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Pierre Ier Karageorgévitch

Publié le 23/02/2013

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1   PRÉSENTATION

Pierre Ier Karageorgévitch (1844-1921), roi de Serbie (1903-1918) puis roi des Serbes, Croates et Slovènes (1918-1921).

2   UN HÉRITIER DÉCHU…

Né à Belgrade, Pierre Karageorgévitch s’exile à Genève puis à Paris, à la suite de la déposition de son père en 1858, le prince Alexandre Karageorgévitch, par la maison rivale des Obrénovitch.

Diplômé de Saint-Cyr, l’officier participe à la guerre franco-allemande de 1870-1871, avant de combattre les Turcs lors de la révolte de la Bosnie-Herzégovine (1875). En 1883, il se marie avec Zorka, la fille du prince Nicolas de Monténégro.

3   …QUI RECOUVRE LE TRÔNE DE SERBIE

Après l’assassinat, en 1903, du roi serbe Alexandre Ier Obrénovitch et de sa femme Draga, Pierre est proclamé roi de Serbie sous le nom de Pierre Ier. Dès son avènement, le souverain restaure le régime parlementaire et remet en vigueur la Constitution de 1888. S’en prenant à l’influence austro-hongroise sur la Serbie, il se rapproche de la Russie (avec laquelle il s’allie) et de la France. En 1908, la guerre menace lorsque l’Autriche-Hongrie annexe la Bosnie-Herzégovine. Partisan de modifications frontalières dans les Balkans, il entre dans la ligue balkanique aux côtés du Monténégro, de la Bulgarie et de la Grèce, et profite des guerres balkaniques (1912-1913) pour agrandir son royaume vers le sud.

En 1914, à l’aube de la Première Guerre mondiale, Pierre Ier, malade, confie la régence à son fils, le prince héritier Alexandre. En reconnaissance des territoires remportés par la Serbie après la Grande Guerre, Pierre Ier, bien que retiré du monde politique, reçoit en 1918 le titre de roi des Serbes, des Croates et des Slovènes (royaume baptisé « Yougoslavie « en 1929).

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« accord des parties ou force majeure (très rare).

• Statut du jeune en contrat de qualification : Une fois embauché, le jeune travaillera de la même façon que les autres salariés de l'entreprise, à une différence près : il pourra et, même, devra s'absenter pour suivre ses cours.

Il sera confié à un tuteur chargé de le suivre et de main­ tenir le contact, si besoin est, avec l'organisme d'en­ seignement.

Il percevra un salaire fixé annuellement comme suit : -première année : de 1 6 à 17 ans, 30% du SMIC; de Article L.

981-1, extrait du Code du travail : 18 à 20 ans, 50% du SMIC; à partir de 21 ans, 65 %du salaire minimum conven­ tionnel de l'emploi (mini­ mum : 65 %du SMIC) ; - seconde année : de 1 6 à 17 ans, 45% du SMIC; de 18 à 20ans, 60%du SMIC; à partir de 21 ans, 75 % du salaire minimum conven­ tionnel de l'emploi (mini­ mum, 75 %du SMIC).

Il s'agit là de minima : l'em­ ployeur peut accorder plus.

Sur ce salaire, il ac­ quittera toutes les cotisa­ tions salariales.

• Avantages pour l'employeur : L'em­ ployeur est exonéré des cotisations patronales de LA LOI ET VOUS Sécurité sociale, pour la par­ tie du salaire qui n'excède pas le SMIC.

Cette limite s'apprécie paie par paie.

L'exonération ne se cumule pas avec l'exonération de la cotisation d'allocations fa­ miliales accordée sur les bas salaires.

Les cotisations de retraite complémentaires et d'ASSEDIC sont dues.

Les contrats conclus entre le 1 ., juillet 1993 et le 30 juin 1994 ouvrent droit à une aide forfai­ taire de 5 000 F pour les contrats allant jusqu'à 18 mois, et de 7 000 F pour les contrats de 1 8 à 24 mois.

plication de l'article L.

122-2 dénommé contrat de qualification .

Sa durée est com­ prise entre 6 mois et 2 ans.

« Les formations ayant pour objet l' acqui­ sition d'une qualification professionnelle sont dispensées dans le cadre d'un contrat de travail à durée déterminée conclu en ap- Il doit être passé par écrit.

Il fait l'objet d'un dépôt auprès de la direction départementale du travail.

..

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