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Les défenses de l'organisme

Publié le 08/04/2012

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L'humanité vit dans un environnement qui lui est activement hostile. Nous devons faire face à de nombreux dangers dès l'instant de notre naissance . Certains de nos organes les plus vulnérables sont protégés par des os; c'est le cas du coeur et des poumons qui sont encastrés dans la cage thoracique, et du système nerveux central qui est protégé par les os du crâne et la colonne vertébrale. Les reins sont eux aussi engainés dans une masse de graisse qui absorbe les chocs.

« fier et s'infectent.

L'issue de l'infection dépend de nom­ breux facteurs, les plus importants étant d'une part, la faculté des germes à se multiplier et à produire des toxi­ nes dangereuses et, d'autre part, la capacité de l'orga­ nisme à produire des moyens de défense en nombre suffi­ sant.

Heureusement pour nous, notre système de défense est très efficace et est capable de juguler la plupart des at­ taques, à condition bien sûr que nous soyons suffisam­ ment bien portants à ce moment.

L'un des plus grands triomphes de la médecine du siècle dernier fut la découverte des mécanismes immunitaires, plasmocyte lymphocyte sensibilisé anticorps antigène lymphoblaste (cellule A gauche: Un phagocyte aans un échantillon de sang humain.

Ces cel­ lules eng/ourissenr er digèrenr les bac­ fér ies er le s ce llules marres ..

qui nous ont permis de nous immuniser contre les mala­ dies avant l'infection .

Le moyen utilisé fut la vaccination: des préparations de bactéries et de virus at­ ténués sont inoculées à l'individu, afin de stimuler la pro­ duction d'anticorps.

Ces anticorps subsisteront dans l'or­ ganisme et permettront de résister efficacement à une at­ taque ultérieure.

Une méthode consiste à inoculer du sé­ rum contenant des anticorps; au moment de la maladie, il s'agit d'un moyen curatif et non préventif; l'immunité ainsi conférée n'est que de courte durée et vise essentielle­ ment à surmonter la maladie du moment.

Ci-dessous: Les ly mphoc yres sonr formés à parrir des lymphoblasres dans le rissu /ymphoide.

Certains ly mphoc y tes restent dans les organes et ne rencont r enr jamais d'antigènes.

lis ne se mutiplienl pas.

D'aurres ci rculenr er, lorqu 'ils ren conrrent un anrigène , se retransjorment en lymphoblasres capables de se diviser, donnant de nouveaux élémenrs capables de produire des anricorps; ils conservent la propriété immuni ­ raire acquise: ils sont dorés de la facu/ré de reconnaître l'antigène et de l e neutraliser lorsqu 'ils le renconrrenl dans l'or ganisme.

anticorps plasmocyte. »

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