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Chateaubriand

Publié le 08/04/2013

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Dans L 'Essai sur les révolutions ( 1797), « livre de doute et de douleur «, Chateaubriand nie le progrès humain, reprend les arguments rationalistes contre la foi chrétienne. Alors que dans Atala plus tard, épisode consacré aux amours de deux sauvages dans le désert, il vise à illustrer l'harmonie de la religion chrétienne avec les scènes de la nature et les passions du coeur humain. La Vie de Rancé retrace l'existence d'un religieux de la fin du XVIIIe siècle. Écrit pour sa pénitence à la demande de son confesseur, Chateaubriand y relate la jeunesse mondaine et la maturité austère de l'abbé de Rancé qui, bouleversé par la mort d'une femme aimée et retiré à la Trappe, sut y instaurer la stricte observance de la Règle.

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« mentée, il la publia (1865) avec des illustrations d'un caricaturiste célèbre à l'époque, John Tenniel.

Le succès d'Alice au pays des merveilles fut immédiat et Lewis Carroll donna une suite à sa première œuvre, Alice à travers le mi­ roir (1872), puis La Chasse au Snark (1876), qui connu­ rent le même succès.

Le choix de l'écriture L a réussite littéraire de­ vait évidemment boule­ verser la vie de Lewis Carroll.

Il se lassa de son Page du manuscrit original d'Alice au pays des merveilles avec un dessin de Lewis Carroll de temps à correspondre avec ses jeunes lectrices.

Le 14 janvier 1898, après une courte maladie, l 'hono­ rable C.

L.

Dodgson et le fantasque L.

Carroll moururent, emportant dans la tombe le secret d'une per­ sonnalité double, qui intrigue encore les biographes et les psychologues.

Homme d'Église et conteur D è~ le jour où il prit son pseu­ donyme, l'auteur d'Alice s'in­ génia à bien séparer Carroll et Dodgson.

D'un côté, il y avait le diacre, réservé, conformiste et ta­ tillon, qui se tenait à l'écart des re­ mous de la politique, de l'économie et de la religion qui agitaient enseignement et renonça à entrer dans les ordres, s'estimant trop timide pour assumer une telle charge et invoquant son bégaiement.

Finale­ ment, il décida de se consacrer tota­ lement à l'écriture; il renonça donc à son poste de maître assistant (1881), mais put tout de même rester au collège de Christ Church, étant chargé de la présidence du club de la faculté.

Peu après, il abandonna encore la photographie, peut-être sous la pression de quelques esprits sourcilleux qui voyaient d'un mau­ vais œil ses photographies de petites filles en déshabillé.

C'était, il est vrai, un passe-temps pour le moins contestable, surtout pour un diacre (depuis 1861) de l'Église anglicane.

Désormais, Lewis Carroll se lança dans une œuvre faite de mathé­ matiques, de logique et d'humour.

Il passait également beaucoup • Tik a..,...

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m-4 .._ tut.; l'Angleterre victorienne.

De l'autre, Lewis Carroll était un compagnon facétieux et chaleureux, principalement avec les enfants, dispensant généreusement son humour et son nonsense (absurde), qui donnent accès à un monde de rêve et de mer­ veilleux.

Grâce à ses jeux de mots et à ses idées farfelues, il rend familier au lecteur un monde pourtant absurde et.

irréel.

Peut-être l'homme. »

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