on ne connaît pas la fin ; et il n'existe plus personne, à part Elrond, qui s'en souvienne correctement, telle qu'on a rapportait autrefois.
Publié le 30/10/2013
Extrait du document
« Il l’appela parsonnom elfique, Et alors elles’arrêta, écoutant. Un moment ellesetint là, Et sa voix exerça uncharme surelle : Beren vint,etledestin tomba surTinuviel Qui dans sesbras s’abandonna, scintillante. Comme Berenregardait danslesyeux delavierge Parmi lesombres deses cheveux, Il vit làscintiller commeenun miroir La lumière tremblante desétoiles auxcieux. La belle Tinuviel, L’immortelle viergeàla sagesse elfique, Sur luirépandit sescheveux ombreux Et l’enserra deses bras semblables àl’argent miroitant. Longue futlaroute queledestin leurtraça, Par-dessus lesmontagnes rocheuses,froidesetgrises, Par dessalles defer etdes portes obscures, Et des forêts denuit sans lendemain. Les mers séparatrices entreeuxs’étendirent, Et pourtant enfinilsseretrouvèrent unefoisdeplus Et, ilya longtemps, ilsdisparurent Dans laforêt, chantant sanstristesse.. »
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