Beach boy et la fille au ballon de Bansky

« semble examiner les passants.

Mais l’absence de couleurs sur les personnages leur confèrent un aspect fantomatique.

Les couleurs vives du paysage s’opposent à l’aspect sinistre des enfants.

Ces derniers attirent l’attention.Ils rêvent de façon utopique à l’autre côté comme à un eldorado.

C’est un peu comme s’ils espéraient pouvoir passer de l'autre côté du mur.

On peut penser que l’artiste dénonce ce conflit en opposant une triste réalité (les enfants en noir et blanc) et un désir fort de liberté (le paysage).

Il traduit d’une certaine manière le sentiment d’un peuple contenu à l’extérieur du mur.

Il y a une forme d’ironie dans ce dessin .

Lors de la réalisation d'Unwelcome Intervention, un vieil homme interpelle Banksy en lui faisant remarquer qu'il rend le mur beau.

L'artiste le remercie.

Mais le palestinien précise sa pensée, en lui signifiant que son peuple ne veut pas que ce mur symbole de haine soit beau, qu'il ne veut pas de ce mur du tout.

Et que les membres de l'équipe feraient mieux de rentrer chez eux. Au premier plan nous voyons une Palestinienne voilée marchant dans la rue.

Sur le mur à sa droite est peint une petite fille s’envolant de l’autre coté du mur à l’aide de ballons.

Cela a été réalisée à l’aide de pochoir afin de facilité la réalisation et de l’écourtée. Le choix de l'artiste du nombre de ballons n'est pas dû au hasard non plus.

En effet la signification religieuse du numéro 7 ne peut pas être minimisée en considérant la situation critique des Palestiniens.

Le numéro 7 apparaît en évidence dans des Écritures saintes juives, Chrétiennes et Musulmanes, particulièrement les textes apocalyptiques. Conclusion : A travers cette œuvre au pochoir, réalisée sur le mur de Gaza, l’artiste Anglais Banksy peint l’espoir de liberté au peuple palestinien qui en est privé. Le grillage et la femme voilée en sont les exemples les plus simples.

Bansky veut leur offrir un rêve, celui de la liberté, mais en admettant aussi que le spectateur aperçoit le grillage et le trottoir sale, créant un malaise entre l’illusion et la réalité. Ouverture vers d’autres œuvres Un artiste anonyme – mais qui a le mérite de ne pas avoir froid aux yeux – a détourné une sculpture à la gloire des soldats russes de l’Armée Rouge dans le centre ville de la capitale bulgare.

Revisitant certaines des plus grandes icones médiatiques du monde occidental, telles que le Père Noël de Coca-Cola, Ronald McDonald, Superman, Captain America, ou encore le Joker.

Cette œuvre critique l’impérialisme ainsi que la guerre. Le capitalisme a toujours été un des thèmes de prédilection du street-art.

Mais depuis peu, la banque, l’endettement et les agences de notation fleurissent sur les murs des grandes capitales Impressions personnelles. »