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LES DISQUES DANS LA VILLE de LEGER

Publié le 10/09/2012

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L'idée déjà apparue dans le tableau La Ville est développée ici. En effet , l'artiste reprend et agrandit la partie centrale du précédent tableau, et ajoute le grand disque centr al qui rappelle le disque chromatique de son ami Robert Delaunay. Le traitement vibrant de la couleur et la modulation des tons propres à Delaunay, ...

« LES DISQUES DAN S LA VILLE 1920-1921 Peintre français Anal yse .a,; De 1917 à 1920 , Fe rnand L ég er sui vit les voie s du cubi sm e e t du futuri sm e e n m a nifes tant un nou vel int é rê t p o ur la thè m e de la v ille industriali sée .

Ic i, no us voy ons que l es élé m e nts m é caniqu es, co mm e les en gre n ages et l es disques, sont repr ése ntés en c oul eurs pur es, et ex a ltés dan s leur s dim e n s ion s.

L 'a rtis te l es élève ainsi d e l e ur modest e fon ction utilit aire a u ra ng d'obj et d ' art.

L 'idée déj à apparue dans le table a u La Vill e est déve lopp ée ici.

En effet , l'arti ste repr e nd et agrandit la partie centr ale du préc édent ta ble a u , et ajoute le g rand disque central qui rappelle le disque chrom atiqu e de s on ami Rob ert D ela unay.

Le traitement v ibr ant de la co uleur e t la m o dul a­ tion des ton s propr es à D ela unay, sont cep endant absent s des toil es de Lége r, le que l e mpl oie d es couleurs li sse s et uni es, posées e n grand s à- plats .

Avant la Premiè re Gu erre mondi a le, l'artis te avait visit é le Salon d e l'a v ia tion avec le p eintr e Marcel Du champ et le s cul pteur Brancu s i.

Il a vait été frapp é par la beauté de la ma chine.

Cett e visit e a llait inaugur er dan s ses œu vres une nou ­ velle p ériod e, dit e « m é caniqu e».

Au x toil es proche s du cubi sm e s ucc èd e nt alor s d es œ uvr es où les disques e t les tube s se mu ltip lient , si bie n que le critiqu e d'a rt Loui s V auxelles l e s urnomm e «Lég e r le tubi s te ».

~-xx.e siècles Huile sur toile 130 x 162 cm L e rythme de ses compo sition s, ses couleurs v ives, e t s on dyn amisme exprim ent une gaieté supérieure à cell e d es toil es précé dente s e t on a souvent associ é cet é clat à la jo ie r ess enti e par l 'a rtis te à la fin du c onflit.

Imm édia te m e nt après cette toil e, Lé ger re p o rte s on attention s ur la re prése ntation monu­ m e nta!e de la figur e hum aine.

L'œu vre C L e tabl eau est si gné e t d até en bas à droite. »

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