la transmission par chaîne est la plus courante, certaines grosses motos possèdent une transmission par cardan, analogue à celle des voitures, ce qui les rend plus silencieuses.

 

Les freins et les dispositifs de contrôle

 

Le freinage s’effectue grâce à des freins à tambour ou à disque. Mais différentes combinaisons sont possibles: disque à l’avant et tambour à l’arrière; double disque à l’avant et simple disque à l’arrière, etc. Cette dernière combinaison, qui

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assure le freinage le plus efficace, est issue des machines de course. De plus, les disques sont perforés -on dit qu’ils sont ventilés-, ce qui assure une meilleure circulation de l’air sur la surface et évite ainsi une surchauffe préjudiciable au bon freinage.

 

Le frein à tambour comporte un tambour (un cylindre de métal) disposé dans le moyeu. Une paire de «sabots», recouverts d’un matériau résistant à la chaleur, presse l’intérieur du tambour lorsque le frein est actionné. Le frein à disque est un système dans lequel un disque d’acier est fixé sur le moyeu. Quand on freine, des mâchoires enserrent le disque de chaque côté et c’est la pression de ces mâchoires qui assure le freinage. La commande des freins à tambour se fait généralement par câbles; celle des freins à disque par un système hydraulique.

 

Les commandes de frein sont au guidon, celle d’embrayage également. La commande des vitesses est une pédale, souvent du côté gauche. La vitesse du moteur est contrôlée par une poignée d’accélération sur le côté droit du guidon. Cette poignée est connectée par un câble au papillon des gaz du carburateur. Le papillon assure le mélange air-carburant qui entre dans le moteur et détermine la vitesse de rotation du moteur. Les divers interrupteurs et commandes électriques sont aussi disposés sur le guidon.

 

Les modèles spéciaux

 

Mis à part les motos routières, il existe des modèles de course destinées soit aux courses tout-terrain, soit aux courses sur circuit. De profondes modifications sont apportées à la forme des motos en fonction du type de compétition dans laquelle elles sont engagées.

 

Les premières possèdent des plages de vitesse adaptées au terrain accidenté, des roues à pneus à grosse structure, une fourche à grand débattement, etc. Les secondes disposent de carénages aérodynamiques, de moteurs à haut régime, de cadres monobloc, etc. On trouve encore des machines entièrement carénées, spécialement dévolues à la pointe de vitesse, qui peuvent atteindre plus de 400km/h.

« Les deux-roues Les pignons sont dessinés de telle sorte que le changement de vitesse soit le plus précis possible.

Un vélo de course avec un cadre .......

profilé, souvent en alliage d'acier ou en aluminium, conserve une forme d'ensemble traditionnelle.

Il fallait remédier à l'inconvénient de la taille exagérée de la roue avant motrice du grand-bi.

C'est l'Anglais Harry Lawson qui eut l'idée -parti­ culièrement féconde puisque tous les vélos fonc­ tionnent dorénavant sur ce principe- de placer le pédalier entre les deux roues, celle de l'arrière étant actionnée par une chaîne à maillons.

À la fin des années 1870, les roues ont quasi­ ment le même diamètre.

Les améliorations se succèdent: allégement du cadre, cadre spéciale­ ment dessiné pour les femmes (le tube horizontal qui ferme le triangle avant est supprimé pour Une manette crantée donne la sept pignons donnent 3 x 7 = 21 vitesses.

......

Les coureurs cyclistes sont souvent en position de recherche de vitesse.

Ils gardent la tête baissée pour réduire la résistance au vent.

Le cadre surbaissé, la roue avant plus petite et les roues lenticulaires participent à l'aérodynamique du vélo.

pouvoir laisser passer la robe des dames), freins de plus en plus efficaces, introduction des roule­ ments à billes, etc.

À partir de 1895, le vélo est pourvu de vrais pneus dotés d'une chambre à air.

Le vélo moderne Au début du siècle, la bicyclette est améliorée de nombreux équipement lui conférant une allure résolument moderne: changement de vitesses, éclairage électrique, carter de chaîne, garde-boue, selle confortable, etc.

' ......

Les dérailleurs de VTT possèdent jusqu'à vingt et une vitesses afin de grimper plus facilement des pentes très raides.

Chacun des trois plateaux du pédalier peut être utilisé avec chacun des sept pignons de la roue arrière, donnant au total vingt et une vitesses possibles.

Pour que les changements de vitesse soient souples et précis, les transmissions entre la chaîne et les pignons doivent être parfaitement coordonnées.

De manière générale, les cadres de ces vélos sont réalisés en tube d'alliage d'acier.

Le matériau et la structure (le tube plus la forme du cadre dite rhomboïdale) confèrent au cadre une bonne résistance mécanique, une certaine souplesse et restent assez légers.

Les jantes et les moyeux sont en alliage et les roues, munies de rayons, en fil d'acier.

Les pédales et les manivelles sont fixées à un axe traversant le point bas du cadre.

Cet axe porte aussi le pédalier, relié au pignon d'entraî­ nement par une chaîne en acier.

Le moyeu possè­ de un mécanisme de roue libre qui permet au cycliste de ne pas avoir à pédaler dans une des­ cente, le mouvement des pédales étant alors désolidarisé de celui de la roue arrière.

Il existe deux dispositifs principaux de change­ ment de vitesses.

Le premier, aujourd'hui moins important, fait appel à un mécanisme logé dans le moyeu arrière.

On peut rapprocher son fonc­ tionnement de celui de la boîte de vitesses des voitures.

Le changement s'effectue par la combi­ naison de pignons contenus dans le moyeu.

Le déraill eur, prépondérant sur la plupart des vélos actuels, fut inventé en France en 1909 et son principe reste le même.

C'est un mécanisme qui fait intervenir des jeux interchangeables de pignons de diamètres différents, au nombre de deux à sept (rarement plus).

Il comprend un dis­ positif permettant de soulever la chaîne et de la transférer d'un pignon à l'autre afin d'obtenir un nouveau rapport de démultiplication (ou bra­ quet).

Quand une grande vitesse est sélection­ née, par exemple, la chaîne se positionne sur le plus petit pignon.

Il en résulte qu'un tour de pédale occasionne un grand nombre de tours de la roue motrice et, de fait, une grande vitesse.

Une petite vitesse -un grand pignon- permet de. »

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