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Les origines du mal

Publié le 19/12/2011

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Crimes sanguinaires. Produit de notre société?

Faire face à certaines réalités, qui dépassent l’entendement, propose de s’intéresser à la cause de celles-ci. Or, s’il est question de meurtres sanguinaires et de perversions de l’esprit, il serait également convenant de parler de l’essence du mal. Peut-être de l’immanence de cette notion? La phénoménologie de l’esprit pourrait également servir à trouver la racine de ces crimes. Il est intéressant de savoir que de définition, le mal est  «ce qui est contraire au bon, à la vertu ; ce qui est condamné par la morale.*« cette définition laisse une grande hésitation quant à la chose en soit. Le conceptualiste pouvant être variable. Par exemple, en 1886 Friedrich Nietzsche nous expose «il n’y à pas de phénomènes moraux, mais seulement l’interprétation morale des phénomènes.* « bien sûr que de ce point de vue les notions de bien ou de mal, ne sont qu’une terminologie relative pour exprimer une vision sur le monde. Nous pourrions alors supposer que la définition du mal et du bien varie selon l’endroit, l’époque et l’individu. Pourtant cela n’implique pas de tomber dans une relativité absolue

« en parlant du ça pour éviter de confondre les maux et le mal.

Éclaircissons par un exe mple primaire de ce ressenti.

Dans la nature, lorsqu’ une catastrophe naturelle anéantit une ville, ne laissant de son si llage qu’un paysage chaotique.

Un endroit assujetti aux yeux d es hommes, où toute vie s’est éteinte dans un amoncel lement de débris et de cadavres, serait- il le lieu de réjouissance? Suppos ons que majoritairement ce ne serait pas le cas si c’était le cas ? Un homme ou une femme satisfaits de voir régner autour d’ eux l’état de leur propre esprit.

Pourquoi? L’espèce humaine est un enchev êtrement de systèmes complexes dont il est hasardeux de chercher à en acquérir une science exacte.

Seules certaines pistes, hypothèses valables tirées de l’ontologie, permettent d’induire une infime partie de sa complexité.

L’hypothèse propre à ce texte sera faite sans aucune prétention.

Laissant la science infuse au fabulateur.

En spéculant à partir de certaines thèses déjà acceptées .

Il s’agit donc simplement de démystifier de façon approximative d’obscures notions, dont celle que l’on dit conventionnellement allant à l’encontre du fondement de l’humanité .

La causalité du mal sera ici assujettie à des phénomènes naturels passant par chaque rapport que l’individu créer en lui ainsi qu' à l’extérieur de lui.

Le but étant de prouver que l’environnement dans lequel se développe un esprit crimi nel n’est qu’un facteur conver geant.. »

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