Suffit-il de vouloir pour être libre ?
Publié le 18/09/2012
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Dans L'existentialisme est un humanisme de Sartre, l'auteur fait référence à un écrivain russe du XIXème siècle qui a écrit : « Si Dieu n'existe pas, tout est permis « et donc si il n'existe pas, l'homme sera « délaissé «, abandonné et ne sera plus se qui est bien ou mal. L'auteur pense que malgré les limites imposées par la croyance, l'homme est libre car sa foi lui fait pensée qu'il est libre alors qu'en fait il ne fait que se que lui dit des textes chrétiens ou d'autres religions. La religion des hommes peut être une source d'excuse de leurs actes, l'homme se cache a travers ses croyances pour ne pas voir la réalité, qu'en fait il n'est pas libre malgré sa volonté. La volonté d'être libre ne dépend pas de la religion puisque la religion impose des directives (comme pour les lois) donc l'homme, en toute logique n'est pas libre.
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- Faut-il dire radicalement que l'homme est, ou n'est pas, libre, c'est-à-dire capable d'agir et de choisir ou vouloir indépendamment de toute contrainte ? Ou bien est-il plus exact de dire qu'il peut se libérer à travers une progression, ce qui sous-entend des étapes à franchir ? Ces deux positions, en fait, se contredisent-elles ?
- Demander, dans un État libre, des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles, et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
- Etre libre est-ce vouloir ?
- Vouloir, est-ce être libre ?
- Se vouloir libre, est-ce aussi vouloir les autres libres ?